vendredi 5 juin 2020

#yabon la #crise

En 1987, les États s’accordent pour déréguler la finance et le crédit, ainsi modifier les valeurs traditionnelles ainsi que l’or tombé en désuétude puis l’attraction pour la pierre devenue has been, à cette époque, même le travail est devenue ringard. Ce chamboulement pour relancer les marchés et favoriser des produits financiers à même de soutenir la rentabilité des banques et relancer l’économie pour faire face à la récession qui naquit lors du krach historique d’octobre. 35 ans plus tard, une nouvelle crise de confiance est née de la pandémie, les même réflexes guident les français en direction de l’épargne et la prudence. Dans le même cycle, la crise de 1990 et de 2008 découlaient des changements opérés en 1987, révélant l’éclatement de bulles spéculatives. De colossaux fonds de pensions, rattachés à l’assurance se combinent et sont en jeux à chaque crise, financière, sociale, pandémique ou climatique. Aujourd’hui, l’urgence écologique est totale, l’objectif serait-il d’accompagner les peuples vers une conscience de cette guerre totale?… Celle du climat ?! Avec les organisations horizontales à même d’accompagner le changement, ses philosophies s’affrontent tandis que pour le plus humble, la philosophie est, elle même, son sujet. Et le philosophe de ne penser et  ne réfléchir qu’à la philosophie elle même. Des spécialistes, aux service d’association, de syndicats, de chambres, au pli des corporations et des entreprises prestataire de service pour un meilleur confort et une meilleure garantie voire de meilleures assurances. Après 2008, pour la première fois était remise en question les nouvelles modes de consommation. Depuis les crises politique se conjuguent avec les tensions sociale.
Mais, la responsable n’est pas l’épisode Covid qui ne révéla que la peur des français, face au lendemain, devant la mort, face au réfugiés ou devant les épisodes de l’actualité, se jetant sur l’épargne, réclamant l’aide d’un Etat au bout du rouleau. Un Etat pillé, par vagues successives, depuis 40 ans. De nouveaux riches et de 4 générations de la « gauche » qui ont profité d’une droite traditionnelle fatiguée après deux guerres et les crises successives. Une droite dégénérée, elle aussi, par l’oppression de voyous et de tristes bouffons.
Les assurances sont, elles-mêmes limitées à leur exposition aux fluctuations et aux risques ponctués de croyance (le crédit) et de nombres d’espérances. On peut donc en conclure que l’assurance continuera d’être un secteur à suivre, Particulièrement l’assurance-vie. Parallèlement le marché de la pauvreté se porte bien et les statistiques de la délinquance et de la prostitution se portent bien.

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