lundi 15 juin 2020

Hic Rhodus, hic Salta

Comme il nous est rapporté d’Anaxagore (Ve Siècles av JC), le mouvement, chaud est féminin, parce que en courbes. Il doit parcourir la moitié de sa rotation autour d’un cercle, par exemple, pour toucher un point d’équilibre vers le déséquilibre, à l’origine de la révolution. Pris dans son mouvement, la nature, faite de courbes, accompagne l’humain et l’inspire, depuis son origine.
A l’heure des masses qui convergent, attirées sur l’élan vers l’accomplissement, dans le cas, par exemple d’une roue qui tourne, dans cette société, pendant les premières émeutes, celles de la révision, du complot à la destruction du passé. Ainsi, faire fit du présent et rejoindre l’inconnue dans l’histoire des crises et du déséquilibre. Cette histoire, transmise par des générations de révolutionnaires et de romantiques, arrive à son comble. Sans issue, dans la destruction permanente depuis longtemps entamées. Des résistance se mettent en place et propulse, entre elles des masses conscientes et universelles qui s’approprient ou s’affrontent pour  l’espace idéologique d’une drôle de dialectique. Contestation de la vérité, violences exacerbées, de tout côtés alors que finalement, personne ne comprend plus rien et ne s’occupe que de sa propre existence dans des conflits et des difficultés du quotidien. L’intérêt reste de dominer, par principe, le mouvement sur sa décadence. « Nous danserons sur les ruines du vieux monde »
Demandons nous  qui détachera les pétales de la raison?

vendredi 5 juin 2020

#yabon la #crise

En 1987, les États s’accordent pour déréguler la finance et le crédit, ainsi modifier les valeurs traditionnelles ainsi que l’or tombé en désuétude puis l’attraction pour la pierre devenue has been, à cette époque, même le travail est devenue ringard. Ce chamboulement pour relancer les marchés et favoriser des produits financiers à même de soutenir la rentabilité des banques et relancer l’économie pour faire face à la récession qui naquit lors du krach historique d’octobre. 35 ans plus tard, une nouvelle crise de confiance est née de la pandémie, les même réflexes guident les français en direction de l’épargne et la prudence. Dans le même cycle, la crise de 1990 et de 2008 découlaient des changements opérés en 1987, révélant l’éclatement de bulles spéculatives. De colossaux fonds de pensions, rattachés à l’assurance se combinent et sont en jeux à chaque crise, financière, sociale, pandémique ou climatique. Aujourd’hui, l’urgence écologique est totale, l’objectif serait-il d’accompagner les peuples vers une conscience de cette guerre totale?… Celle du climat ?! Avec les organisations horizontales à même d’accompagner le changement, ses philosophies s’affrontent tandis que pour le plus humble, la philosophie est, elle même, son sujet. Et le philosophe de ne penser et  ne réfléchir qu’à la philosophie elle même. Des spécialistes, aux service d’association, de syndicats, de chambres, au pli des corporations et des entreprises prestataire de service pour un meilleur confort et une meilleure garantie voire de meilleures assurances. Après 2008, pour la première fois était remise en question les nouvelles modes de consommation. Depuis les crises politique se conjuguent avec les tensions sociale.
Mais, la responsable n’est pas l’épisode Covid qui ne révéla que la peur des français, face au lendemain, devant la mort, face au réfugiés ou devant les épisodes de l’actualité, se jetant sur l’épargne, réclamant l’aide d’un Etat au bout du rouleau. Un Etat pillé, par vagues successives, depuis 40 ans. De nouveaux riches et de 4 générations de la « gauche » qui ont profité d’une droite traditionnelle fatiguée après deux guerres et les crises successives. Une droite dégénérée, elle aussi, par l’oppression de voyous et de tristes bouffons.
Les assurances sont, elles-mêmes limitées à leur exposition aux fluctuations et aux risques ponctués de croyance (le crédit) et de nombres d’espérances. On peut donc en conclure que l’assurance continuera d’être un secteur à suivre, Particulièrement l’assurance-vie. Parallèlement le marché de la pauvreté se porte bien et les statistiques de la délinquance et de la prostitution se portent bien.