jeudi 28 janvier 2021

Revisitons le noir

Le socialisme et la gauche en général, ne veulent pas de l’ultra-gauche, solution à la critique du gauchisme de Lénine à Cohn Bendit. Trop violente, trop franche, sans projet et sans réponse à leurs questions. Castoriadis qui fut l’un des prétendant à la construction d’un partie d’ultra-gauche, allias P. Chaulieu, prof à Lyon, demandait, lors d’entretiens avec à A. Pannekock, quand serait le bon moment pour que les ouvriers prennent les armes? Si Castoriadis a besoin d’arme, il n’a sans doute pas besoin de la classe ouvrière pour en trouver. D’ailleurs, pour quoi faire?… S’en coller une?… Tirer sur nos amis?… Où chercher des ennemis?… Chose évidente en ses temps de crise, ce sont des question qu’il faudrait peser. Mais la révolution reste vacante pour ceux qui chercherait un os à ronger ! Peut-être est-ce déjà en prison que se dessine la nouvelle géographie européenne. Certains chercheraient une place dans le concert des Nations? Peut-être accrochés à l’idée d’une nouvelle république comme la VIeme. Pour créer un choc autoritaire, légitime en ses périodes de restrictions et de résurgence autoritariste. En attendant la distribution de douceurs, au prix de revient, avec l’argent d’une arme, on préfèrera manger. Sinon, ainsi que le fonctionnement de l’Etat prussien, il faut pillier pour que la guerre soit économique et que s’équilibrent les forces sociales. Mais la guerre est asymétrique et ne laisse guère le choix, sur l’axe horizontal, dans l’effervescence des comportements et l’harmonie de la crise. L’Europe n’est pas la cause mais elle est, avec ceux qui la constituent, une aide précieuse en faveur de la paix. Parce-que l’Europe est notre espoir, le prolétariat lui donne sa vie comme bien des ouvriers auparavant. Le sous-prolétariat en avant-garde est la mesure des souffrances passées et avenir. Quel Etat pour assumer de nouvelles idées? La France, l’Allemagne, ou les deux, le moteur d’un continent et les garants de nos libertés.

vendredi 22 janvier 2021

L’autre côté, c’est ailleurs

La notion de gestion de l’erreur, implique une économie des catégories esthétiques du droit, segment de la morale et de la vertu qui en découle. Face à l’impossible, à l’inaccessible et à l’inacceptable au prix de relations dialectiques et matérialistes dans les sociétés européennes. En crise, exclut pour témoigner d’un fait bien exploité où le prolétariat c’est émancipé et a intégré le capitalisme. De l’autre côté, c’est autre chose… Le mouvement intègre et exploite les forces sociales laissant de côté l’attraction passionné pour les sciences critiques et les pratiques parallèles ou alternatives en temps de crise nourrissant le mouvement du négatif par l’exclusion. Ainsi les politique font face alors que la modération n’est plus, ainsi que la tolérance, ce qui laissent des corps désorganisés et qui prennent place dans une démocratie abîmée par l’extrémisme et le négatif. Parce-que la modération et la tolérance sont des marques de faiblesse, nous nous cachons, nous aussi, dans la complaisance, bienheureux les faibles d’esprit, mais avec la violence de la vérité et la faculté de juger le quotidien. Quel attitude prendre? Quelle position dans l’autorégulation de la société et de ses usages? Devant les contradictions dont a hérité le prolétariat qui assume, la crise, sans apaisement lorsqu’elle vous saisit en l’espace d’un temps de décomposition lente des rapports avec le spectacle oppressant de cette culture dominante. Si la théorie était rentable, il y aurait moins de poésie. Une génération qui apprend a surfer sur la crise et qui devrait être la préoccupation des élites bien trop occupés a partager leurs influences et chercher des zones de frictions pour assimiler les grands déséquilibres ainsi que les pilliers d’une géographie politique. En cherchant l’erreur, s’opposant à chaque instant, l’accident révèle le meilleur de l’inconscient, un rêve comme celui d’embrasser la justice et l’équilibre en appréciant l’attente réduit au nécessaire. Toujours frôler le danger, rester en friction avec la réalité.

mercredi 6 janvier 2021

#loiSécuritéglobale : surveillance générale

Cherchez l'erreur...

La nature dominerait et la servitude resterait à son dévouement dans les méandres des schémas critiques .S’opposer à la forme jusqu’à l’accident projeté par l’élan du mouvement et qui conjugue dans un sens les cycles naturels sur les tensions critiques posé par zone ou secteur dont l’afflux de négatif se spéculent dans la crise, s’opposent à la forme prenant des risques jusqu’à un nouvel accident. théoriser l’avenir est un errata de pensé et d’espoir en elle, bien au-delà du matérialisme que suppose une construction de relations internationale. Ainsi les différentes coopérations en Afrique australe comme exemple de cohésion initié par la puissance universitaire d’Afrique du Sud. Aux USA déjà, les Etats ont et gardent des liens très différents avec l’Union. Quant à la fédération de Russie, elle c’est aussi construite dans les années 1990 faisant face à de nombreux déséquilibres. Reste à faire de la lutte contre le négatif, une expérience positive dans la continuité, avec la constance et la conscience bien ultérieur, à l’origine de la crise comme un feu qui éclaire de poésie des masses disciplinées au service de la communauté. La peur face à la crise qui charpente les liens dans un esprit vivant capturé ainsi qu’une pensé observée, une erreur de croire que l’intelligence est supérieur ou en progrès, alors qu’elle est complètement dépassée, vulgairement surestimée. Notre confiance en la mémoire plurielle de la communauté d’idée, de ce qui réclame notre vigilance avec un scepticisme de rigueur. Contemplatif, la respiration économique nous a longtemps gardé en paix alors que le souffle de la crise disperse nombre d’Etats, de nombreuse entreprises, des Nations trop souvent en décomposition comme au Nord de la RDC ou sur d’autres parallèles. Cette respiration rythme nos liens autour d’une raison commune, une mémoire mondiale des dépressions et des crises.