mercredi 24 février 2021

Zones de guerres

(Nos guerres) De l’interprétation aux statistiques à sens unique relayées par les dynasties de l’information. L’objectif est clair, il y a déjà un quart de siècle lorsque G.H.W Bush lançait tel R. Reagan son plan pour la guerre de l’espace, du cosmos, des territoires et des surfaces sur des plan limités, seulement par la géographie. Pour s’opposer, on a tous des quartiers, des territoires, des zones à défendre. Un front qui s’étend aujourd’hui du Kashmir à l’Ukraine encerclant l’Asie centrale et les réserves en pétrole du Nord du Kazakhstan. Dans ce temps, en Afrique, l’agitation de voyous, de trafiquants, de marchants et de mercenaires au Sahel, déstabilisent l’Ouest du continent. Un terrain de jeux pour des idéalistes nourris par l’idéologie occidentale. Des forces vives en action depuis des décennies de révolutions déterminées. Une guerre pour l’espace qui a miné notre quotidien et envahie toute pensée. Maîtrise de territoires fondamentaux pour les intérêts des grandes puissances dont la France sur l’espace et des zones d’extraction dans cette vaste réserve en matières premières, entre le tropique du cancer et l’Equateur en Afrique, une bande qui va jusque sur la Péninsule arabique. au Yemen, une situation qui entache les pays du golfe. L’Europe suit derrière avec, un moteur amputé du Brexit dans l’attente de la dépression et cherche désespérément des raisons d’être optimiste autours de l’espoir, une énergie verte et gratuite. Le nombre de ceux qui prient en cette période de crise fait aussi la force de la foi. B. Hamon a sans doute raison dans son combat anti-fascistes. Mais la raison ne fait pas l’élection. La France reste ouverte à toutes les sensibilités. Si l’on devait donner une âme à la France. C’est d’être juste. En ses temps de crise, les prières sont les bienvenues et cela même au son d’un socialisme irréconciliable. L’Europe qui se voulait celle des régions devient elle aussi un théâtre de souverainistes avec leurs tentations. Positionné à Djibouti et dans le golfe Persique à bord du Charles-de-Gaulle la France est aux avants postes de ce mouvement mondiale ainsi que le leader de l’intervention par sa capacité militaire sur le continent africain pour protéger les intérêts européens et mondiaux.

mardi 16 février 2021

Un monde en rupture

Que ce soit dans nos vies, de la naissance à la mort, la rupture est la clef du changement. Transition et mutation, souvent sur la crête, ainsi que les marchés, en rupture avec le connu, avec le commun. La crise a révélé les dysfonctionnements et la relance passera peut-être par une correction sévère. Des notes sur les ressources énergétique qui subissent la pression des politiques et des cours du pétrole qui restent plus important, en ses temps, que les courbes du chômage. La fin de D. Trump aura laissé un baril en questionnement et c’est un progressiste à la tête des USA qui fera renaître le rebond d’un baril qui frôle son meilleur cours depuis plus d’un an. Le changement des modes de consommations touche toute l’industrie financière et des travailleurs à l’arrêt. Des consommateurs désargentés et des entreprises à la recherche des moyens pour payer les factures et qui participent de la croissance et de la transition énergétique par de petit boulots ou l’entretien de marchés parallèles et de petites économies. Le changement c’est évident et il importe de le mettre en relief avec la rupture ainsi que nous la vivons tous, dans nos familles ou notre couple. Du chagrin de l’adolescent éconduit aux traumatisme douloureux dans des familles en crise. Tous se disent de la rupture et du changement qu’ainsi tous ressentent comme une notion universelle. D’autres se voudraient chancres de l’urgence. Peut-être est ce une rupture d’avec l’humain tel qu’il était ou sera. Les sociétés qui s’en sortent le mieux s’adaptent en évoluant nécessairement et anticipent dans une période d’anticipation. Une adaptation qui a toujours accompagné l’humanité dans sa durée. A l’instant ce cette crise sanitaire où l’on peut observer l’inefficacité universitaire dans les démocraties avancées. Bien des choses leur manque ainsi qu’une inconnue, lorsque l’on échoue ou une case en moins. Perchés, les progressistes sont aussi dangereux pour les libertés que les réactionnaires et les extrémistes. Le présent n’est plus un rêve ! C’est aussi l’échec de la science. Le rêve est fini et la révolution surréaliste n’est plus d’actualité. Nous entrons dans une période des plus matérialiste avec des cours volatiles exceptionnellement haut, imprévisibles sur un pétrole qui repart comme tiré par le crédit donné au progrès, à la recherche et aux technologies. Un spectacle aux dimensions de la civilisation industrielle à la conquête de l’espace.

mercredi 10 février 2021

Déséquilibre fragile

Avec cette crise, l’Europe est à la croisée des chemins, en frottement, entre le Nord et le Sud. M. Draghi appelé à sauver l’Italie et la France non-loin de voir revenir C. Lagarde de Franckfort. De l’autre côté de l’Atlantique, J. Biden fraîchement élu Président des USA, risque au poker une mise de 1 900 Mds de USD. Au prix du dollar et des dettes courantes sur le long terme, le Congrès US met sur la table une année de PIB américain, l’équivalent de sa dette pour favoriser les USA sur les marchés mondiaux et trouver des débouchés à son industrie. Joe Biden n’hésite, d’ailleurs pas à inviter le secteur privé à soutenir les armées US. Des pressions nombreuse en Europe, pour la Féd. de Russie et la Chine qui ont de quoi faire frissonner l’OTAN divisé par la faute du nationalisme Turc, conséquence de la dévaluation de la Livre. L’Europe a besoin de la Turquie et de sa zone d’influence au sein de l’OTAN mais pas dans l’Union… Personne n’a intérêt à calmer les tensions, celles-ci sont le gage de l’équilibre et de la stabilité. Une toile de zones chaudes, de déséquilibres mondiaux sur lesquelles on ne peut fixer que quelques segments d’investissements venus avec le Golf Stream qui vont réchauffer l’Europe. En ses temps de guerre et de crise, il deviendra de plus en plus difficile de présenter la démocratie comme le modèle le plus juste, mais le travail d’archivage a commencé à travers les réseaux sociaux et le long des fils d’actualités, conséquence d’un temps qui se réduit devant nous. En 2008, B. Obama avait annoncé que les USA étaient prêts à emprunter à 100 ans. Quand est-il aujourd’hui? Que vaut réellement le dollar? Sur quoi peut s’appuyer la Chine pour faire valoir sa production?

jeudi 4 février 2021

Des masses sans histoire

Historiquement, on peut considérer que tout a une fonction jusqu’à aujourd’hui, moment du présent. par synchrasie et observation du petit au grand, du singulier jusqu’au particulier passant par l’universel. Et dans ce changement constant on avance vers un homme sans fonction, des masses sans histoire. L’énergie physique qu’engendre ses masses en mouvement par son frottement est aussi une énergie qui se consomme, consumé ainsi que toute chose ascendante ou descendante. Une fonction bien inutile par essence, théoriquement géré par des politiques qui ne maîtrise rien. Avec finalement l’inconscience mesurée au rythme de la décadence culturelle. Ses masses, elles-même sont devenue sans fonction, sans mouvement, à l’arrêt. Cette crise n’est pas un arbre mais l’histoire et son essence. C’est une chance, au prix de douleur et de souffrances pour les plus jeunes mal préparés et isolés bien que doué de sensibilité et qui payent, en partie, aujourd’hui leurs anciens modes de consommation. Une génération menée à fréquenter la marginalité et la pauvreté, en embuscade, ainsi que l’avant-garde du mouvement, de la crise. Jusqu’où se passer des travailleur? Ici, en crise, Puisque le travail peut être fait par un autre, le travail et le métier a moins de valeur et deviennent dévalorisé comme l’individu. la liberté est un carcan de devoirs et d’obligations. Toute stratégie de terre brûlé ou de corps irréguliers ne mènent à rien et ne permettent même pas de fuir. Reste sa vie a mettre sur la table alors que tout joue à profiter du rêve diurne révélé par le capital à travers sa publicité. Il faudrait s’opposer aux autres comme nous avons besoin d’eux, au quotidien, à chaque instant pour la cohérence de l’entreprise. Les travailleur s’oppose aux travailleurs pour le rendement et contribuent, avec les syndicats au filtrage des individus insérés ou exclus qui doivent partager leurs compétence et leur force de travail. La gauche, dans ce sens a fait beaucoup de mal aux travail, aux travailleur et à l’entreprise. En cela on pourrait croire que les travailleurs sont contre-révolutionnaires où les marxistes sont des illuminés séduisant pour des étudiants et des jeunes travailleurs avec des théories léninistes voir staliniennes. Cependant, le capital européen manque d’idéologies. Il y a guère de place pour la pensé sinon en contemplation,… En rêve!