L’IA est à juste titre, le moteur d’une économie déjà
présente et pleine d’avenir dans tous les secteurs. En termes de rendement,
elle est en pleine expansion et promet une meilleure rentabilité en réduisant
les pertes, par exemple, en gérant des flux d’informations et une quantité
importante d’opérations optimisées. Que devient la place de l’homme ?
L’esprit, la personnalité et l’âme de l’individu se retrouvent confondus dans
la masse. Le mouvement de cette révolution est accompagné par l’autonomisation
et la robotisation. Difficile à penser la place de « l’ humain »
dans ce contexte sans apercevoir moult contradictions nourries par de nombreux
paradoxes. On observe une résistance politique et sociale depuis l’émiettement
des tâches et l’émergence de nouveaux chaos dont le sujet et problème sont
l’humain matériellement coûtant. Avec une grande efficacité dans la sélection
de l’individu, l’IA entraîne avec méthode leur insertion ou leur exclusion.
Déjà en place, elle ne modifie malheureusement pas l’intelligence de
« l’homme » bien plus vulnérable dans sa manière de penser.
Parallèlement à la bioéthique et les débats actuels sur différents aspects de
la recherche organique et physique, les comportements et l’analyse des modes
accélèrent peut-être le processus de négation et d’abnégation vers une forme
d’autodestruction, sur la ligne, vers un point de rupture historiquement
entamé. Des algorithmes peuvent prévoir et même estimer la présupposition des
moments négatifs sur des cycles, appréhendant les réflexes des marchés… Voir
des sociétés. Mais les progrès sans doute prometteur restent en parallèle d’une
notion matérielle.