Personne à la réception

Un papier, c’est une info, quelques mots, beaucoup d’intuition et d’expérience, un angle sans se perdre dans les pertes et les chemins de traverses. Un feuillet, c’est un rêve qui s’éclaircie avec quelques aphorismes pour simplifier le concept, fluidifier la théorie et exciter l’imagination, qui dirigée sur une phrase, fait avancer, lucide dans la jungle de l’info sur le flux des données. C’est la création de la base nécessaire pour une adaptation des fonds impliqués à l’équilibre du système afin qu’il conserve son équilibre. Ce qui reste de ponctuel, c’est la manière de dévoiler l’essence même d’un foyer, le feu d’une énergie ontologique. La science de l’essence, c’est observer le manque, une ou un inconnu, une terre qui n’appartient pas. Une zone perdu, un fossé à combler et à mesurer sans l’espoir d’un remplaçant, un monde fini/pas fini. La capacité d’analyse ne s’improvise pas, cela dépend de la sensibilité du data et à la violence du débat. Cela tourne pour ceux qui placent 130k d’USD sur une séquence X avec une poupée de collection. Vendredi, le marché européen reste bien orienté. Les investisseurs s’orientent vers une large collecte avec plus de rendements en 2023 pour les ETF ESG. Avec la CGT qui change de cap mais pas de forme, l’épargne salariale sera entretenue de meilleure manière et apportera à la société et à l’économie, un souffle nouveau pour attiser le feu. L’or se négocie aussi au marché noir, en zone de non-droit. Jusque’où la violence régule les rapports de la justice avec les agressions contre les dividendes optimisés au gré du client et du déposant apeuré par un contexte sensible et tactile?… Tactique! Cherchons aussi, après l’inactualité du surréalisme, en France et dans la kultur-industrie, ce qui devient universel. Face caché de la régulation, les levés de fonds ralentissent pour les start-up qui décrochent, divisés pas 4. Avec une inflation adjacente à plus de 16%, le panier des ménages est dans les chaussettes, il n’y aura personne à la réception pour un trapéziste sans filet.

l’or du temps…

Avec les CDS (crédit swap par défaut), l’écart se creuse, entre renflouer et créer un appel d’air, ou jauger justement les taux de liquidité à injecter pour soutenir des actifs sensibles aux hausses de taux et dont le call doit suivre le put sur le planché en soutenant le cap. Certains font appel au private equity pour investir l’immobilier et maintenir les crédits sur des niveaux admissible pour les investisseurs soutenant leurs SWAP proche des taux obligataires et des rendements évalués selon les rendements demandés. Dans ce contexte, l’argent facile devrait fondre en déséquilibrant les taux de remboursement de crédit. En Europe, le Bel 20, l’indice belge s’agite et les écarts qui se creusent risquent de sensibiliser la dette des pays de la zone. Les banques centrales projètent un bond pour fourguer des actifs à rentabilité lente pour étayer des produits et des gammes d’actifs affectés par la conjoncture. Pour exemple, la BCE ayant racheté des actifs durant les 3 dernières décennies, arrive aujourd’hui à des résultats nuls alors que la rentabilité des « bad bank » ne dépassent pas les 0,4%. Cette année, il faut encore investir dans une pendule à balancier, à remonter régulièrement comme le temps qui passe sans estomper des comptes de plus en plus juste et des rendements trop faible pour maintenir un rythme de croissance résiliant et résistant aux épiphénomènes économique. Sur les marchés, pas d’inquiétude, les victimes sont dans le textile. Sans surprise, l’or et le Bitcoin profitent de la crise d’un secteur bancaire qui retient son souffle. Qui va se cogner, qui va tomber? Dans la Tech, Alibaba se découpe en plusieurs entités à capital augmenté sur effet de levier. À la Maison Blanche, J. Biden s’inquiète de l’IA et jette le doute sur les technologies de gestion. Les européens profitent d’un EUR à 1,87USD pour investir dans leurs pertes. À 28k, le Bitcoin se révèle comme factuel. Pour vieillir mieux et assumer la déclinaison des constructions, avant révolution, il y a pourrissement et décomposition.

Pour combien de temps?

Personne ne peut l’expliquer, mais les marchés sont essentiel. Ils sont la priorité d’une vision pertinente de l’actualité. Ce ne sera jamais inespéré, mis on ne peut que croire et souhaiter réguler les cris dans les salles de marché selon les exemples des enfants coupables de leurs mauvaises réputations. C’est sexy un marché, mais ce n’est pas toujours d’accord, même jamais à la mesure du maintien de l’ordre financier, sur des principes économiques de flux de taux, de swap de taux et de dérivés verdoyant couvert ESG, lorsque sans liquidité nous ne serons plus crédible pour avancer dans un temps pour rembourser des obligations qui augmenteront avec les taux et l’inflation. Remède à la stagflation, des hausses de taux, une croissance estimé à 3,7% en 2023 et une inflation qui équilibre la balance et qui guide vers quoi, vers la crise… Avons-nous besoin de vivre mieux, pour, dans la négation, dépasser les bornes. Le capital est un monde, une illusion qui appartient aux audacieux, pour le meilleur et le pire. Nous croyons à un possible et célébrons, chaque jour l’ordre offert dans le temps et la sagesse. Un cycle, une boucle qui tend à se refermer. Si le monde a besoin de vertu, c’est parce-ce qu’il n’y en a nul part. Demander l’impossible…! Mais à quel prix? Le taux US 10 y à 3,4% est un phare avec l’OAT qui traîne à 2,8%. En France, les grandes banques sont soupçonné de verser des dividendes à des entreprises pour s’assurer leur fidélité, l'optimisation fiscale est toujours aux limites. Le secteur bancaire est dans le viseur des politiques qui cherchent dans ses fondements, des réponses aux grandes questions. Entre rêve et réalité, nous choisissons la dialectique de la raison, influencé par l’école de Francfort. Il faudrait être pata-physicien pour résoudre chaque geste du quotidien. Vivront-ils leurs passions dans la destruction…?

Le droit au pas

Le droit ou pas, le droit en guerre, le droit au pas, dans tous les États, dans tous les domaines, sans dénoncer les camarades révolutionnaires, des anarchistes, des libertaires dont les théories sont appliqué depuis le XIXe Siècle, sans contenter la pauvreté des temps lourds. Les armes sont compté sur les marchés parallèles, elles valent plus qu’une vie. Des libertaires aux idées d’aujourd’hui déjà hier, contre l’injustice des gentils pour s’opposer lorsque’elles faisaient des génuflexions devant le maître sur son cheval, nous ôtions nos bonnets pour vous saluer. Combien valait la vie d’un individualiste pour la comtesse. Le Marquis de Sade avait ses raisons de dénoncer le manque de vertu dans les rapports révolutionnaires. Investissez dans l’économie, maintenant, en utilisant de l’énergie. Rien a changé, juste un peu d’humanité. Critiquez maintenant les rapports sociaux, les illusions de notre parti, le confort comme un droit, le report d’une fatalité prenant aux trippes desquelles on voudrait nous pendre. Où est la pensé des militants, des militaires. Ce ne sont pas les travaux d’Hercule mais le naufrage d’Ulysse sur une île, fort d’une nouvelle épreuve. Dans ce bazar, cette anarchie, l’Europe est déjà une fédération comme l’Allemagne, notre chère Europe. Le rêve de M. Bakounine donne un sens, aujourd’hui, à la poésie de C. Fourier, un champs à minima pour une nuit. Après nous avoir mis sur orbite, l’IA nous entraîne vers quoi? Est-ce le fait d’un baril à 60 USD qui laisse le HSI en progression sur 1 an et à 6 mois. HK pourrait-elle se passer du marché chinois? L’USD toujours à 6,89 renminbi soutient une économie sous tension faisant face aux défis du Siècle, la croissance et le leadership. Entre le CNY et l’USD, c’est une guerre du cynisme qui se joue avec de chaque côté, une part de mauvaise foi égoïste d’intérêts propres. Les nouvelles générations sont exigeante là où la crise est un choc, elles se radicalisent puis se retrouvent autours de projets communs et d’aventures collectives.

À la niche !...

Les marchés, à Paris et en Europe restent enthousiaste, contre les aléas tout en restant performants. La communication financière et les nouveaux modèles de gestion gonflent les capacités de la génération en place. Nous avons confiance, en vous pour nous tromper. Les modes utilisateurs ont évolué et les salaires sont affecté à une application de gestion en temps réel, sur une projection en dollars, estimée en instantané pour visualiser le rendement selon les monnaies, en Euro. Nous allocataires des institutions populaires, on triche, tous avec nous-même. Des principes admirables effacent le doute et nous font croire à un meilleur. Avec le risque client qui augmente, Coface devrait performer quelques temps et venir en aide aux entreprises dans leurs besoins. L’Eur se dirige vers les 2 USD et coûte de plus en plus cher, alors que le dollars se détend. Ce Vendredi, les banques centrales européennes se réunissent pour connaître et reconnaître, pour les observer, les banques affaiblies par la conjoncture. Des canards boiteux, sensible au stress et au manque de liquidité en cas de retrait massif de la part de leurs déposants. La dette en dollars gonfle et les liquidités d’hier coûtent plus cher à l’Euro et aux pays de la zone. Ça leur va bien d’avancer que l’argent ne compte pas… Les indignés peuvent bien crever s’ils ont les moyens de payer. Cherchez une fréquence sur laquelle se détendre, apaiser le stress d’établissements fragiles et limites. Certains profiteront du stress pour acceuillir des porteurs incertains. En pleine réunion des 27, La DB montre des faiblesses sur ses crédit swap perdant de leur rentabilité. Les journalistes ne sont pas là pour réfléchir, faut laisser faire les spécialistes

Notre seule tord, c’est d’être pauvre

C’est l’heure de ne plus gaspiller. Mercredi, les marchés et les banques sont rassuré par une hausse modéré à 25 pbs du taux de la Fed. Les britanniques subissent une inflation de plus de 10% sur un an, en Février. Quand on donne de l’argent de la main gauche, c’est la main droite qui le prend dans l’effet miroir d’un adulte face à un enfant qui reproduit. En famille chacun devrait payer sa part… C’est l’image qui remplace le langage, mais un trop d’images négatives ou positives qui pèsent sur la balance des fanatiques des agitateurs et des provocateurs. À force de trop recevoir, on fini par se perdre dans les priorité et oublier les économies de valeur, des budgets pertinents, à répartir sur la balance des échanges. Les jeunes qui ne veulent et ne peuvent payer, résistent et s’associent aux patrons du Medef et des syndicats ouvrier, ne voulant pas s’encombrer de cotisations. La droite parle à la droite. Si tu n’es personne… Sois un autre, ou plusieurs. Quand les riches s’accrochent aux pauvres pour apprendre comment s’en sortir, ce sortir de quoi?… D’où? En fredonnant des chants d’enfances, ils sont à point pour l’eau qui chauffe. Les banques centrales évitent la chute de quelques banques non-systémique sur le maillage de la monnaie et de ses interaction L'Eur s'échange 1,09 USD. Un flux qui fait penser à la circulation du sang dans toutes nos artères. Il reste des opportunités d’investissement dans les ETF, l’ESG, le Méta ou le vert. Tout en protégeant sur du moyen terme, des taux long en manque de mouvement et de rentabilité. Qu’est ce qui vous fait rêver entre un demi verre. Un vase qui communique avec les autres vases à travers les ETF adossés à des crédits et des assurances sensibles aux mouvements des marchés de taux. La BNS a donné un signal que J. Powell puisse ré-hausser les taux.

Banques : Un système toujours de verre

Vendredi, J. Powell, à la suite de la BCE, augmentera, peut-être les taux directeurs de la Fed, de 50 pbs. Parce-que le dollars file et qu’il faudrait stopper l’hémorragie qui accuse les dégradations de fonds et des banques qui se rangent en ordre de bataille, pour ajuster leurs organisations à la politique fédérale. Les spéculations financières dureront jusqu’à Vendredi, appuyé sur le déficit des USA dans ses échanges avec la Chine. Les procès continuent à la SEC et Ernst & Young approvisionne, en vue d’amendes et pour retarder la communication de celles-ci, donc de perte dans l’industrie, sur les relations commerciales de la firm. Nous n’avons pas le droit de perdre. Les banques centrales se réunissent Dimanche, pour coordonner leurs actions et pour amortir le choc d’une hésitation dans le secteur bancaire. Les bandits vivent sans gîte et sans autre limite que l’estaminet. Ils vont se débrouiller seul et y arriver, alors que nous ne faisons qu’occuper notre peine. C’est pas gagné, le ressenti et la rancoeur politique de gauche nuisent au rendement de la société et de la collectivité. En France, le chef de l’État doit s’adresser aux gauchistes gauchisant de gauche à la TV. À Luxembourg, les données sont précieuse à observer pour analyser un ordre toujours en construction, dispersé. Les grands argentiers courent après la dérégulation, seul rouage d’une lutte pour plus de conformité dans les relations commerciales et particulièrement, dans les comptes des établissements bancaires. À mesure que la BCE récupère le liquide, l’EUR se renforce dans la demande de papier monnaie pour l’emploi et la consommation malgré une inflation courante. Un barril de Brent à 75 USD, le marché prend son souffle avant cette AM à WS

Une crainte face au doute

Lors de la construction de la crainte, l’opposition se renforce le long des distances qui nous sépare dans un but non-défini,. Continuer, sur les marges de manoeuvre et de progression, du plus petit, que l’on observe dans l’immense, à une affaire de vente à découvert qui donne le ton de la fréquence pour perturber l’évidence de l’impossible. La situation est tel que les banques centrales organisent la solidarité entre les banques qui payent la lutte contre l’inflation pour maintenir l’activité sur des crises sporadiques qu’il est peut-être juste de modérer sur les échelles de tolérance. Reste l’incroyable faculté des banques à se réguler sur le fond des sociétés qui prennent conscience de leur illusoire autorité. Pour apaiser le stress des canaux de l’info ou retrouver, apaisé un monde disparut, qui se sépare de lui-même. Des papiers pour comprendre et retrouver le calme, saisit pour l’histoire, ainsi que les architectes du futur, en Avril, lorsqu’elles trancheront. Lundi les comptes de CS sont dans le rouge avec des pertes pour les banques adossées au CS. La BNPP encaisse un trouble latent, dans la zone, malgré les appels à rassurer les marchés. L’EUR atteint 1,07 dollars. UBS ce payerai CS pour 3 Mdrs de FrS sur un encours de 13 Mdrs, à risque. Si la démocratie est une utopie, la liberté protégé par les USA et la banque fédérale des États-Unis, Vendredi. Mécaniquement, le baril de Brent se négocie 72 USD pour soutenir l’activité dans la zone. Le dollars perd de sa valeur mais maintien son apparente stabilité. Le bitcoin s’attache aux 28k d’USD.

Down, but happy !

Avec un Eur à 1,076 USD, le Bitcoin atteint 27 K et l’or s’approche des 2000USD l’once. Les déboires de SVB et de First République ralentissent la progression des taux et la remonté du dollars. Les banques se lorgnent de travers et celles, en difficulté craignent de perdre leur indépendance et leur liberté d’action. La banque helvétique souhaite un rapprochement d’UBS avec CS dont l’action continue de chuter.. Le 10 ans US reste à 3,4%. L’avenir n’est pas un due et rien ne sert jamais d’avoir peur. Il est préférable d’avoir confiance en sois-même, avec foi. Plus bourgeois que bohème, les journalistes véhiculent le stress de leurs polémiques, hors temps, hors champs. On aime notre système bancaire, avec tous ses défauts que l’on apprécie. Bien entendu, rien n’est sûre mais en attendant, on peut essayer. Les cercles financier compte sur la résilience du système avec l’apport des normes prudentielles en ce qui concerne les établissements bancaires de la ZE. Avec un Eur qui pourrait atteindre 1,09 USD et un ralentissement dans les hausses des taux de la banque fédérale américaine qui non seulement freinent l’inflation mais touche la valeur des actifs et de la dette sans ralentir une activité, aux États-Unis qui entre en surchauffe et dont les risques sur la crise mondiale pèse sur la stabilité d’un monde en reste.Personne ne prédit sur quelle bulle spéculative la crise pèse sur les assurances et sur l’immobilier, instruments liés et composant l’essentiel des produits bancaires à base d’obligataire, très sensible. Les acteurs sont en retrait et les marchés tiennent face aux situations à risque sur un point haut du facteur stress. En Chine, la PBOC abaisse le ratio de solvabilité des banques et le dollars s’échange contre 6,9 yuan, la place de Hong Kong réclame un retour à l’autonomie, enjeux stratégique chinois pour conforter le marché et soutenir son action. En outre le plan de J. Biden ne permet pas de syphoner l’Europe mais de la soutenir dans sa transition écologique. Down, so happy !

Le CAC40 salut l'épargne des retraites

En France, le CAC40 salut la réforme des retraites. La démocratie n’est pas un fait. Si la France, la démocratie ou la République sont malade, alors qu’elles crèvent. Qui nous débarrassera des ordures à Paris? Les options sur les assurances dans les fonds propres sont sous observation. Groupama, assit sur le crédit en soutient aux assurances pourrai faire les frais des mouvements en cours. À six mois, nous regarderons St Gobain et le luxe. L’immobilier ne supporte plus la spéculation et montre des reculs importants de demande et de capacité d’achat. Ce secteur tourne sur lui-même et vie sur les restes d’un bâtit avec une moins value fiscal appliquée sur les bien protégés par les lois sur le patrimoine. Cependant, c’est fini, les ruines qui se vendent au prix de l’or. Entre une offre inabordable et une demande atone, la démocratie n’est pas gagné. Pendant que les marchants font leur travail, les syndicats ne font pas du social. Ils resteront sur les modèles des vertus dans les années 1930. Quand les assurances s’adonne à la rétention, les économies réelles sont à comparer avec les recours au pénal qui donnent une mauvaise image de l’équilibre cherché dans l’économie des droits de l’assuré. « Si vous êtes déçu de votre assurance, changez » disait B. Le Maire après le confinement avec un profond cynisme. Pour les pauvres il est temps de capitaliser sur le néant… Pas de travail, pas de salaire, pas d’argent, rien, jamais, nul part…! Les retraites ont plié face aux marchés, pour 5 ans, et ce n’est pas fini au vue de la clause de « revoilure » dans 10 ans. Il n’y aura pas de retraite, le combat continue. Toute les ETF sont adossé à des assurances et toute l’activité se corrompt ainsi sur les failles évidentes des rapports commercial. Les derniers rendement, malgré des taux favorables en 2022, ne sont pas des meilleurs et ce système, de plus en plus gourmand fragilise un équilibre précieux construit sur le travail, la restriction et le repo. GWF Hegel, lui même ne connaît pas ses manques.

En ordres de bataille

C’est un peu spartiate ici et nous courons après notre retard. Le Crédit Suisse se lâche, pas d’activité pour le commerce. Il s’était dédouaner de ses obligations au profit de grands comptes et de riches propriétaires de patrimoine important. La vapeur s’inverse et l’économie réelle refait surface après plusieurs décennies d’abus en termes de gestion. Il arrive d’être trop bon ou trop vieux. Mercredi, CS bat des records de loose. Choqué le CAC40 perd plus de 3% et les bourse européenne décrochent. Mais dans le même temps, DB subit des turbulences depuis des années mais ne cesse d’innover et de réinventer. L’action CS perd plus de 20% et BNPP lâche 11% à 12h. Le secteur des bancaires est à la croisée, contracté comme l’activité avec un baril de Brent à 76USD. Des assurances quand on en a pas besoin et personne à la réception. C’est la valse des notations. Ce sont les assurances et les fonds de garanties qui pourraient prendre le relais. Cela fait mauvais genre de demander de l’argent. Les analyste pensent à une pause dans la remontée des taux.. À choisir entre la liberté et le travail. Avec un fond de stabilité en Europe qui reste à estimer autours de 500 Mdr, C. Lagarde pourrai nous évaluer les montant sur les leviers et les rendements effectifs de tel fond face à la crise malgré les principes de Bale III qui n’ont pas révélé les fragilités du secteur bancaire en Europe entre différents stress test qui donnent parfois l’actualité. Les fondamentaux sont toujours remis en question, sans surprise… En prêtant 50 Mdr d’EUR au CS, la banque fédéral suisse rassure les marchés européen alors que la BCE choisit de remonter son taux directeur de 50pbs. Jeudi les tensions s’estompent et les marchés reprennent un peu d’air. Avec un EUR à 1,06 USD, il n’est pas le moment de s’assoir sur une chaise vide.

Eléments d’enquête

Vous avez le droit de ne pas savoir, Nous avons pour notre part, le devoir de comprendre. Le dollars qui dévisse suite à la chute de SVB avec les risques systémiques. L’EUR s’échange contre 1,07 USD alors que l’or profite et touche les 1900 USD l'once. Le diable se mord la queue, là où il y a de l’argent ou des valeurs, il y a corruption et ce n’est pas aux banques centrales d’être les pigeons. Elles font en sorte que le voyage du message soit admit. À 26k, le Bitcoin résiste à la chute de FTX et à la faillite de SVB. À 3,4%, le 10 ans US cherche un peu de stabilité dans les interstices avant les procédures à évaluer. Pas de panique sur les bourses européennes. Lundi le CAC décroche de plus de 2% en début de séance, Le Dax -3% mais à NY, le Nasdaq résiste pour retrouver Mardi, une progression de plus de 2%. À la BCE de démêler les fils contre le mur. Qu’ils aillent manger leurs idées, c’est un devoir de voler. Les esprits comptables suivent les prévisions mais n’ont pas de bilan. Des effets de leviers à crédit, renfloué par des prêts de la banque fédérale sur la ligne régulière de la modernité. Le Crédit Suisse reporte son bilan comptable mouillé par l’inflation et la hausse des taux. Précarisé, nous n’avons plus les moyens de payer pour travailler. Sur les limites, la prudence est de mise jusqu’au pénal. La BoJ renfloue et la Fed prête, rachète les meilleurs actions et camoufle son bilan dans le registre de l’emploi. S’il faut s’opposer, nous restons volontaire pour vous foutre sur la gueule. Mourir contre l’autorité et avoir raison de l’absurdité.

Le doute fait face à la confiance

Suite à la chute de la banque SVB. Face au manque de réactivité des assurances, des assureurs alternatifs prennent place, mutualisé entre les assurés. Quoi qu’il en soit, vous êtes protégé et votre château, construit sur un nuage reste bien fragile pour ne pas être constamment consolidé et adapté aux changements, par tous les moyens disponible sans se tromper sur la marchandise, les marchés sont mal orienté avec le DJ et le Nasdaq qui souffrent d’un contexte de crise et d’appauvrissement. Le doute fait face à la confiance, sans personne, ni taxi, sans retour. Certains fonds sont comme du verre sur le point d’être brisé. Non pas des miroirs mais des chapelles. Une finance marginalisée qui reste le ciment de nos liens. Présupposez le pire et gardez le meilleur à protéger comme un bien sacré. Lequel va prendre la place de l’enfant souffrant pour un peu de douceur au milieu de rapports SM. Couvres toi d’obligataire comme une tenue de plongée, isolante et chaude ainsi qu’une poupée prête à être violer… En noir! Des entreprises que nous pouvons aider à sombrer. Des ombres ou des lumières dans une nuit de lueurs. Le miroir sale des femmes, en Europe, ouvrières ou prolétaires qui guideront la politique et les rapports fédératifs des associations avec les territoires pour un combat universel dans l’émancipation et la libre pensée. En 2024, ils choisiront encore les vertues douteuses de la révolution et de l’illusion de l’Union. Pour entraîner le monde dans une question entre la paranoïa et la schizophrénie, c’est le moment de se placer, faire la synthèse des objectifs, fixer un cap… Vivre!

À force d’équilibre

Les prolos de la finance doivent manger pour travailler mais n’ont pas de quoi payer. Difficile aujourd’hui, au regard du conflit à l’Est, d’augmenter le dollar sur la dette de l’Ukraine et son besoin d’aides et de fourniture militaire pour estimer, de façon positive, une contre-offensive, alors que le retard des USA et de l’UE font perdre des axes stratégiques d’appuies, pour les forces ennemies. Kiev a besoin d’un soutien massif et d’un désir de liberté et de justice au-delà des frontières d’Ukraine. Juste un bien commun, la liberté et non l’idée ou des concept abstrait et abscons, inversés et retournés dans tous les sens. Au bord de l’accident, il faut prendre la mesure et s’inscrire pour construire un confort acceptable pour supporter un juste asservissement, la complaisance et le silence, d’où qu’il vienne. À force d’équilibre, il y a moins d’investissement dans la recherche. Par contre, les salaires des travailleurs précaires garantissent la paix sociale et la consommation des ménages. F. Villeroy de Galhau est optimiste avec une prévision de croissance de 0,1% pour le T1. Certaines banques pourrait souffrir d’une trop forte hausse des taux directeurs et montrer le chemin d’une détente dans leurs progression. À Paris, parallèlement à la séquence des retraites, c’est le droit de mourir, l’euthanasie qui pourrai à l’avenir condamner les inutiles à qui l’on suggère qu’ils ne sont pas les bienvenue. Par manque de moyen, nous n’irons pas à l’enterrement, et lui non plus. Des marchés dispersés dans le sillage de WS. Les banques qui s’observent et la pression du marché de l’emploi.

Guerre des taux

Usuriers, ils n’ont souvent que leur amour et cela ne pèse pas lourd. Le Libor, qui évalue les taux des prêts interbancaires est à 5%, 24h après le CDs à 6%. Une certaine manière de dire que tout ce que l’homme construit, c’est pour ce reposer. Dans les marges de corrections, certains indices des courbes de rendement obligataire aux USA vont échapper de justesse à la récession, que dans le nombre, nous allons supporter pour 10 ans. L’odysée, devient sans intérêt, à moins d’optimiser pour 6 mois, et payer dans dix ans. Le temps pour le CAC40 de battre de nouveaux records. Les entreprises misent sur le cash. La guerre des taux est en cours et l’appel pourrait ce tarir. Les banques sur le champs de bataille d’une récession qu’elles doivent contenir tranchent sur le budget pour ne pas être majoré. J. Powell pense contenir l’inflation par une hausse continue des taux directeurs et faire plier l’inflation. L’Europe ne veut pas croire en la domination des États-Unis, en matière de performance. Elle est elle-même sans boussole pour les 5 ans à venir au R.U et en U.E. Transposé dans le monde romain, c’est la passion de l’échange qui l’emporte sur l’orgueil ou le replis sur sois. De Darwin à l’animisme, on s’étonne chaque jour, non pas en laissant des terres brulées, mais en effaçant les traces comme les amérindiens, en fuite. On manque de naturel, d’aléatoire dans la construction graphique de notre environnement. La finance mute et le marché action qui reste assujetti à la tenu des taux et à la politique de Washington avec un Eur entre 1,05 et 1,07 USD est une courbe chaude dans des valeurs sombres.

Dans un étau

Malgré la hausse brutale des taux à 10 ans, en Europe et aux USA, la demande de crédit sur 2 ans augmente sous forme de revolving, dont les taux pèsent sur les capacités de remboursement. Les gros pourvoyeurs de crédit ainsi que BNPP risquent, dans 5 ans, des défections dans les remboursement et des comptes clôturés par la force du droit ! L’anarchie, ce n’est pas le bordel… Mal assuré, le client, mal informé, ce tourne trop souvent vers des solutions de crédit avant de simples dédommagements. La violence régule et la justice et la société qui ont besoin d’elle. Les banques ont d’autres chats à fouetter que des mises en examen dans un contexte de normes écologique, pour des procédures publicitaires sans fin. Le marché souffre du manque de confiance en l’avenir. Les anciens soutiennent leurs jeunes qui n’ont plus les moyens de les aider, phénomène déjà observé aux USA. Lorsque l’on tombe sur des conseillés étonnés de notre fidélité, il est plus facile de croire, lorsque le taux à 5 ans joue du yoyo en intraday. Ce n’est pas l’austérité qui s’annonce mais une gestion rigoureuse. L’inflation va suivre les taux et progresser à leurs mesures. Il y a un an, les Nations Unis estimait que le conflit ukrainien pouvait durer 10 ans. Un contexte que ne connaissait pas A. Merkel, lorsqu’elle luttait, en Europe contre l’inflation que certains attendait comme un souffle pour l’économie. Les ombres s’agitent sur les murs et des "wokes" gracieuses mangeront les restes. En France on parlera de ses sénateur séniles aux idées confuses de gauche et qui mangent le pain des pauvres. Ce n’est pas une juste pensé que d’opposer H de Balzac et V. Hugo, de plus c’est faux comme les fadaises socialistes que nous n’écoutons plus. Lorsque nous pensions que la sociale démocratie nous guiderai vers la paix et loins des ténèbres