jeudi 23 mai 2019

#26 mai_Les rats ont faim !


Quel journaliste ne rêve pas d’un sujet à couvrir comme la chute d’une République ? Quel spectateur ne frissonne pas sur les intrigues des élections ou des scandales qui font polémiques ? En France, le RN en tête des sondages deviens un parti tout à fait convenu entre l’Etat de plein Droit qui fait régner l’ordre avec fermeté oubliant que si la crise avait eut lieu en Russie ou en Pologne, l’info aurait dégénéré en une propagande dans l’asservissement généralisé autour du mythe de la démocratie et le rêve d’un paradis perdu dans une guerre juste afin de protéger la paix . Résurgence des partis ouvriers, bien que l’expérience de ses mouvements laissent un goût amère et un traumatisme certain dans l’histoire des crises en Europe.
Mais l’Histoire fatigue, des générations de « disciples secondaires » n’ayant pas vécut la crise et ses conséquences désastreuses ne gardent aucune lucidité ni ne prennent de recul, avec expérience pour préjuger de la façon d’agir. Déjà parsemé d’antisémitisme et de politiquement correct, le peuple que l’on nous présente souverain oublie lui aussi… Français,…Encore un effort… !

mercredi 8 mai 2019

Les femmes et les enfants d’abord


L’homme ayant épuisé le gibier, devenu sédentaire, éleveur, ne chasse plus que l’autre de ses congénères, par instinct, sa prédation reste à l’affût de ce qu’il peut s’approprier jusque dans les politiques de colonisation alors que le mouvement général et organique se dynamise déterminé à sauver sa peau contre celle de l’autre. Ayant cessé la chasse en temps de paix, alors que les autres espèces disparaissent, l’homme se tourne naturellement comme un anthropophage vers ses voisins directs dans la concurrence acerbe que se livre les individus entre eux. Aucune loi ne gère cet état de fait et contournant la morale, sans aucune compassion, les stratégies sont globales non pas dans l’auto destruction mais dans la chasse et l’opposition à l’humain en tant que tel. Nécessité historique, économique ou financière, avant que les masses ne se déchaînent habillées de vieilles traditions critiques, traduites par les tueries de masse en parallèle à la monté de la pauvreté et de la délinquance ainsi que de la mortalité infantile, les déportations…À travers les statistiques de la crise. La jeunesse étudiante s’oppose et entre en résistance représentée par des femmes parfois voilées élues et représentantes à l’UNEF pour l’exemple… Personne n’attend que cela commence. Dans un état de guerre, toutes les forces vives se retrouvent entraînées vers l’action, guidées par des sentiments de sauvegarde ; les plus vulnérables sont dans le viseur, cibles des opportunistes à l’affût de victime ; poussés au suicide, certains abandonnent la partie ; d’autre familles sont détruites dans leur histoire ; ainsi on remarquera que la famille est la dernière structure sociale à abattre pour parvenir à ouvrir le marché des corps dans les lois sur la bioéthique… Vaste chantier !… Génocide… ?
Dans ce contexte, les tirs amis  sont nombreux et les renoncements pas moins. Dans un pays qui investit dans la prévention dès le plus jeune âge, constatons que la violence augmente au rythme des difficultés qui enveloppe les souches sociales les plus défavorisées. Au centre de cette misère sociale, intellectuelle et affective que nous ressentons tous, face à l’injustice. Face à nos enfants lorsque nous les mettons en garde résistant tant bien que mal aux mensonges et à la publicité ; Tous nous tirons notre force et notre énergie de cette lutte en résistance, à la croisée des prédations familiales, professionnelles, sexuelles ou économiques. La crainte et la peur ne sont, par cette réalité, pas nécessaire sinon pour la forme d’une attention particulière et une vigilance extrême