lundi 21 décembre 2020

Des hommes sans talent

L’humain n’est plus qu’une illusion à la recherche de la structure et de son rêve à travers la consommation, la restriction, l’activité et le repos. Illusion du spectacle et du progrès mais à quel prix? Confortable alors que s’installe la crise face aux urgences sociales et à des colères légitime. Equilibré entre moins value fiscale et plus value sociale. Moment où des individus en crise gardent le devoir historique dans un rêve en temps de crise. La gestion des risques sur le crédit renforce l’assurance et la démonstration de la présupposition des pertes et des moments négatifs ne serait-ce que pour rester capable de détourner ses instants graves. Comme un enfant sans famille et handicapé qui croit avoir des liens ou quelques talents dans un monde en crise, exacerbé sur les tensions des relations sociales à quelques échelons de la hiérarchie et qui pense encore avoir un don. L’illusion des sentiments face à l’exclusion intégré à la culture en tant que modèle et avec une certaine concupiscence hypocrite faite de fausses confidences ou des « prenez soin de vous » au bord des souffrances des temps de crise. qui traumatise toujours plus de nouvelles générations de disciples au service de la stabilité et de la paix. Accompagner l’entreprise commune devient le rôle de chacun dans la mutualisation des talents. Ainsi naissent de la crise des performance dans d’autres milieux défavorisés. Dans ses temps où l’esprit ce doit d’être fort alors que bien des épreuves découlent de mouvement de crise inhérent à l’existence même d’une économie. Sans ce perdre dans la condescendance, chercher plutôt à économiser nos empathies et affronter un avenir plein de promesses. C’est ainsi que ce construisent les grands projets fédératifs et les grands travaux communautaire comme durant le printemps des peuples qui mettra à jour l’Allemagne au milieu du XIXe à la recherche d’unité nationale dont la France hérite fin XVIIIe. Conjugué à l’aspiration de modernité, l’Europe n’est pas un vieux continent mais elle reste l’avenir et l ‘espoir du monde. La période actuelle, un rêve pour les révolutionnaires romantiques, cette période coïncide avec les idées et le meilleur du mouvement démocratique amorcé comme la victoire de la libre pensé.

dimanche 22 novembre 2020

La négation en question

La négation en question Pour la gauche révisionniste, Le réalité des chambres à gaz ne devrait pas faire oublier qu’il est tout autant inhumain d’enfermer, de déporter, de déplacer ou d’effacer d’autres génocides. Pour éviter toute ambiguïté, je voudrais d’abord donner mon opinion. L’homme est assez humain, même peut-être trop. Il est assez cruel et froid pour réaliser de tels dessins atroces, comme utiliser, pour-ce-faire – barbarie suprême – à travers l’épuration et le crime organisés des moyens comme le gaz. On pourrait s’attarder sur les méthodes utilisées comme la famine, la maladie en guise de comparaison… Mais tel n’est pas notre propos. Pour en revenir aux thèses proprement négationnistes, il me semble qu’elles ont été, à proprement parler, certes récupérées mais surtout l’élément d’un débat historique, d’historiens révisionnistes ou non. Certains soulèvent des zones ombres sur la mort ou la vie de tel ou tel personnage historique. D’autres journalistes encore se posent des questions sur le déroulement du 11 septembre 2001 et vont jusqu’à nier la fausse preuve d’arme de destruction massive que C. Powel présentait devant le congrès américain, pour appuyer les raisons d’une offensive en Irak. Devrions-nous nous taire et ne pas soupçonner l’utilisation du phosphore lors de la bataille de Falloudja en 2003 ou même l’essai de certaines armes nucléaires dans des conflits récents ? Et ce malgré les révélation de Snowden sur les crimes de guerre de l’armée américaine en Afghannistan Il y aurait matière à lire dans un pays où la liberté d’expression est si bien protégée de ce qui est bon de penser sans retenue. Le débat qui s’est tu est promis à l’ignorance mais nullement à la critique et la lucidité. Un des points de vue positifs, est qu’au regard de cette chose, nous pouvons dire aujourd’hui que nous savons de quoi, sont capables des hommes ou des peuples avec comme arme une idéologie froide, et tout ce qui l’accompagne, l’idéalisme, l’utopie, le socialisme. A travers le rappel des dangers, la diaspora nous place face au pire de l’humanité (la colère des hommes) et devant la violence des idées toutes faites. Enfin et suite au génocide, le peuple Juif mérite et peut légitimer l’Etat d’Israël qui justifie la violence de l’Etat au son du « Plus jamais ça » ; Prétexte de la communauté pour se tenir à l’écart, forte de son indépendance et de son droit de juger et condamner l’anti-sémitisme comme un ennemi commun auquel s’opposer, sur qui rejeter la faute, et contre lequel le peuple juif et Israélien se doivent de rester uni. A partir du moment où l’image du génocide même n’est qu’une image abstraite du non-possible, de l’insupportable ou de l’intolérable et inadmissible pour une pensé libre et moderne, il est positif de le réaffirmer pour empêcher l’oubli de ce drame nécessitant l’intégration dans la mémoire de l’humanité, du pire. That is the question Il n’y a pas de question juive comme il n’y a pas de question sur ce qui est effectif et en sois, la couleur de peau ou la race. Il n’y a pas de question, pas de problème, donc pas de réponse ou de solution à donner à la chose en sois. On peu d’ailleurs transposer cette observation au sentiment de colonisations des pays riche aujourd’hui Cela dit, il reste la question du Socialisme, le problème d’un parti qui selon sa forme est capable par son idéologie d’entraîner le prolétariat, les travailleurs à défendre l’outil, le capital, l’industrie au prix de leurs vies et jusqu’à leur négation totale. Il y a la question de savoir si le monstre est née, de l’imaginaire d’un artiste, d’un fou, d’une idée ou si l’Etat, partie prenante dans la défense des intérêts communs (l’ordre social, l’activité…), débordé par la politique du capital et ne sachant résoudre la crise sociale pouvait faire mieux sinon autrement. Bien entendu le IIIe Reich en 1933 n’avait alors pas produit ses effets dévastateurs. Un peuple, un Etat, pris à la gorge, en proie à la décomposition avec une industrie sans débouché et l’agitation communiste, face au chaos allaient se soumettre puis s’organiser, s’éduquer à être un peuple supérieur, un empire, une race qui allait assumer une guerre industrielle sans équivalent dans l’histoire. Le sujet du racisme est au centre de toutes nos attentions face à l’ambiguïté de certains comportements, d’attitudes et d’esprits contraires. Le monstre national socialiste nous enseigne, en Europe la mutation de la société et de l’économie dans les tourments de la crise et la transformation de la représentation de l’Etat dans les année trente mais n’efface rien des crimes présents, de l’injustice et la violence actuelle En réal-politik, on ne cultive pas les contradictions mais plus l’amertume des temps de crise. Ce que fut l’asservissement de la pensée et de la liberté : Nier l’individu. La négation envahit la pensée de nouveau, en dualité, sur elle même, en idiosyncrasie. Les théories complotistes foisonnent et camouflent aussi, dans la jungle des fausses infos et des détournements, des négligences au droit et à la liberté que s’octroie les élites au service de ce qu’ils croient être juste. Reste à chaque citoyen européen d’exorciser cette période historique au pli d’un rêve à construire au quotidien tout en restant lucide du rôle de chacun dans cette aventure. Logique du terrorisme (M. Bounan) - ALLIA Critique de la violence (W Benjamin) - Payot Béhémoth, structure et pratique du national socialisme (F. Neumann) Payot

mercredi 19 août 2020

#revenu-universel

La crise a placé les faibles et les précaires sur la scène. Mais les crises, nous les connaissons avec toute leur Histoire. L’agenda de cette communication ne devrait pas s’allonger dans la durée car outre l’instant médiatique des polémiques. Il reste prudent de ne pas raccourcir le temps de la mise en oeuvre.

L’Europe peut avoir sa place dans la régularisation des aides dans la zone. Avec les régions, les départements et les communes, cela reste possible ou discutable.

Bien insister sur le fait que le règlement de nombreuses aides entrent déjà dans les comptes, Donc, pas de hausse d’impôts. Ce qui peut faire peur c’est que cette option servira a assainir une petite partie des compte sociaux. L’avantage, outre la régulation et la simplification serait de redonner une assurance à bon nombre de jeunes étudiants et travailleurs et ainsi favoriser et motiver leur intégration

Non seulement un coup de pouce pour chacun mais un pouvoir d’achat juste et équitable. Un revenu au planché du seuil de pauvreté serait une avancée considérable en plus d’être un soutien pour l’économie et la consommation. Pour bien des raisons, la génération présente réclame plus de justice et de soins.

Ce revenu pourra ainsi intégrer la prime d’activité ce qui sera un poids en moins pour les finances publique.

Voici les quelques points du financement alors que se présupose les aides déjà consenties par les revenus du travail et du capital.

jeudi 6 août 2020

Par quoi remplacer le socialisme?

La seule critique à produire entre deux provocations est celle du socialisme et de l’État. Que cela égratine et touche la République reste évident en fait, la critique est inscrite dans les gênes du système. C’est aussi une lutte constante avec, je vous souhaite, de la tempérance. face à l’autorité du mensonge, aux agressions et autres démonstration de forces. Ne revenons pas sur 40 années de sournoiseries alors que le parisianisme était au pouvoir en France et majoritaire en Europe, dans plusieurs pays de la ZE. Mais aujourd’hui, sur quoi s’appuie le socialisme? À l’heure ou la crise communiste est actée, il n’y a plus de place pour l’idée socialiste... Les fossoyeurs de cette illusion ont fait du tord à l’idée même d’humanité. Ainsi, comme un bloc, le socialisme se corrompt dans la même nostalgie du IIe empire. Mais il ne sombre pas, ni son rêve en Europe. Il mute dans une forme contradictoire à moindre mal dans le discours écologique, lorsque toute forme de résistance pour la liberté s’oppose au diktat socialiste dans le combat universel pour la fraternité

lundi 15 juin 2020

Hic Rhodus, hic Salta

Comme il nous est rapporté d’Anaxagore (Ve Siècles av JC), le mouvement, chaud est féminin, parce que en courbes. Il doit parcourir la moitié de sa rotation autour d’un cercle, par exemple, pour toucher un point d’équilibre vers le déséquilibre, à l’origine de la révolution. Pris dans son mouvement, la nature, faite de courbes, accompagne l’humain et l’inspire, depuis son origine.
A l’heure des masses qui convergent, attirées sur l’élan vers l’accomplissement, dans le cas, par exemple d’une roue qui tourne, dans cette société, pendant les premières émeutes, celles de la révision, du complot à la destruction du passé. Ainsi, faire fit du présent et rejoindre l’inconnue dans l’histoire des crises et du déséquilibre. Cette histoire, transmise par des générations de révolutionnaires et de romantiques, arrive à son comble. Sans issue, dans la destruction permanente depuis longtemps entamées. Des résistance se mettent en place et propulse, entre elles des masses conscientes et universelles qui s’approprient ou s’affrontent pour  l’espace idéologique d’une drôle de dialectique. Contestation de la vérité, violences exacerbées, de tout côtés alors que finalement, personne ne comprend plus rien et ne s’occupe que de sa propre existence dans des conflits et des difficultés du quotidien. L’intérêt reste de dominer, par principe, le mouvement sur sa décadence. « Nous danserons sur les ruines du vieux monde »
Demandons nous  qui détachera les pétales de la raison?

vendredi 5 juin 2020

#yabon la #crise

En 1987, les États s’accordent pour déréguler la finance et le crédit, ainsi modifier les valeurs traditionnelles ainsi que l’or tombé en désuétude puis l’attraction pour la pierre devenue has been, à cette époque, même le travail est devenue ringard. Ce chamboulement pour relancer les marchés et favoriser des produits financiers à même de soutenir la rentabilité des banques et relancer l’économie pour faire face à la récession qui naquit lors du krach historique d’octobre. 35 ans plus tard, une nouvelle crise de confiance est née de la pandémie, les même réflexes guident les français en direction de l’épargne et la prudence. Dans le même cycle, la crise de 1990 et de 2008 découlaient des changements opérés en 1987, révélant l’éclatement de bulles spéculatives. De colossaux fonds de pensions, rattachés à l’assurance se combinent et sont en jeux à chaque crise, financière, sociale, pandémique ou climatique. Aujourd’hui, l’urgence écologique est totale, l’objectif serait-il d’accompagner les peuples vers une conscience de cette guerre totale?… Celle du climat ?! Avec les organisations horizontales à même d’accompagner le changement, ses philosophies s’affrontent tandis que pour le plus humble, la philosophie est, elle même, son sujet. Et le philosophe de ne penser et  ne réfléchir qu’à la philosophie elle même. Des spécialistes, aux service d’association, de syndicats, de chambres, au pli des corporations et des entreprises prestataire de service pour un meilleur confort et une meilleure garantie voire de meilleures assurances. Après 2008, pour la première fois était remise en question les nouvelles modes de consommation. Depuis les crises politique se conjuguent avec les tensions sociale.
Mais, la responsable n’est pas l’épisode Covid qui ne révéla que la peur des français, face au lendemain, devant la mort, face au réfugiés ou devant les épisodes de l’actualité, se jetant sur l’épargne, réclamant l’aide d’un Etat au bout du rouleau. Un Etat pillé, par vagues successives, depuis 40 ans. De nouveaux riches et de 4 générations de la « gauche » qui ont profité d’une droite traditionnelle fatiguée après deux guerres et les crises successives. Une droite dégénérée, elle aussi, par l’oppression de voyous et de tristes bouffons.
Les assurances sont, elles-mêmes limitées à leur exposition aux fluctuations et aux risques ponctués de croyance (le crédit) et de nombres d’espérances. On peut donc en conclure que l’assurance continuera d’être un secteur à suivre, Particulièrement l’assurance-vie. Parallèlement le marché de la pauvreté se porte bien et les statistiques de la délinquance et de la prostitution se portent bien.

dimanche 17 mai 2020

Vigilance extrême


Il y aurait bien des solutions pour soutenir les entreprises : en soutenant l’économie et l’emploi. En mettant des outils issus des nouvelles technologies et des fintechs, la blockchain pour permettre l’aide tout en observant la bonne gestion. la société de portage, rouage de cette technique conjuguée aux prêts versés et contrôlés à des entreprises surveillés? Le but n’est par ailleurs pas celui d’accompagner l’entreprise dans la faillite ou la confronter dans la crise, mais bien d’étayer sa structure et offrir un contre poids aux difficultés. Avec des réseaux sociaux comme Viadéo ou d’autres. Comment rassurer les banques? L'optimisation comptable vers une réduction des pertes et une augmentation du gain. Les banques souhaitent ne pas avoir sur les bras de l’immobilier ni rien qui ne soit rentable. Appuyé sur le florès et tiré en cours et moyen terme par les indices choisis. Organisation à créer, indices à réinventer dans des périodes de transitions, vertueux et conseillé à ce titre. Ne soyons pourtant pas utopistes ou présomptueux, les marchés jugerons des qualités de gestions en temps de crise. Le portage d’entreprise ainsi que le portage salariale peut-être un outil plus efficace que laisser filer les dépenses et arroser de liquidité le marché des obligations sans vision à long ou court terme. Tout les leviers et les ressources dans l’entreprise doivent être rentable et pérenne. Le long terme choisira peut-être l’avenir et l’écologie comme mouvement des organisations à venir.

C’est à ce prix que nous soutiendrons la monnaie par le biais des marchés. Techniques financières et réseaux spécialisés sont les atouts de la modernité. A l’heure ou nous sommes vulnérable, une grande vigilance s’impose avec les fonds de grandes banques internationales sur les champs de bataille de la guerre économique.
Dans cette période de crise aigu, certains ont tirés leur épingle du jeux et d’autre comme les hôpitaux ont été plus rentable et plus efficaces ! L’utilisation de l’épargne, bien qu’utilisée sous N. Sarkozy en 2008 n’est sans doute pas d'actualité.

jeudi 23 avril 2020

MOUVEMENT à l’arrêt

Le marché du pétrole de 500 milliards de $, premier marché mondial est maintenant amputé de 10% de sa production et de l’arrêt brusque de l’économie. Les grandes banques appellent à une reprise par la consommation dans un présent bien incertain. Le mouvement s’est ralenti, et déjà les trompettes politiques appellent à lâcher du leste, sur les charges par exemple, lesquelles soutiennent l’engagement social en faveur de l’activité, de la consommation consciente et surtout de la paix à l’heure du renouveau et des ajustements nécessaires pour la stabilité. Le SME est doté d’un fond de 500 milliards pour la stabilité européenne. Le rachat et différents QE sont arrivés ou ont dépassé les 450 milliards avec un rendement d’à peine 0,5%. Le directeur de la BPI peut, lui aussi appeler à la « monnaie hélicoptère » et à l’arrosage massif du tissu des entreprises. Il sera pertinent d’observer les réaction du Bund, de l’OAT ou du 10 ans US qui de l’autre côté de l’Atlantique subit la même crise et les peines identique aux autres continents. Les marchés émergeants de l’ALENA en seront traumatisés, du moins un temps.
L’élan patriotique observé le long de la crise sanitaire peut lui aussi favoriser l’investissement et le soutien de la part des populations à travers, aussi des entreprises nationales. Les marchés financiers n’ont pas, par ailleurs été déstabilisés lors de la crise sanitaire en faisant preuve de maturité selon les modèles et les sécurités mises en oeuvre le long des cycles et des crises mondiales de ses dix dernières années. Pour certains fonds, la reprise ouvre des opportunités en matière de M&A, de rachats de parts chez des sous-traitants ou des partenaires en difficulté selon les secteurs frappés de plein fouet. Les chancres du chaos qui espèrent revivre du désespoir de la crise, ne risquent pas de nuire à l’intérêt commun et la question politique restera sans doute consensuelle en faveur du bien commun. Ainsi que nous l’explique le prix Nobel d’économie Esther Duflo, les tissus associatifs profiteront encore de la manne des politiques sociales, du moins dans les pays avancés de l’UE.
Il va sans dire qu’une récession de 6% est une catastrophe pour beaucoup de futurs précaires parmi les jeunes travailleurs soumis brutalement à la cruauté du système.

dimanche 12 avril 2020

COVID 19, l'homme de nouveau face à la mort

Le Covid 19 sera le virus des nouvelles peurs et pour l’après, de nouvelles habitudes au son des nouvelles dictatures soft de la pensée et de la communication. La génération d’avant était celle du VIH avec les gestes et les précautions à l’âge de la reproduction. Façon de partager sa méfiance envers l’autre, de vieux instinct se réveillent pris de panique et aliéné à l’angoisse.La surveillance en toile de fond, tout est là comme dans un film d’action made in USA. Un marché à l’arrêt et les prévisions d’une récession mondiale à entretenir et à gérer encore avec le défit d’une misère intrinsèque et une précarité révélée. Pensons à demain et aux soldes pour déstocker et reconstruire un trésorerie dans le secteur de l’habillement mit à mal pendant le confinement.

Et après…
Le grand chantier sera peut-être de se réapproprier notre liberté et reconstruire un esprit libre. Comme Heidegger en son temps, le covid 19 aura eut le mérite de remettre l’homme devant la mort.

mardi 18 février 2020

Coupez…!



W. Benjamin termine sa Reflexion sur l’image reproductible en laissant le champs libre à l’image du cinéma et la décomposition des gestes et des expressions sur la mutation du spectateur plusieurs générations après l’invention du cinéma et l’expérience de la chambre noire. Facteur d’émancipation, l’homme ainsi plus instruit reste plus à même à comprendre la « créature » pour l’aborder et partager avec l’autre, l’activité comme l’enveloppe charnelle qui se révèle, une plus large compréhension des corps et une intuition plus juste au sein du rapport et de l’échange.
Plus apte a traduire l’intime sur le fil du mouvement interprété d’après la norme culturelle de l’intellectuel. Loins des récompenses, des modes et de la consommation, pour retourner à l’essentiel de l’invention et de son progrès dans un siècle où l’image éclaire, au quotidien tout l’espace ainsi lumière. L’heure par ailleurs n’est pas à la réfraction. Lorsque le rythme s’accélère, le cinéma est derrière et les flux d’infos relayent la réalité intrinsèque qui nous traverse. Le jeu vidéo par extension fait appel au réflexe et demande à l’acteur de résoudre d’un click, dans la forêt des possibilités - Cela résout et simplifie une certaine économie du Droit chez Hegel ou Debord dans la représentation sociale et la conscience populaire. En cadence, les générations jaillissent et déborde déjà, non plus l’image animé à l’angle précis de l’Histoire mais le vécût sur les vagues successives des interprétations de l’image/seconde. L’émancipation donnera un temps une race nouvelle pour un nouveau monde.

L’image tel un signe calligraphique s’inscrit en rêve aussi, en musique jusqu’à son paroxisme.