Des intrigues sournoises

Certains grands fonds ont choisit de d’écolleter leurs positions de sur l’obligataire. Le rendement des PEA n’est pas trop orienté, la BdF cesse de soutenir cette classe d’actifs en n’intervenant plus sur les garanties d’une strate d’assurances obligataires. Les effets sont encore à venir et les retraits maitrisés des Livrets soutiennent la confiance et entretiennent l’investissement et le crédit. Si l’éclaircie, à travers la philosophie du mot, donne un droit à s’exprimer, la note est salé! Sans s’opposer au consensus, la crise nous entraîne dans les intrigues les plus sournoises que nous n’avons pas choisit d’assumer. Le Dollars se recroqueville, il reste fort, même faible en Euro, c’est sa force, sa base est puissante et sa capacité de friction reste importante aux mains des savants à Washington. Quand il n’y aura pas de panique, il faudra s’interroger, cela va se démêler à l’Automne, avec la Fed qui court après son train. Les cartes ne sont jamais jeté, il y aura une place pour chacun, isolé et seul pour leur expliquer comment on fait. Nous comptons sur l’esprit de compétition pour trouver des solutions, c’est le relais, essayez de briller. C’est dans la subversion que l’on crée des liens. Dans la course au trash, osons être scabreux pour plaire à une culture inabordable, une contre-culture où l’aboutissement de l’anticonformisme, enchaîné par la liberté ne réfléchit que la facilité. Un temps, ils dévalorisent la famille pour privilégier leurs intérêts particuliers, découvrir le mot amour et manger des cailloux. Puisses Dieu avoir pitié de vous…!

A right...?

La démocratie n’est pas de gauche et la parole d’opinion est à droite, cash, franche ainsi qu’une lame de cutter qui nous sort de la bouche. La base ne réclame pas plus d’eugénisme, mais une cohésion sur laquelle appuyer une pensée en désordre. Cette semaine encore, la gauche empoisonne le débat pour exister au nom d’une liberté qu’ils se partagent à chaque élection. Qu’était l’information dans les mains de L. Trotsky face aux feuilles anarchistes de la Makhnovshchina? Aujourd’hui, la toxico court en sweet gris marqué NYC pendant que son collègue s’injecte le maximum de produit sur l’héritage de l’underground, d’une sous-culture véhiculée durant des décennies aux USA et en Europe. La liberté s’acquière entre marginalité et servitude, le travail n’est pas un DAB. Quelques Dollars s’envolent sur une chemise à la mode, l’improvisation, c’est aussi l’intuition de toucher la raison ou choquer l’ignorance, réveiller la conscience de nos fragilités à intégrer et maîtriser, dans l’échange, les flux des monnaies. Elles s’adresse à Berlin Est, de Munich, sans même passer en Catalogne pour croire que cela va durer et exploser dans le spectaculaire, pour laisser au repos, le noir. Qui pourrai aujourd’hui acheter un journal sans déjeuner. À la table de bistro, il y a l’un ou l’autre. La presse se nourrie d’elle-même et reproduit la philosophie de son parcours. À l’heure de la dématérialisation, le vivant, c’est aussi le mouvement que l’on ne peut arrêter pour révision, nous aurons toujours tord de choisir la violence quand l’actualité et l’information, le sont bien assez jusqu’aux poubelles des rédactions. Prétendre dominer l’information est une erreur à corriger avec son directeur financier. Fini le tournesol, c’est au tour de la violette pour les abeilles

Le Yuan en Yen

Sans nul doute, beaucoup d’entreprises qui commercent avec la Chine, approvisionnent leurs comptes en Yuan. Il reste alors du liquide, le cash flow de la trésorerie en devises chinoises. L’option pour les États dont le commerce extérieur avec la Chine est florissant, est de payer leur dette en Yuan. Que l’administration américaine en soit consciente ou non, elle est lucide et sensible à la place que prend la république populaire de Chine sur l’échange et le poids de sa devise dans les transactions mondiales, de quoi faire du papier monnaie sur la dette chinoise. Binance, à Paris, malgré ses déboire avec FTX et sa déconvenue lors de la crise des banques californienne aux USA est en place au service des grands comptes et des investisseurs. Alors que le Yuan ne baisse pas avec un Dollars à 7,14 Yuans, l’Euro se baisse légèrement en USD à 1,102. Les options ont un bon rendement en Yen. À 19,7 Yen pour 1 Yuan, il grimpe encore. Vous pouvez laisser les affiche du Che, contentez-vous de transmettre, en cash, vos talents et finir les feuillets un soir au soleil levant. Dans ses condition, pourquoi nous tournerions nous vers l’Afrique pour une bouchée de pain. Quand tu te vois incapable de refuser 2 millions d’Euro. Nous voulons tous être sauvé et ne pas trainer des titres de journaux. Si on pouvait oublier la finance, on aurait des vacances. Aréva est à voir avec ses concessions au Niger et ses droit d’extraction de l’uranium. Plus bas, les diamants ne valent pas la damnation mais les malédictions sont âgé, quant à l’enfant de G. de Rais, l’armure de Jeanne est cabossé. Dans son coeur il y a une vierge à l’enfant poussiéreuse et abîmés, en bois brûlé. Nous sommes des mondes qui s’opposent avec de longues circonstances dans notre papier à musique. La guerre mondiale se déroule en Afrique où se croisent les anciennes dépendances qui ont fait les fortunes et la grandeur des banques en Europe.

Pour rester dans les clouds,

L’Europe ne s’empare pas de l’agrément d’Antichoc, dommage, cette association permet de réguler et reste un exemple pour les pouvoir d’être transparent dans l’UE. Dans la chambre bleu qui sent le roussit, un bracelet montre estampillé CCCP, l’aviateur est tombé dans un marais et passant entend le tic tac du temps. Dans le salon rose, le temps est de retours, une chinoise des deux côtés, dédoublée et qui observent plus haut, l’autre. Rien ne sert de s’opposer pour normaliser. À 3,75%, les taux de références de la BCE profitent du rebond après Covid, de la bonne tenue du commerce extérieur avec un Dollars faible dans les pays de la zone. L’économie et la sobriété des européens face à l’inflation est aussi une résilience qui paye. Au Japon, ils tiennent encore debout. Pendant que nous nous clochardisons, en France, la croissance progresse. Revue à la hausse pour le premier trimestre, elle passe de 0,2 à 0,5% et respecte les prévisions pour l’année 2023. À Bercy, B. Le Maire est satisfait et reste optimiste. Mettez de côté vos facultés de juger. Le Tic Tac de l’horloge raisonne et sonne les quarts, les pages des journaux froissés, et puis après… Les taux d’intérêt participent de la croissance, il n’y a rien de remarquable ou de merveilleux. Le pressentiment n’est pas raisonnable, elle est le résultat d’une part de la superstition. Si l’accident est un manque, le bonheur n’est que le désir d’avoir, dans le rapport avec le vide un sentiment comblé. C’est le rendement qui prévaut dans les décisions de la BoJ, nous garderons l’autorité, le respect cela se mérite. Là où les jeunes testent leurs proches pour l’avenir, les missions de protection s’amplifient de la part des tuteurs. Nous avons déjà des lois et un devoir de miséricorde, ne passez pas à côté. Les modèles ne sont plus les mêmes, la seule valeur d’un journal, c’est la démocratie, pour rester dans les clouds, il faut faire avec les codes et les lois. De toute manière, personne ne comprends rien à votre rédaction. Des corbeaux autours d’une décharge publique.

Casse tête au fond de l’impasse

Complexe d homosexualité ou non, la jeunesse devra accumuler les casses-êtes et le Pierrot voudra bien produire 3 revues au lieu d’une, entre la réforme agraire, le Kosovo et les prévisions d’inflation de la BdF pour 2025.. On attendra d’être là-bas pour manger dans un salon rose à la table de bistro. Philippe à l’horizon, les animalistes et indigénistes. Les caisses de l’État profitent de l’inflation pour maitriser son déficit et la progression des baisses de prélèvement. des estimations qui valent la peine et qui devrait soigner le pessimisme ambiant. Ils ne participent pas tous au colportage des moments négatifs ou la propagation de pensée négationniste. Il faut faire avec la colère, faire avec le danger, passer par les issus de secours, pourvu que ça dure. Restez pourtant au mât, attachés pour les épreuves nombreuses dans les ténèbres de l’Europe qui saute à la corde sur la mémoire des branches, mélange de couleurs et de genres pour la reliure ou la rupture. Qui fera le buzz à Bruxelles en 2024? Placez en première ligne, la liberté pour sortir des tranchées et charger jusqu’au sommet, où il reste le programme et la liste des élus de la république. Cette année les GAFAM ont fait mieux que les prévisions, après avoir amorti les crises, elles sont infiltré dans nos vie et nos esprit, elles jettent sur le chemin, des miettes de pain. Les traders de HSBC sont moins confiants que la BdF sur une baisse de l’inflation à 2% en 2025. D’ici là, l’inflation peut accélérer avec un Dollars historiquement bas et des hausses de taux programmées pour l'Automne et l'année prochaine au USA. Ici, il faut moins de libertarisme et plus d’éducation libertaire pour approcher la sobriété en vue d’une transition écologique qui se construit sur les modes plus que sur la culture. L’impasse est étroite et le cristal est fragile entre les interprétations du matérialisme historique de C. Fourier.

Le JDD encor en grève

C’est l’été, il fait chaud et les vacances reste un moment pour travailler. Le feuilleton à côté du Tour et de la guerre à l’Est, c’est le JDD et la résistance de la rédaction face au modernisme et la transition qu’incarne G. Lejeune. C’est à pleurer, la boue que la presse remue, le vice qu’elle véhicule et la déchéance des forces mal estimé du Livre et des intérêts qu’ils partagent du lecteur au journaliste. La presse n’est pas indépendante, elle est la vie et le sang de la période sombre de la libération mélée comme des cordes à linges où le singe rejoint une graine, la mauvaise mais certaine idée de l’Europe. Super été, loin des « sexe and sun » et autre drug and rock’n roll. Un temps pour brûler un cierge et repasser l’historique des uniformes d’officiers dans les collections privée au USA. Un génie et une sorcière, c’est explosif! Pris au piège du matérialisme dialectique, les journalistes ne reproduisent que de l’actualité et doivent se battre pour leurs opinions. Il ne s’agit pas toujours de frapper sur les pigiste au nom de la précarité. Le nationalisme est un concept moderne qui depuis la révolution française a inspiré nombre de république de la Bavière à l’Ukraine. Les débats se font entre journalistes mais on ne parle pas comme cela chez M. Drucker. La BCE à le même problème que le JDD, combien coûte le papier? Mais le journal dominical s’octroie et se paye une publicité pour la rentrée. qu’elle est la place du journaliste face à l’IA? Aux USA, il faudrai couper un panda en quatre. Les chinois ont besoins de liberté pour exprimer et tenir une croissance mondiale estimée à 3,6% par le FMI. Les rédacteurs ne sont pas des sauveurs et leurs plaies ne seront pas diffusé

tkt, c’est une diatribe de droite

Il est encore temps de rompre, à la hache, la branche du figuier qui sépare les toilettes de la cuisine. La France est sur le point d’imploser au nom du socialisme qui se vante de lutter contre le fascisme. À force d’être traité de fasciste parce que blanc et hétéro, nous le sommes aujourd’hui contre la démocratie et l’ordre de la république française et de la gauche démocrate. Les pro-chinois de 1968 on vendu notre liberté et notre travail au rythme du Yuan. L’Europe pourrait remettre de l’ordre mais reste muette dans les rangs socialistes d’une idéologie froide. Combien faudra t-il d’over dose avant le lycée pour partager les peur et la détresse des famille immigrées venus en confiance au pays des droits de l’homme? Si nous sommes encore en vie, nous le devons à la Sainte inquisition qui nous a laissé un peu d’humanité. Les hérétiques montent les uns contre les autres et place le racisme et l’exclusion en haut de la pile, pour mieux cliver et s’approprier l’outil. Le JDD peut bien devenir une feuille NS, qui sans manger a les moyen de s’offrir du papier? La place du Monde est dans une poubelle et Libération est un gouge. La nouvelle rédaction suit son destin avec ses lecteurs dont les inspirations s’organisent autours de la gauche et ce qu’elle a laissé. La presse parle d’elle-même à des lecteurs en société, en intérêts. La pensée est un squat, un balle trap. Nous ne sommes pourtant pas au service des petits propriétaire d’une gauche gauchisante de gauche. Dans la presse, ça pue la merde au milieu de nuées d’éphèbes modernes. La justice ne peut tous les protéger. Choisit-on son camps ou son orientation, sa confession? Nous reviendrons applaudir les antagonismes à venir. Cette branche du figuier ne donnera plus de fruit. Nous n’étions pourtant pas les enfant de soldat allemand mais les rejetons de combattants en Algérie. Les français nous l’ont fait payer. Si vous n’êtes pas d’accord, c’est avec ça que nous vivons et n’attendons rien de la gauche. Avec quelques ancien s francs nous irons rejoindre l’OAS puisque nous n’avons pas eut les restes que ce sont partagé les bonnes.

Le désordre c’est lui!

Le socialisme, en France aura donné la part belle aux nuisibles et aux parasites. S’appropriant le travail, ceux-ci ont usé des talents de tous pour enrichir leurs proches et protégés, sur le dos des enfants de la République. La mort n’est pas collectivisé et nous appartient encore mais faites un effort. La France, dictature socialiste n’attire guère plus que les profiteurs et les pilleurs. Souhaitons qu’avec la haine et des lois justes, la France ôte les services au patronat, des talents de travailleurs bon marché. Rêvons du chao que nous laisseront les enfants perdus à qui nous avons ôté tout espoir de s’en sortir, loin des prisons et du trottoir. Si la BdF et E. Macron ont besoin d’ordre et d’autorité, c’est qu’ils en manque intrinsèquement et qu’ils se protègent derrière les forces militaires et policières du désordre républicain, de l’injustice permanente, du socialisme et des élites étrangères à notre foi et à nos lois. Personne n’est au dessus et personne en dessous, personne n’est à sa place à Bois d’Arcy et Fleury Mérogis. Vous pouvez faire des manières derrière vos air précieux efféminés, qu’importe le goût et la liberté, du plaisir et du désir sur le marché régulé en France à la faveur du Covid. L’Eur et le Dollars ne sont pas sur la même trajectoire. La FDJ fait des profits, c’est ce qu’ont laissé les surréalistes, le hasard au lieu de l’intuition expropriée aux artistes dans leurs manifestes et dans leurs galléries. Les architectes du ghetto, de Cobra ou de l’IS auront fait aimé leurs prisons aux déportés. Vivre en cité, dans le quartier, sans pitié! L’avorton a raison, laissez place à l’ordre et l’autorité. Remarquez qu’ils sont payé. En 1981, les prisons étaient pleine, les socialistes répartissaient le butin et aujourd’hui encore, les Insoumis cherchent les miettes. Qu’il se taisent plutôt que déballer leurs poubelles. Si ils ont de l’argent, c’est qu’ils l’ont volé aux pauvres

Au croisement

Il faut gouter au prix de la chair, avec gourmandise, nous avions de l’appétit pour chercher après moult expérience, ce qui te tape dans l’oeil et brule le monde du temps qui passe sur un flux de données en denrée, pour devenir addict sans satiété ainsi que le sang qui circule jusque’à la chaleur du champs magnétique ou d’une pensée alternative ou parallèle guidée par le rendement et la compréhension du phénomène, le problème de quelque-chose qui fait l’Histoire, une forme d’espoir envers l’artifice des mots et des images écrites. La forme conceptuelle est cosmogonique mais au delà du récit, sans information. Aucun intérêt immédiat révélé par l’écriture alors qu’à l’inverse, la lecture nous plonge dans l’étymologie de chaque mot, un syllogisme heureux dans l’effraction de la culture ou de l’info permanente comme l’injonction d’être choqué par un anticonformisme de meutes exilés et agressive envers des coutume et des tradition qui sont le lien de la paix que l’on partage. L’enjeux passe par la femme, la flamme qui dort en sois, ne la réveillez pas! Ils aiment bien leurs mais attendent encore des autres, ceux qui accompagnent, sur le trajet d’une ligne, une géométrie intime. Quand les courbes sont chaudes, le point n’est pas une fin, la ligne droite c’est pour le trait noir ou une idée sombre. Ça ne peut être carré mais émoussé, l’angle est à revoir. En retard, ils peuvent déréguler le temps de percevoir les comptes dans le noir. Si nous faisons la guerre, c’est pour mieux comprendre ce lien universel des peuples et des hommes. Nous choisirons entre les apparences et une réalité qui nous échappe. Les Pay-Bas peuvent bien juger les absents et se situer au dessus des fragilités. Nos père ont transmis la guerre en se jouant de la mort, sans amour ni parole mais le reproche de ne pas souffrir comme eux de la misère morale et intellectuelle. Le travail, ne vous à rien laissé mais nous avons la peine pour vous aider.

Vous ne serez pas seul

L’individu, l’homme, la créature, le sujet philosophique que nous vivons, en mouvement reste actif en devenir spéculatif, puis sur le partir, il s’ennuie. À moins d’avoir une mélancolie apaisée et construite, ils tombent dans la dépression et les troubles du comportement. Attaché à l’expression de l’humanité et du spectacle, on se laisse entraîner à l’achat et la consommation pour occuper un temps mort à combler ainsi qu’un estomac, jamais satisfait. Ils attendent que quelqu’un trouve une solution qu’ils ne recherchent pas dans leurs quotidiens ou parmi les leurs. Un peuple de rêveurs en errance sur l’anatomie d’une histoire qu’ils attrapent, comme un train, en retard, pour finir sur le quai. Chez l’ôte, l’autre, il y a un monde qui s’oppose dans une fosse. Reconnu sur l’inverse, Groupama sur le bois, un indice pour du papier et les rejets de l’industrie, les pertes à recycler et à valoriser dans la recherche de concession en Suède, entre lac et forêt. Un projet spéculatif pour assurer ce qui flambe avec un Dollars un peu plus bas, en Euro. Partir sans un Dollars en poche et rester comme une roche. Être sénile, c’est aussi ce complaire dans un confort intellectuel alors que l’on rêve d’une nouvelle jeunesse, comme un air nouveau, plus juste peut-être, violent surement. Avec le populisme beaucoups cherchent l’aventure ou pire le retours des forces rétrogrades et belliqueuses. Avec la finance, ils seront au coeur de l’ontologie et leurs idéologies basculeront dans le n’importe quoi. L’assureur emprunteur, dans l’escarcelle de la BNPP reflux en Europe, non pas un repli mais au profit, sur le profil d’une grande banque et des fondations d’un monde en mouvement, selon le vent. La monnaie, seul roc pour s’accrocher, en équilibre seul ou à plusieurs, du haut jusqu’en bas de la pyramide animée par les artistes du spectacle. La parole, la politique sont comme une canne, comme une arme pour défendre son mot, sa voix. Ce n’est jamais l’opposition qui permet de s’exprimer. Nous laisserons place à la démocratie dans le silence de l’oublie et de la mort, désolé!

Après la nuit

Dans nos yeux, elle est dédoublé derrière des lunettes noire qui traversent notre regard. Est-ce une doublure, quelqu’un d’autre? Autre chose, ignoble et cruel, la crise reste sereine, face à face avec quelques pensées, peut-être un esprit, loin de la cohésion politique de l’échange et du partage. Non pas la cécité de la justice mais pour voir, savoir reconnaître le possible, la seule chose utile dans un espace qui s’enferme et s’éloigne de nos réponses suicidaires. Nous ne la suivrons pas, néanmoins, elle s’accroche à la vie qu’elle agresse pour exister à nos dépends. Le chinois dans le rétro-viseur, dont l’index et confiant, observé par l’acrobate à côté, pas loin mais à l’extrême opposé. Une dette qui pèse sur l’autre dans un pardessus derrière des loupes, sous les toits, habillé d’une personnalité qui n’est pas la sienne. C’est toujours quelqu’un d’autre, autre chose qui casse la glace, brisé, le miroir caché pour moitié, moitié moins de réalité, pour faire disparaitre une illusion au bord de la raison. Dans le salon rose on allonge des magazines, des fanzines, un accident éphémère dans un logement, un monde ou autre chose, un récit, une histoire, une vie. Après le délire de la consommation et de la publicité, le temps sobrement se place et nous enlace. Le cynisme qui était d’ambiance se transforme en esthétisme et au retours du beau. Puissions nous le reconnaître et ne pas l’abîmer sur les genoux. Nous sommes resté dans un monde sans amour, un monde parallèle à une table de café. Le monde laisse place peu à peu à la guerre, avec sa cohorte de haine et de violence, de vengeance. Hier à NY, il n’y avait pas d’accélération technologique, le Nasdaq perd plus de 2% et les marchés aurait bien besoin d’une dérégulation en Chine, en matière d’enseignement à distance, c’est aux parent de s’occuper de leurs enfants. Avec le confort du marché, la haute finance est un point fragile mais agile, par la détermination du nombre. Ce sont les États, qui encore, en France seront valorisé pour la transition. Avec le plein emploi, il y a moins de consommations une économie atone qui s’épuise.

Ça n’est pas fini

La crise de l’immobilier en Chine n’est pas terminé. La souplesse de la banque centrale n’arrive pas à rassurer des investisseurs échaudés dans un marché à l’arrêt. Le Dollars qui baisse laisse le Yuan à des niveaux trop élevé pour contrebalancer, par l’inflation, les prix des intérêts, d’avoirs abandonnés. La secteur bancaire chinois pourrait être très affecté de cet état de fait. Malgré les aides de la BPC, garantissant une jolie ligne de crédit. La banque centrale chinoise subit la baisse de la croissance dans l’Empire du milieu. Mauvais résultats pour le HSI à Hong Kong qui encaisse mal cette mauvaise santé de l’économie sur le continent alors que les tigres d’Asie risque d’en faire les frais. Pendant que le HSI s’enfonce dans le risque, Francfort est démultiplié sur une division où garder un point fixe, strict…!? Les difficultés en Chine sont une mauvaise nouvelle pour le commerce extérieur. L’assureur qui offre du crédit c’est aussi une cellule global qui tend à l’universel. À NY, le temps c’est arrêté, l’UE sans le RU est bien isolé et l’immobilier de standing, dans la ZE ralentie ainsi que l’activité en Allemagne dont la croissance pourrait être révisé en dessous des 1,6% annoncé en 2023. Le monde, à la veille d’une récession reste concentré sur les objectifs de Washington. Après le nouveau choc sur les céréale, le HCR est sonné et voit ses stocks diminuer selon une courbe qu’il reste à observer. Les place occidentales avaient l’air de conserver le moral cette semaine. Avec des rebonds successifs, WS donne la tendance et elle résiste.

Le JDD toujours en grève

Le conformisme de gauche nous donne à accepter l’expropriation des médias par la libre pensée socialiste, selon les normes démocratiques. Un collectif de journaliste, au JDD veut prendre le pouvoir d’un marchand de papier convertie dans le stockage d’énergie. Une énergie qui fait consensus en Europe. Encore une expropriation de la gauche pour la protection de la nature ou dans le cas des média, tel la radio tchèque face aux chars soviétiques, à Prague en 1968. Un imaginaire qui dégueule chez quelques hérétiques. Avec l’immigration, l’expropriation persiste. Ce n’est pas un remplacement, c’est la nouvelle expropriation d’une génération pour l’espace et la liberté d’expression. Nouvelle étapes dans la construction du socialisme réel des guerres de classes, guerres sociales pour des hommes qui ne savent que faire de leurs talents, sinon voler et insulter la morale. On voudrait un JDD en papier à cigarette type OCB Large, avec une mauvaise réputation dans le fond. Notre réalité n’est pas collective, qu’irions nous faire au Livre? Nous sommes dans une période révolutionnaire de redistribution aux frais des propriétaires, des rentiers et des travailleurs. Une bande d’égoïstes hypocrites plein de cynisme et de vulgarité veut un journal, c’est normal…! Et ce n’est pas un tord mais gardez votre prétention à représenter les droits de l’homme dans les pages de Marat. Payez vous un journal pour le vendre dans des librairies à Montreuil qui dégueulent elles aussi de papier et d’archive pour les individualistes. Pour réviser le droit à la propriété, beaucoup d’entreprises ont fait grève avant de fermer. En attendant de manger les confitures, qu’ils rendent ce qu’ils ont volé caché derrière la force de la loi, protégé par le fort, ils ne laissent rien derrière, c’est à droite qu’ils termineront le travail qui les condamne.

Sur le Dollars

La raison en Dollars, sur un numéro d’équilibre, habillé en clown. En Dollars les rêves, les besoins, les désirs, en Dollars le smallcap sur le midcac. Un indice équilibré pour une stratégie sur 12 mois, payable à terme sur la capitalisation du billet vert, à l’envers d’une monnaie plombée et liée, l’Euro ou le Francs Suisse. La Livre Sterling à la traine reste en peine. Nous pourrions penser que la BCE ralentisse les hausses de taux, la discussion est en cours. Principal argument, l’inflation. À 1,27 USD, la Livres Sterling baisse sur un Dollars en baisse. La BoE n’a plus d’outil contre l’inflation dans ses conditions et les hausses de taux n’ont pas eut l’effet escompté. Pour les compagnies, croquer c’est exister et survivre dans un contexte sous pression où les marges sont étroites. Le Footsie est tombé jusqu’à 7 453 pts, une manière so british de servir le thé. La baisse de l’inflation aux USA n’est peut-être pas le résultat de la hausse des taux mais une normalisation post-covid. C’est un trajet en charité, mieux adapté que le travail salarié. Les hedges funds mutent en vautours et perdent de leur rentabilité sur des objectifs trop spéculatif. Pas d’alternative dans la finance, comme en économie, on ne transige pas avec le droit et la force de la loi. Les spécialistes sont passé et restent inutiles dans la synopsis du mouvement qui cherchent un moment en argent. Des voyageurs immobiles qui freinent la lecture pour mieux observer l’image de la synthèse, l’histoire du malaise entre rupture et mal-être. Des données plus justes et précises qui utilisent la symbiose à travers l’idée de la dialectique et de la compréhension. Ne perdez pas pied, ça n’a pas commencé. Agrémentez vos relation d’étudiant avec le HCR pour les fidéliser et gérer leurs activités. Le Dax était encore volatile hier à 16 000 pts il est élevé pour plaire, dans une relation courtoise reflétant une histoire faite de désespoir, la noblesse fera le reste si l’aristocratie ne fait pas trop de manière.

Smallcap sur Midcac

Certains, protégés par les pouvoirs et les collectivités cherchent le maximum de clients pour des opérations financières dont-ils sont les dindons. Avec le rachat de Casino, d'autres s’attaquent à la distribution et à l’alimentaire pour spéculer sur les tensions sur stock et « commodities » Il faut perdre la praxis sur le délire collectif de la révolution technologique. Garder des preuves pour donner des idées folles dans les hôpitaux psychiatriques. L’impulsion neurologique d’un schizophrène est normalement optimum dans un environnement anxieux et le fond d’un décor, un délire sociétal qui l’accompagne. Si l’on prend ses aises, c’est pour trouver une solution vitale, une manière d’émanciper la raison dans le traumatisme de nos passions. Comme ultime moment de la fin, un moment positif à présupposer pour avoir, avec sensualité prétendre à fixer un instant, une action, en conservant la raison avec calme. Ce ne sont pas les murs de la cellules tapissée de papier, mais la liberté d’exister au milieu de cet espace ouvert et fermé, lumineux et noir ainsi qu’une chapelle, un autel. Attraper une flamme, là haut, lorsque le ciel s’ouvre et laisse passer la pluie ou le beau temps. Ce n’est pas le Roi, mais le retours du monstre dans le regard de Tiresias qui aime ça, fouetté, comme les naïades par de vagues harmonies qui renversent les nuits dans la démocratie, loin du sang et de la chair, sacré pour se protéger. L’important, c’est le présent, le vivant. Un small cap sur le midcac, c’est le menu du Titanic, sur les ondes magnétiques pour se cogner, sans frapper aux murs de la raison

Pour un thé tiède

AT&T perdait 5% à NY, la semaine dernière, l’habitude est de soutenir le Nasdaq en rognant sur le DJ et le SP500. Dans cette tache, de mieux répartir ses investissements, Veolia, avec les tensions sur l’eau et le besoin croissant de rafraîchir l’industrie pourrait donner, une projection en positif. L’humanité a besoin de l’expertise de Veolia et celle-ci progresse sur le marché des actions avec une ascendance maitrisé et constante. Certains cherche des alibi pour faire du profit mais l’air du temps n’est plus à gauche et l’église est resté froide. L’Euribor pourrait chauffer lui aussi et atteindre 4,7% sur 12 mois. En Europe, les banques se réfèrent à l’Eonia à 3,3%. Les esprits sont échaudé pour la rentrée. Les assurances, qui supportent les produits financiers dans leurs conceptions, pourrons progresser et relever le prix et le coût de ses produits. Ça chauffe dans tous les domaines, à la base pour un thé tiède. Elle est retourné dans ses voyages sur le bord de la route, en ronce ou en pierre. À la source du profit et du conflit, les banques ne dansent pas ensemble, il n’y a rien de pourris dans le Royaume, les affaires sont en cours, en guerre. Les risques pesant sur les banques régionales se sont estompé mais les banques restent en ordre de bataille. Le fric injecté aux banques suite à la crise de 2008 n’aura servit qu’à creuser des comptes auxquels personne ne peut avoir la prétention de croire. La ZE est stabilisé mais peut-être pas insensible aux turbulences des taux sur les flancs des États qui la compose. L’état comme principe actif dans sa destruction programmée, en croyant le soutenir et parfois promulguer des restrictions en période d’austérité. Le travail en temps de crise, c’est quand tout va mal et que nous restons mal préparé pour encaisser les circonstances et s’adapter l’action en agissant dans l’urgence loins de la panique. Les actifs des banques centrales sont stabilisé mais ont encore du poids dans les résultats. Poser le problème, c’est s’offrir la moitié de la solution, d’où la définition

L’inflation est derrière, en embuscade

Mon oncle avait beaucoup d’humour pour que nous croisions des organisations clandestines évoluant dans la presse parmi des gens d’esprit. Des journaux sociaux, du papier jusqu’au JDD pour le retour au numérique contesté par les vendeurs d’alcool, de drogue ainsi que des chimistes, des pharmaciens qui mettent de la pommade sur le pain sans beurre pour le quart d’heure. Alors pourquoi acheter le JDD sinon pour le développer avec l'espoir du numérique dans le CV houleux de mais non moins talentueux de G. Lejeune. L’Euro grimpe à 1,1 USD, lequel fait baisser le Yuan pour rester à 7,1 CNY, l’Euro à 7,6 Yuan. Des taux de change qui favorisent le marché et le commerce chinois entre l’Occident et le soleil levant. Les monnaies devraient se contracter au signal des hausses des taux annoncées par C. Lagarde et l’équipe de J. Powell. L’inflation est peut-être derrière mais reste en embuscade pour progresser sur les marges, par les salaires ou d’éventuels chocs sur les stocks. En déshérence, ils attendent leurs comptes au prix de l’ennui. Le mystère c’est le salaire, le prix d’un travailleur le long de son existence sur une réduction du coût de production. L’esprit noir guide le travailleur dans sa tâche, certains y échappent pour fuir le pouvoir d’achat pour une simple condition de précaire. Attention aux bulles pour 2023. Si V. Bolloré achète le JDD, c’est que Spirou n’était pas à vendre et LibreGhetto pas plus. Un industriel a besoin d’un support tout comme B. Arnault avec Les Echos ou l’Agefi. Les publireportage ne manquent pourtant pas dans Jeunes Afrique ou sur les papiers des banques africaines. C’est toujours la monnaie qui régule et donne la cadence de la croissance estimée à 2% cette année en France. 2% de croissance, 2 millions d’emplois

Une image comme programme

Les héros d’aujourd’hui sont les même qu’hier, le soldat inconnu le comprend trop bien à l’entente des balles et des bombes qui s’éclatent dans les détonations du 14 Juillet. On empêche pas encore la pluie de tomber, les Républiques se succèdent quand les Empires se rencontrent sur des monnaies de singes, pour des peuples dans une concurrence exacerbée, puissance 20. Sur des comptes desquels, il faudrait extraire la racine toxique, alors que les familles se déchirent, l’Europe tempère, contournant les ténèbres exposés en Ukraine. Qui de la Fed ou de la BCE bousculera les taux cet été. On se heurte toujours aux limite mais les appréhendant, nous les contournerons plus facilement. La peste c’est l’info alors qu’il ne faudrait rien dire. En France aussi il n’est pas facile d’être pour la paix, l’égalité et la fraternité. Les héros disparaissent de nos livres d’Histoire, nostalgie passagère d’un monde perdu à jamais. À l’image de Rodolphe ou du jeune Werther, lorsque le portrait, le caractère et le texte soutiennent le discourt sur des infographies animées ou statiques, lorsque tout est lent et que ça va rapidement. L’inverse est perverse. Parfois le temps d’apprendre à tuer. La répartition des droits et des choix étranges que le ciel de la République nous ouvre sur un budget voté dans une cour carré. Rien n’est carré dit pourtant l’abbé. Réduire la dette, c’est le lot de chacun, une promesse, un voeux pour négocier le possible. Manque de perspective, absence de probabilité guident l’espoir des voyageurs vers un ailleurs, dans le peu de lumière noire offerte comme le présent d’un bal, absent mais constant dans la requête d’une doléance. Un voeux, une promesse au fond de sois, le poids d’une lanterne.

La hauteur du mur

Avec des hausses de taux à venir, les coûts du crédit augmentent et tendent la dette vers le défaut. L’accident est là, dans un langage dirigé contre la littérature approximative qui nous donne de l’air dans un atmosphère disponible à l’expression des antagonisme sociaux et historiques. Alors que le temps long se réduit sur le court, la politique monétaire se resserre. Comme dans la presse, on vend du papier jusqu’en 2024 pour un choix évident ou ambivalent qui exprimera la brutalité du mouvement engagé dans la lutte pour le droit et la démocratie. Pour un peu de douceur, du bonheur que l’on a pas pour partager les difficultés, seul habillé de papier. Nous n’attendons plus la magicienne pour manger le pigeon, elle n’est pas très heureuse de la tournure, d’un compromis qu’elle doit payer d’une façon ou d’une autre. À droite comme à gauche, ils donnent l’aumône que recevra une génération persécutée et insultée, à la tribune d’un théâtre de guignols, commenté par la crème de l’intelligence autoproclamé au JDD ou à la SNJ. Laissons les intellectuels remuer la « merdre » qui amuse les journalistes avec leur instruction et des études payées à crédit. Le phénomène de la crise les accompagne jusqu’à la mort… Ne jouez pas avec la chienne, laissons les enfants, dans le jardin jouer avec le lion. La révolution, c’est de l’autre côté, le mur qui nous sépare est à mesurer, avec ses connaissances et de l’expérience. Il faut apprendre avant de réfléchir et d’aimer le tricot pour travailler à Mode & Travaux. Tous sonnés par les taux d’intérêt, quand ils seront trop pauvre pour vieillir. Les écologistes mesureront les désastres des rejets de la guerre dans l’atmosphère.

Le Dollars relève une économie en guerre

La préservation de l’espèce est un concept encore moderne, de nos jours et de nos nuits. Le 10 ans US 4% et l’OAT à 3,1%. Alors que 1,118 Dollars font 1 Euro, le commerce profite de la baisse du Dollars, en plus d’un baril à 79 USD. La maison de Dieu est comme le magasin d’un marchant de porcelaine, de Limoge à Stuttgart, sur une autre frontière, fragile comme un cheveux au bord du vide. Ainsi que le prédisait la BCE en 2009, nous brulons les dernières cartouches de la fin d’un monde à rebours et en retard qui cherche l’effet sur lequel appréhender l’instant subjectif et universel dans les termes. Avec la faculté de rêver, nous mourrons en paix. Comment faire pour changer une malédiction?… Ne rien casser! Le Dollars moins cher soutient l’économie pour offrir des moments d’investissements et de capitalisation. Mécaniquement, la baisse du Dollars et la hausse à 80 USD le baril donne un temps fluctuent. Cependant, les voyageurs se méfient du mouvement, c’est la peur des pays européens face à l’inconnue qui est là. Un ajustement pour le Yuan qui remonte à 7,1 pour un Dollars US. Les pays de la ZE spéculent déjà dur d’éventuels dommages de la guerre qui oppose la Russie à l’Ukraine. Avec la gauche, tu te mets le doigt dans l’oeil… Restes aveugle! On ne sait jamais où l’on met les pieds. C’est un temps pour les LBO au regard des défaillances d’entreprises. C’est une activité qui peut profiter du contexte de la pente douce en matière d'inflation qui se stabilise un long moment laissant passer la progression ascendante et la croissance, seul choix disponible au présent, dans une conjoncture durablement difficile.

L’habit du social traitre

Couvert de l’habit du social traitre, le seul moyen de faire de l’argent, c’est escroquer, de manière toujours plus astucieuse. Le commerce est-il du vol? À l’image d’Indexia et Hubside qu’on imagine très bien dans la république de Weimart, entre Shopenhauer et des lois, des budgets pour les minorités. Pendant que le gouvernement français joue avec le feu, l’allemand ferme les yeux, laissant l’éducation après Auswitch aux intellectuels. L’Europe protestante, l’Europe réformiste croit soigner leurs douleurs sur le dos des églises et des hommes. Plus de droit pour certains, plus d’argent et toujours moins d’espoir pour les peuples. Le bien être au détriment du confort de nos enfants, pendant que les promoteurs se battent pour construire le grand Paris, handicapé par les taux mais promut pour les JO, l’immobilier reste en peine en Seine Saint-Denis, taxé d’une mauvaise réputation mais riche d’une population en devenir, souffre douleur parfois de la réaction à la société bourgeoise. En 2024, les cartes seront jeté au parlement bruxellois, pour une nouvelle coalition alliant les souverainisles à une sociale démocratie déguisée par l’écologie et déchirée par des extrêmes autoritaires et brutaux. Caché derrière les érotomanes, harcelant les jeunes de plus en plus tôt avec la reproduction et à travers l’image de la pornographie. En France, une nuée de juristes s’approprient la défense des justices sociales. Plaise à Dieu que cela tienne un peu pour continuer de cracher sur K. Krauss avec W. Benjamin dans les mains des douaniers à la frontière suisse. Notre corps n’a déjà plus de valeur, quant à notre derrière, il nous appartient. Vous avez des allumettes et nous avons la lessive. Les médias sont bien démocrate en Europe mais la gauche c’est égaré laissant derrière elle une génération perdu, outre les peines que l’on transmet et qui ne s’effacent jamais. Le pianiste de S. Dali ne cultivait pas les contradictions, c’est toujours, pour une démocrate, la manière de défendre le droit. Bien que dépourvu de l’Histoire, la porcherie laissé par 1968, en France ne servira pas à tout le monde dans la république des Roms. Le rouge est devenue garance, l’Empire à Versailles donne les orientations. Le mauvais sang se mélange et l’ivraie se partage dans un environnement dégradé, la France est malade avec l’avorton de F. Hollande et des métier dépouillés de travailleurs et de talents. E. Macron décide de tout employant le « nous » royal. À Versailles, les pavés sont froid.

Sur une chaise vide

Pourquoi ne pas visiter les labyrinthes de la solitude, avec des concitoyens ouvert puis fermés, une serrure à sauter. Entre le singe et le gramairien, c’est une toile sans fond, profonde, loins dans le noir, dans l’alternative du rouge froid. La cruauté des révolutionnaires et des ouvriers sur le marché. L’emploi au USA déçoit et secoue les marchés cette semaine, les entreprises régulent la force de travail à la mesure du prix de l’énergie, la chute du marché du travail révélé par ADP est une correction mais sans doute aussi le symptôme d’une surchauffe de l’économie américaine. Présupposer le noir ou appréhender un ralentissement dans la hausse des taux par la banque fédérale. On ne repère que les erreurs, les problèmes structurels qui donnent un récit à l’Histoire. Le Yuan baisse et perd deux bases le temps d’une visite de J. Yellen en Chine pour négocier les équilibres des échanges avec les USA. Le HSI décroche depuis le début Juillet, de la base des 20 000 pts, pour retomber à 18 363 pts, les marchés ne retrouve pas l’activité et la liberté nécessaire à l’expression du libre échange. C’est comme inverser les gestes de chacune des subjectivités ce faisant face et à travers un miroir inversé. Les marchés sont fragiles et de moins en moins résilient. C’est l’accident qui rapproche et contamine avec des résultats au bout du rouleau, lorsque le frottement produit de l’électricité statique et réchauffe les relations dans le premier feu d’un ancêtre commun avec le reflet de nos mains. Les alternatives au travail se mettent en place avec l’aide des élus et des corporations. En attendant l’autocritique d’un patron maoïste, vous serez toujours trop onéreux, les jeunes sont un vivier, payez par leurs parent ils peuvent travailler jusqu’au chômage en burn out. Avec l’aide des nouvelles technologies, il ne laisseront que la monnaie avec des gens mal élevés, connecté à Fininfo ou à Libreghetto. Pour les surendettés de la BdF

La dernière pierre

Titriser est une solution qui a déjà entraîné la finance dans les pertes en 1990, avec des startup ne pesant pas lourd. Jusqu’en 2008 où les dégâts ont touché les dettes des pays de la ZE. Bien entendu, titriser une fintech et la valoriser pour avoir une licorne est noble dans le principe. Titriser avec du Bitcoin des rapports négatifs de ratio est osé, même avec un Bitcoin à 30k d’USD, et doublement si l’on prend des parts au marché virtuel de l’or. Un pari qui peut être gagnant un temps mais qui reporte encore les échéances d’un modèle épuisé, hors temps. Les banques sont stabilisées, la crise financière peut commencer avec sa cohorte d’entreprises en cessation et des masses de chômeurs, une décade plus tard. Chez Black rock, ils semblent soutenir le Bitcoin pour prévenir leurs actifs dans les technologies. Certains préfèrent convertir en ETF pour équilibrer les risques du marché dans un contexte très sensible à l’inflation. Une titrisation qui peut fausser les comptes et nuire aux résultats d’une IPO ou d’un rachat. Si on rajoute la volatilité du Bitcoin et de l’or, c’est suicidaire et on se demande ce que vont nous expliquer les spécialistes et autres économistes auto-proclamés, pour justifier les pertes en cas de crise. Avec cette méthode, on peut renflouer les pertes et appeler toujours plus de cash, mais cela suffit-il? Les cuisiniers inventent de nouveaux plats pour en avoir moins dans l’assiette, l’alimentaire plombe la consommation, il faut encore trouver des sources de financement et les faire passer pour du développement où caser sa dette. Qui va lever 2 Millions pour ta tête…? Nous même nous fuyons la crise mais celle-ci revient constamment comme un mouvement permanent et constant. C’est un langage de sons gutturaux intraduisible que ce partage des jeunes de tout horizon, en bas des cités. Un nouvel ajustement s’impose comme le régulateur d’une génération. La lumière noire qui nous éclaire comme le souvenir, habillé d’ombres dans la lueur du nombre, nous cherchons un cailloux, une pierre, la dernière, une marge à jouer, une plage pour se reposer.

Redresses ton képi

Le petit singe, Capi est allé sur la corde à linge pour mordre le pompier. Après un pic du « private equity », les Fintech titrisent leurs dettes et augmentent en capital sur le plafond où sa frappe ou sa casse, on entrevoit des formulations d’opérations compliquées sous le phare, lors d’une chasse, sous le soleil de Juillet. Entre la crise à transmettre et les injonctions du Ministre, jouant sur les modes, nous n’avons pas le temps d’aimer pour le regretter. Un ou une Ministre, une idiote ou une sotte, une autre façon de ce moquer de l’empathie pour Paty. Nous avions une douleur et maintenant, c’est la colère qui ne se transforme plus pour leur faire plaisir. Nous vous conduisons vers la peine, puissiez pardonner avec le temps, on assassine que les anges avant qu’ils ne partent, laissant une autre douleur, un poids dans le résultat. On ne croise jamais que des toxicomanes, quelle est ta cam?!… Son imagination n’est peu être pas la solution, il reste la spéculation. Redressez vos képis, junky’s… Nous n’avons pas regardé les cygnes comme des imbéciles, en attendant la sentence, nous nous sommes effondré, figé et froid, tremblant en corps Essuyez vous les pieds sur le paillasson de la paix, sur terre inconnue, tournant comme un manège, dans le brouillard, dans les grands fonds, c’est la nuit. C’est encore le désespoir qui nous guide, une énergie négative comme du sucre rapide qui laisse des traces. Le chômage aux USA n’a jamais intrigué WS. Depuis 1990, en Europe, l’élasticité du Dollars sert d’ajustement pour soutenir les échanges et maintenir la production, faire appliquer les directives de Bruxelles au regard de 2024. Un temps pour plier une chemise et reconnaître sa famille déstructurée, comme un volcan qui ne s’éveille pas, concentré à se contenir et obéir aux lois physiques de l’éruption. Ce n’est pas un rêve, ne reste que des prières

Hausse des taux en juillet

Nous nous opposons aux lois mais ne nous interdisons rien, pour chercher et rechercher l’indice ou le début d’une réponse, une solutions qui aidera l’autre. Peut-être notre mort sur le tapis, qui nous accompagne comme une douleur domestiquée. Ils cherchent des grâces à attraper mais cela s’enraye sur toute chose, toute pensé. Des indemnités, des dédommagements détournés par le bailleur, le temps du changement, on ne va pas s’occuper des mourants et des enfants fatigué par le poids des peines de leurs parents. La meilleure, c’est accélérer la hausse des taux sur les deux rives de l’Atlantique. Remonter le taux 10 ans US à 5 et l’OAT à 4%, consolider le plafond sur une mesure de 13 au delà des 12 temps pour atteindre dans 10 ans les 8%. Et encore, tout reste à découvrir entre le meilleur et le pire. Lorsque le froid envahit toutes les idées, bercées dans une mosaïque de pensées que les oiseaux animent sur une vieille branche… Des papiers et des courants d’air entre les portes qui grincent. Après le jour du dépassement, nous mangeons à crédit, notre pain de ce jour. Fallait travailler pour la haute finance jusqu’en bas. On ne donne jamais que la moitié puisque l’autre appartient à l’État. C’est dans l’improvisation et le free jazz, un peu saoulant que l’on trouve la radicalité d’une lutte pour la liberté. Quant à l’immobilier, on ne sait jamais, déprimé et anxieux dans un monde inventé, paranoïaque et sans personnalité, elle panique. Ce qui fera l’indifférence, c’est la justice ainsi qu’on la conçoit, dans la domestication et les remises en cause. Une princesse et un carrosse avec des mains déliées… L’enfant des loges est devenu vieux, c’est exotique ainsi qu’un chant animiste, le mouvement parallèle et alternatif noir aux USA. C’est un coucou suisse aux poids des pommes de pain

C’est pas toujours la fête

On ne soutient pas la guerre, mais la vivons au quotidien entre obligation et actions, devoir et pouvoir, chacun choisira le rendement. Ils ne dorment plus, ils vivent un trouble et une mutation psychologique à force de déséquilibre. Dans une nuée d’oiseaux, la direction est elle le courant atmosphérique ou une intelligence de groupe?… Un accord collectif, une relation communautaire. En France, avec des batteries dont les prix baissent, certaines mines peuvent-être attractive avec des risques dans certains pays. La pression est dense et les tensions s’exacerbent au Proche-Orient. En Europe, on attends trop des Républiques d’accueil, pour une nouvelle info, il faudrait chercher au delà des données, entre les lignes, voyager en poésie sur les dérives des sociétés. Sans mélanger le rêve diurne avec la nuit, sans contenue érotique, le marché! L’index de notre droite, l’adresse de notre destin dans l’activité de nos mains. Qui joue avec le feu?… Un peu. L’Allemagne, elle aussi est secoué par la guerre à côté. Pendu avec dignité en balancier, on vie dans la mort, comme un soleil pour nous aveugler dans un bleu noyé. Réduire les délais c’est toujours tirer sur la corde alors qu’il manque de liquidité pour réaliser du stock. Ce sont encore des chrétiens qui se foutent sur la gueule. Sur la place de Paris où volent les fonds vautours, mieux vaut soutenir ses obligations pour éviter qu’elle ne coûte trop cher à la puissance d’une vente à découvert, sur un flash krach du High yield. À Paris,les assureurs sont sur le grill… Chauffe qui peut ! À la vitesse de la monnaie qui circule et une friction forte qui génère des profits sur les marchés actions cette année. Pour créer dans l’estimation des pertes qui plombent les comptes, des alternatives sensibles comme les mutuelles et les banques sociétaires, nous sommes presque pas loin. Le taxi et son effet kiss cool sur la route après les photos. La piscine est vide avec trois ou quatre cadavres baignant dans leurs sangs. C’est pas toujours la fête

Caché dans un bunker

La théorie du ruissellement ne fonctionne pas. Sous R. Reagan, elle a été avancé mais n’a fait que creuser les inégalités au USA. La jeunesse américaine a le choix entre la drogue, la prostitution ou la délinquance, avec en prime, un tour en prison, pour finir avec la possibilité de tirer dans le tas. Les miettes du ruissellement ne durent pas dans le temps et abîment considérablement l’économie des pays. Et pendant qu’en France, l’État engrange des profits avec la hausse des prix, elle se demande qui va payer…? Pourtant la France vie au dessus de ses moyens, sauver les meubles coûte cher et le socialisme allemand est patient. Ce n’est pas la question d’identité, personne ne veut être français. Nous avons besoins de nouveaux mots dans une littérature en déconstruction. Ne pas redéfinir Le Robert mais décrire des actions dans le présent des marchandises et des hommes selon des codes. Comme Casino, la France reporte toujours les politiques utiles pour la collectivité au profit du privé. Le grand Paris, c’est aussi des populations déportées dans des zones que les locataire rénovent pour soustraire toujours plus de charge par moins de solidarité aux mains des bailleurs, du BTP et des relations politiques entre public et privé. L’Europe, elle-même est touché par le comportement social de nos élus et représentant. Sans surprise, à Bruxelles, elle ne comprend pas moins l’exclusion des races, que l’argent dilapidé dans des plans de rénovation des zones prioritaire où elle-même est présente et impuissante. Sous la poutre nous ne cherchons pas les clous mais un pieu. Entre obligation et actions, il faut choisir

Un dialogue éprouvé

Nous sommes de bonnes bases et le destin nous a renforcé d’une matière noire. Entre fusion et repos, l’énergie à découvrir est celle espérée des consommateurs, des entreprises et de l’activité. Une matière pour figer le temps et chercher le présent. Euclyde, module spacial lancé par SpaceX, nous donnera peut-être des réponses et beaucoup de questions à résoudre dans notre quotidien, nos besoins. De toute les façons, l’avenir est compliqué et les jeunes, en France nous le dise ou le prédisent à ceux qui ne les regardent pas. Encore une génération sacrifiée, alors que ce n’est jamais assez. Ce WE, les services des réseaux sociaux étaient perturbé en France, c’est le maillon faible. Une lettre timbré ou un pigeon sont une valeur sûre. Et Twitter E. Musk?… Loins des premières émeutes de 2005, c’est maintenant la révolution qui s’installe. C’est un peu la fin d’une Histoire et d’une République, vers une nouvelle chance, une danse que personne ne souhaite. Une certaine gauche veut remplacer une république par une autre, mais la révolution ne choisit pas, elles est en bas! Avec les agitateurs et les influenceurs, les phénomènes de masse ne peuvent-être calculé, sinon entamé par des opportunités individuelles ou organisées. Il faudrait voir si les Maires font le nécessaire. On ne regarde pas assez les conflits d’intérêts chez nos élus, la confiance a disparut. Loin des lettres d’injures jamais prisent en compte. Avec de nouvelles lois de programmation militaire, Thales et SMT pourrait performer à 2 ans. Dans l’insurrection qui vient, la dimension technologique des communication et l’application des techniques et des méthodes sont éprouvé par les terrorismes et l’armée

Des livres brulent encore ce matin

En 1920, les surréalistes, jusqu’aux années 1980, ont cherché un monde autours des objets, les plaçant au dessus des mouvement, loins de l’humain, les objets ne veulent rien dire, compliqués à l’usage, ils encombrent notre quotidien et n’appartiennent pas à la représentation populaire. Non pas au service de l’émancipation, les surréalistes, en tant qu’artistes étaient avec A. Breton, au service du capital et de la bourgeoisie. Cette construction ne nous était pas destiné mais bien plutôt le support de la reconstruction des politiques industrielles, de l’après guerre, en Europe. Ils se sont servit des derniers espaces de liberté pour les estampiller à leur propre publicité. Maintenant, notre quotidien et notre intimité sont soumis au rêve culturel et à l’environnement d’objets inutiles. Pensons à l’émancipation des enfants soldat, cachés, avec leurs armes sous le lit. C’est avec R. Magritte que le surréalisme, en Belgique fermera la porte des prisons. Cherchez donc la sensibilité d’un enfant qui a le choix entre la drogue et la délinquance, alors qu’à 17 ans, certains ont déjà passé plusieurs mois enfermé. Pendant les émeutes, certains concurrent de magasins pillés et cassés récupèrent des clients qui n’ont nul part ou aller. Ce qu’on aime, c’est ce qui vous fait peur, en opposition à une démocratie qui ne veut pas d’hommes libres, mais d’hommes soumis et docile, aux ordres. Comme le chien d’un parent sympathisant de l’OAS. La violence, c’est à toi de la répandre à travers tes mots. Dans l’hypocrisie, nous ne serions pas l’huile sur le feu, le sel et le sang de la terre. Et lui, mon ami qui a vue sa mère 1mn, dans un aéroport à Saïgon et qui la cherche encore aujourd’hui dans les poubelles à Paris. Son Dollars gribouillé, il l’a joué… L’hôtesse de l’air a disparut.