À force d’équilibre

Les prolos de la finance doivent manger pour travailler mais n’ont pas de quoi payer. Difficile aujourd’hui, au regard du conflit à l’Est, d’augmenter le dollar sur la dette de l’Ukraine et son besoin d’aides et de fourniture militaire pour estimer, de façon positive, une contre-offensive, alors que le retard des USA et de l’UE font perdre des axes stratégiques d’appuies, pour les forces ennemies. Kiev a besoin d’un soutien massif et d’un désir de liberté et de justice au-delà des frontières d’Ukraine. Juste un bien commun, la liberté et non l’idée ou des concept abstrait et abscons, inversés et retournés dans tous les sens. Au bord de l’accident, il faut prendre la mesure et s’inscrire pour construire un confort acceptable pour supporter un juste asservissement, la complaisance et le silence, d’où qu’il vienne. À force d’équilibre, il y a moins d’investissement dans la recherche. Par contre, les salaires des travailleurs précaires garantissent la paix sociale et la consommation des ménages. F. Villeroy de Galhau est optimiste avec une prévision de croissance de 0,1% pour le T1. Certaines banques pourrait souffrir d’une trop forte hausse des taux directeurs et montrer le chemin d’une détente dans leurs progression. À Paris, parallèlement à la séquence des retraites, c’est le droit de mourir, l’euthanasie qui pourrai à l’avenir condamner les inutiles à qui l’on suggère qu’ils ne sont pas les bienvenue. Par manque de moyen, nous n’irons pas à l’enterrement, et lui non plus. Des marchés dispersés dans le sillage de WS. Les banques qui s’observent et la pression du marché de l’emploi.