mercredi 28 avril 2021

Le torchon brûle

Le texte et l’image de sois-même, un journal de plus ou de moins… Encore un journaliste! L’information se transmet et se doit d’être bien habillé comme un magazine ou une revue. Un journal ne se vend pas. La poésie, la philosophie d’une revue commence dans un lit. Le livre, les titres, il faut encore y prétendre mais c’est aussi une injonction sous la forme de l’autorité et du droit à disposer. Promotion du produit et produit de promotion. Un journal pour quoi faire? Difficile et inutile, il reste à construire dans la pierre comme le Livre. Le budget n’est pas celui de l’Etat mais le prix de quelques bases en finance. Sans apport ainsi qu’un génial entrepreneur. La revue, le magazine, le blog sont des marchandises au même titre que les publicités sont de l’information. Heureusement avec internet la presse mange moins de pain. Fin des années 1980 « Le jour » et « Mordicus » d’alternative de gauche seront tués par la censure. « La truffe » un libéral trach sera abandonnée par les banques. A la même période est apparût aussi « L’itinérant » édité par l’association Emmaus. Mais cette opération ne fut pas un succès. A croire que la pauvreté fasse toujours peur et cela même pour un produit de luxe subventionné parfois. En ce début des années 1990 allait apparaître les « gratuits » et « l’évènement du jeudi" devint « Marianne » Un monde, un environnement dédié à l’info de visu, avec le son et les sens dans l’espace-temps, sur des positions en temps réel. Une quote de verre et une quotation enivrée sur un chemin de fer. Un journal pour quoi faire? Mieux vaut faire les cons dans les manifs et se droguer dans un squatte ou un ghetto. La presse alternative de gauche a bien un représentant avec le contre-maître Sud-africain. Aujourd’hui l’opinion est sans raison et celle d’un rédacteur a ses limites. Il faudrait s’opposer à l’opinion d’un point de vue critique, tout le temps et à chaque instant. De quoi nourrir les discutions et les disputes dans le monde et avec nos semblables. Des frictions qui conduisent à la violence du monde et de l’info. « Libération » avait fait un numéro en tissu préfigurant ainsi à l’influence du torchon. Un torchon doit être propre, repassé, plié et rangé avant de brûler. Ecrire est une utopie ainsi que penser ou exister. Dans le monde comme en France, des journaux sont nés de la révolution industrielle des transports et de l’industrie du papier, des journaux centenaire nés d’une révolution de la communication avec le télégraphe. Les réseaux sociaux et les pure-player sont les gagnant de la révolution internet connectés sur la chaîne avec des relations autorisées, privilégiées et confidentielles. C’est, il semble, le simple rôle d’un réal-player ou d’un citoyen de rester informer. Avec « l’opinion, au moins, aujourd’hui, en France, c’est clair !

mardi 6 avril 2021

Dans l’incertitude politique

Dans l’incertitude politique et les échéances électorale en France et en Allemagne, Les marchés sont frileux, les investisseurs désertent des IPO audacieuses et la Place n’a plus d’issus ni d’innovation à proposer à part peut-être des parts dans le marché de CO2 sur les quotas d’émission de carbone. Parallèlement, une bulle c’est formé autours du Bitcoin et risque une perte de confiance bien que les détenteurs soient des portes-feuilles d’hommes d’affaires comme E. Must dont l’entreprise Tesla capitalise énormément. Bien que l’on ne voyage pas sur Mars avec de l’or, il semble que nous sommes encore sur terre. L’héritage n’est pas de cacher les fautes, si faute il y a. Avec la crise on peut dire que bien des oiseaux se sont ramassé une gifle qui laissera un traumatisme profond. Les assurances misent sur le solidaire et l’alternatif ainsi que l’Etat pour redonner une cohésion au groupe en recherche d’écologie. Dans ce contexte la voiture électrique s’impose comme une option pour le climat. Cependant avec la nature, l’homme ne maîtrise rien et on le remarquera aussi avec la pandémie et son histoire. Il est peut-être temps de réduire l’impact de la crise et lire de l’échec de manière sporadique. Pour quelques options de plus, apprendre de l’échec et de l’erreur avant même que la crise arrive. Chercher l’erreur comme on cherche un résultat, ainsi que l’on trouve une solution. Quand on est en retard, tout va plus vite. Aussi, il reste important de garder du recul et d’estimer les distances cela même avec les intuitions. Les liquidités sont chères en gestion. Trouver des secteurs d’investissement c’est un peu chercher des perspectives. Débloquer l’épargne des assurances est une piste, un chemin balisé qui nous évite, il faut le croire, le pire ! L’économie de la politique est en option, déjà prise en compte.