L’homme ayant épuisé le gibier, devenu sédentaire, éleveur,
ne chasse plus que l’autre de ses congénères, par instinct, sa prédation reste
à l’affût de ce qu’il peut s’approprier jusque dans les politiques de
colonisation alors que le mouvement général et organique se dynamise déterminé
à sauver sa peau contre celle de l’autre. Ayant cessé la chasse en temps de
paix, alors que les autres espèces disparaissent, l’homme se tourne
naturellement comme un anthropophage vers ses voisins directs dans la
concurrence acerbe que se livre les individus entre eux. Aucune loi ne gère
cet état de fait et contournant la morale, sans aucune compassion, les
stratégies sont globales non pas dans l’auto destruction mais dans la chasse et
l’opposition à l’humain en tant que tel. Nécessité historique, économique ou
financière, avant que les masses ne se déchaînent habillées de vieilles traditions
critiques, traduites par les tueries de masse en parallèle à la monté de la
pauvreté et de la délinquance ainsi que de la mortalité infantile, les
déportations…À travers les statistiques de la crise. La jeunesse étudiante s’oppose
et entre en résistance représentée par des femmes parfois voilées élues et
représentantes à l’UNEF pour l’exemple… Personne n’attend que cela commence.
Dans un état de guerre, toutes les forces vives se retrouvent entraînées vers
l’action, guidées par des sentiments de sauvegarde ; les plus vulnérables
sont dans le viseur, cibles des opportunistes à l’affût de victime ; poussés
au suicide, certains abandonnent la partie ; d’autre familles sont
détruites dans leur histoire ; ainsi on remarquera que la famille est la
dernière structure sociale à abattre pour parvenir à ouvrir le marché des corps
dans les lois sur la bioéthique… Vaste chantier !… Génocide… ?
Dans ce
contexte, les tirs amis sont
nombreux et les renoncements pas moins. Dans un pays qui investit dans la
prévention dès le plus jeune âge, constatons que la violence augmente au rythme
des difficultés qui enveloppe les souches sociales les plus défavorisées. Au
centre de cette misère sociale, intellectuelle et affective que nous ressentons
tous, face à l’injustice. Face à nos enfants lorsque nous les mettons en garde
résistant tant bien que mal aux mensonges et à la publicité ; Tous nous
tirons notre force et notre énergie de cette lutte en résistance, à la croisée
des prédations familiales, professionnelles, sexuelles ou économiques. La
crainte et la peur ne sont, par cette réalité, pas nécessaire sinon pour la
forme d’une attention particulière et une vigilance extrême