X. Niel lance une opération simplifiée sur free

L’heure n’est plus au court terme. Des réflexions plus matures doivent prendre le relais par prudence. Une opération de X. Niel, patron d’illiad, lance une OPA sur free, une opération simplifiée avec la promesse de donner des actions moins chères pour une OPAs prévue le 8 septembre, après accord de l’AMF. Illiad tape dans le cash pour rémunérer les conseils d’administrations et les actionnaires du groupe en leur faisant bénéficier d’actions moins chères, payant les collaborateurs en option de stock pour une partie de ses actifs. Une cavalerie à l’habitude d’Iliad et de X. Niel qui font grimper les indices sur le marché saturé de la téléphonie, avec la tentation de venir gonfler les tarifs dans cette période inflationniste et proposer des prix et des offres plus agressifs en matière de rendement, profitant de l’aliénation du consommateur pour sa communication. Si SFR rachète Free il y aura monopole pour cette entreprise qui est comme un noeud stratégique et culturel et qui tient en mains, des données et statistiques et possède aussi de réelles compétences en matière de sécurité avec une école de développeurs. Un fleuron de l’industrie et de l’économie française qu’il appartient aux autorités de juger le fonctionnement avant d’être au pied du mur, si l’engagement est important dans la direction que cherche X. Niel d’ici le 8 Septembre. Des lois antitrust veillent et X. Niel cherche à passer en force pour s'armer d'une position dominante. C'est le suspens pour Illiad et Free qui fera basculer l’AMF d’un côté ou de l’autre, selon le développement de cette affaire.

Subir l’inflation avant la récession

Suite à l’intervention de J. Powell à la FED qui laisse l’inflation galoper avant d’y voir peut-être plus clair, le soir même le HKD remontait en USD et le HSI se reprenait après un faible crash sur les bourse asiatique dans le secteur de l’éducation et de la technologie. L’euro gagnait du terrain sur le dollar et s’achetait 1,185 usd. J. Powell, qui est mandaté pour 5 ans, joue du déséquilibre mais le taux US 10 ans réagissait favorablement aux décisions de la FED. En coulisse J. Biden est parvenu à un accord avec le sénat pour une option à son plan de relance et de grands travaux d’infrastructure. Ce sera finalement 8 tranches de 500 millions d’USD sur 8 ans dont une première période de 5 ans. L’industrie US devrait apprécier, dont Caterpillar et le secteur de la construction. En Europe, l’automobile se maintient et continue de nourrir le commerce extérieur du continent. Boing a reprit son envol aux USA sur le DJ, en attendant le décollage d’Airbus et la reprise de la compétition. Le barril de pétrole WTI baisse sous les 73,5 USD. Si l’on considère que c’est un indice d’activité, on peut craindre pour l’emploi alors que le gouverneur de la banque fédérale souhaite une hausse des salaires. Une inflation qui s’accélère à 10% cette année aux USA. Une part de la téléphonie qui coûte cher aux ménage comme tous les postes de dépense. Il faut donc entendre J. Powell pour croire que l’économie progresse. L’inflation, en attendant, a traverser l’Atlantique et bien que les coût à la production baisse en France, l’Espagne voit les prix augmenter de 2,9% et l’Allemagne de 3,5% sur 1 an

On s'accroche... !

La #FED face au #dilemme de l'#inflation

Plus que présupposer les éléments de langage sur une littérature économique, vivre l’Histoire au rythme de l’actualité d’une période économique moderne et récente qui arrive peu à peu à ses limites théoriques. Le feuilleton des cryptos nous informe sur l’abstraction des échanges et des contrat sous leurs formes numériques. Le rêve, pour parler littérature s’approchait d’un cercle vertueux en économie, autant sur les question sociales que sur les marchés. Au lieu de cela, une spirale exponentielle qui touche les denrées. Dans cette histoire, où même le rêve s’épuise sur la dialectique pour reter matérialiste. Un rêve investie par la culture et la publicité qui n’est plus adapté. Que penserait C. Fourrier de cette époque?… Clef en main! L’indice VIX qui évalue les risques est à son comble et remet les choix à leur juste cause. Pendant que certain investissent dans l’art, le refuge en temps de crise n’est pas un abrit face aux intempéries. L’histoire s’écrira autrement et à court terme sur la pierre-papier. Les jeux, eux aussi se financiarisent auprès de leurs abonnés… Un vrai cirque ! Avec beaucoup d’argent en jeux pour les entreprises sportives, les société de pari en ligne et les sponsors. Avant d’anticiper les appréhensions de la Fed, le pétrole est monté à 72,5 USD et la demande reste soutenue parallèlement à des prévisions d’inflation élevées estimées à 10% sur un an aux USA. Le contexte n’est pas très aisé pour les marchés et J. Biden n’a pas convaincu avec son plan de relance. La solidité du Yuan et la fragilité de l’indice à HK pourrait influencer les choix en politique monétaire. Mais ce n’est pas un jeu, plutôt une guerre sociale pour la stabilité.

#BCE : C.#Lagarde repousse l’#inflation à plus tard…

L’été est toujours propice aux M&A, Netflix cherche à proposer des jeux vidéo via sa plate-forme. Avec les taux toujours bas, le marché immobilier est à observer jusque’à la rentré pour trouver des solutions d’investissement à moyen terme. Après l’épisode de la pandémie, les populations vont chercher le changement et l’amélioration de leur condition. Des tensions dans l’industrie freine la production comme le montre la pénurie de semi-conducteur dans l’automobile. En France, la balance commerciale est déséquilibré par la crise du covid 19. Le retard sera vite rattrapé avec une des première population à être totalement vaccinée en Europe et en Occident. Elle a donné beaucoup pour soutenir le tissu entrepreneurial, cela sera payant, c’est du gagnant-gagnant. De belles IPO ont revalorisé les marchés cette semaine et le Cac40 revient sur les 6 500pts. Les marchés entrent dans une phase de régulation et vont tenir un rythme, sans doute jusqu’à la fin de l’été et de l’année. Les plan retraites sont dans le viseur de la cour des comptes pour projeter une meilleur utilisation de ses fonds capables de soutenir la relance et au delà, la croissance. FTX, la plate forme de crypto monnaie est aujourd’hui valorisé à 18Mds d’USD et pèse plus que la SG. L’économie ce dé-matérialise peu à peu. Les taux négatifs la rende virtuelle, elle s’approche de la phénoménologie de la pensée et spécule sur des objectifs tout autant matériel qui en dégénèrant entrainent avec elle la société tout entière vers le défaut (Bien français, juste comme il faut…), une erreur ou une inconnue qui entrainera le marché dans la purge. Ainsi que le disait A. Merkel au sujet des inondation en Allemagne, « c’est surréaliste » alors que A. Laschet riait durant la commémoration. Ce n’est pas surréaliste, c’est débile ! Difficile de rester concentrée sur une raison optimum alors que tout est retourné, sans plus de prises sur la réalité des indices, des notes et des papiers qui embrouillés ne sont peut-être plus adaptés en cette période de solde venant de Francfort. tout doit disparaitre ! Que d’augures par les élections. Aux USA, le Sénat rejette le plan de développement d’un autre rêveur à la Maison Blanche avant que celui-ci soit face au shutdown. La solution n’est pas que politique. L’important est-il de retrouver une dialectique de la raison face à la catastrophe économique, écologique et aux phénomènes naturels.En attendant que la génération futur en souffre, les stock-futurs et futur actions sont plébiscités par les investisseurs qui spéculent à la hausse avec l’argent de la BCE.

Big short list sur mid-cap

Beaucoup de mouvement cette semaine sur le marché des M&A. Londres accueille une Fintech californienne et introduit Robinhood à la bourse de Londres. I2PO se valorise sur l’Euronext. L’évolution des modes de gestion a booster les Fintech. Dans les média et les transports, il y a aussi du mouvement, Netflix chute sans filet, des fusions-acquisitions qui ne manque jamais de plaire aux investisseurs friands de feuilleton. En ce début de semaine le DJ décroche et ce dés Lundi, entrainant les bourses européennes et réactivant la concurrence avec Londres. Dans le monde occidentale, la quatrième vague du variant delta fait chuter les indices et les japonnais ne profiteront pas des JO. Des pensés, des rêve qui raisonnent dans l’acoustique. 10 ans de croissance aboutissent à une prise de bénéfice et les indicateurs retrouveront des niveaux d’achat. Le 10 y US bien que positif est à la baisse et le report sur le Mid-cap soutient le S&P500 mais pas la dette. En France, il faudra attendre 2022 pour estimer la reprise et faire le bilan du plan de relance avec de nouvelles dispositions écologiques dans le secteur de l'automobile en Europe. Pour le tourisme, ce n’est pas la fête sinon pour le haut de gamme comme Voyageur du Monde. Avec les évènement en Afrique du Sud, les mines en Afriques Australe sont sous tension et attirent les convoitises. Au delà de la facilité de paiement, nous pourrions nous diriger sur la possibilité d’investissements plus simple et ce malgré le tarif des commissions, beaucoup de choses restent à démocratiser. En Europe les taux repartent à la baisse, les investisseur cherches d’autres sources de rendement pour ceux à qui ils restent des liquidités pour créer et gérer sa short list sur un Mid-Cap ou Mid cac. Avec un assureur risque plutôt qu’une prime, entre le ratio risque et bénéfice. Pour la haute fréquence, il faut son billet sur une plate-forme alternative. Certaines banques équipées de super-calculateur proposent jusqu'à 2 opérations/seconde. Pour un numéro de trapèze, il faudrait quelqu’un à la réception. Heureusement le Topix progresse la nuit dernière alors que le yen baisse en USD sur les 110 yen. Le Hang Seng sur son plafond des 28 000pts s'accorde avec le Yuan à 0,1547 USD

#economie #finance : Le Bund progresse et l’OAT suit à la peine

L’UE et les pays industrialisés ne veulent plus du marché du carbone, souvent perçut comme un droit de polluer, ce marché sera laissé à la Chine. Nombre de pays, sans industrie bénéficient d’un stock de CO2. En Afrique mais aussi ailleurs, là où l’on recycle ce dont les pays riche ne veulent plus. C’est aussi une monnaie d’échange. Pendant que la crainte s’empare des marchés toujours plus prudents et normés. L’OAT 10y en France est encore négatif. En Allemagne, le Bund, après avoir creusé dans le négatif se retrouve en hausse autour de 150pts à +0,20%. Le spread avec l’OAT 10y est tendu et dénonce la mauvaise rentabilité de la dette française, sans être le maillon faible de l’Europe, le prochain chancelier devrait trancher avec la France au sujet de l’Europe dans la projection de 2022. Le Bund 10y est solide en USD mais pour l’OAT, il faut attendre 30 ans pour retrouver des territoires positifs. Les banques centrales inventent et imaginent des asset bond sur de nouveau flux d’échanges dans le futur. Le HSI tient la corde des 28000pts cette semaine. La croissance de la Chine reste cependant inférieur à sa vitesse de croisière située aux alentours de 7% du PIB chinois. Le HKD c’est affaiblit en USD et c’est une zone chaude à observer en temps de crise et de tension dans la région de Taiwan. La Chine devient peu à peu le nouvel el Dorado de l’ordre économique mondial. Un acteur incontournable sur le continent européen et africain. Soutenir les monnaies des États est devenu un casse tête si l’on compte tout ce qui manque aux monnaies en difficultés. La tâche de soutenir les économies est plus aisé. C’est le travail des banques centrales, du FMI avec l’aval de l’ONU et du HCR. Sans volonté politique de toutes les parties concernées, on ne risque pas d’avancer. La matière à revaloriser est de couleur grise à défaut de ce que l’on peut en faire dans la communauté. Les socialistes ont un peu épuisé le concept pour ceux qui rêve d’un sens commun pour l’Histoire. Leur cap est une société inclusive et fluide comme le dévoile le cinéma français à Cannes pour un film violent et gratuit. Depuis longtemps déjà plus personne ne relève les atteintes faites au droit dans toutes les formes des relations ou des rapports économique.

#Finance verte : Des #inondations qui débordent dans l'urgence

Les prévisions pour l’automobile sont plutôt bonne, Renault progresse ce matin à Paris. Avec la fin des restrictions de la pandémie, le transport accompagnera la reprise, l’Europe saura profiter des accords de l’ALENA, un vaste marché avec tout le continent américain. Canada et Argentine sont déjà des partenaires historiques. Avec l’apport de 15% de taxe sur les multinationales, tout devient possible ! La main d’oeuvre manque dans certains pays de la ZE mais le pétrole est encore bon marché et les machines soutiennent l’activité. Certaines tensions sont ressentie sur le bois et le papier, des biens épuisable qui coûte plus chère à entretenir et protéger tenant compte du réchauffement et du changement climatique. Pour accompagner le changement économique que réclame le climat, l’UE investie dans la dé-carbonisation, pour que les grandes régions industrielles finissent de réinventer le travail en gardant asservi les masses laborieuses dans l’activité et pour maintenir les équilibres sociaux et politique. Dans le monde du travail, la liberté coûte chère. L’histoire du marxisme est là pour nous le rappeler et la violence des rapports sociaux se retrouve sur les négociations des acteurs virtuels de la tech et des médias au delà de leur poids et de leur valorisation. Les inondations à l’ouest de l’Allemagne sur le croissant d’or entre Francfort et Duisbourg nous remettent devant l’urgence de bien faire. Cette zone de l’ouest de l’Allemagne est une zone importante dans le PIB Allemand. Au lendemain de cette catastrophe qui a touché Liege en Belgique, l’Eurostoxx était en baisse. L’euro chutait de 0,20 pts face à l’USD. Aux USA aussi, des zones industrielles peuvent être touchées, par le manque d’eau, en Californie ou les ouragans au Sud-Est. La région de Chicago est elle à l’abris d’épisode pour le moment inconnu ou oublié?

En #France, la #relance a besoin de bras

Le capital mort sur un travail inactif reste sur la table. Pour venir soutenir la relance, le gouverneur de la BdF lui-même admet le problème à faire revenir au travail les bras cassés. « Ne travaillez jamais » écrivait les anarchistes en 1968, avant de rajouter «  Soyons cruel! ». Les salariés dont les entreprises se délestent régulièrement et qui subissent la précarité ce sont habitué à leur nouveau confort minimaliste sans d’autre besoin. La pression, le stress de la sélection ont eut raison du travail qui fini chaque jour d’abîmer les enfants de la classe moyenne. Le remède, c’est l’espoir d’une société désabusée et résignée. C’est un travail mort sur lequel les entreprises ont spéculé en le mettant en concurrence. On retourne toujours dans le même schéma critique envers les politiques précédentes. Malgrès sa publicité et son image docile et serviable, le travailleur n’est pas apaisé lorsqu’il s’approche du chômage et de la classe dangereuse des exclus. Sur les circuits financiers, le meilleur allié est le temps d’évaluer un nombre d’info tiré du fil et des sources d’inspirations pour les investisseurs prudents. Le média, c’est nous disait un chef de presse, et les fils d’info laissent un peu de recul avec le matérialisme historique. À force de rendement sur le salarié, la classe laborieuse est épuisé. Aux USA, les parents disent au revoir à leurs enfants morts d’over-dose et drogués. La drogue pour un ailleurs et supporter un quotidien impossible. Un appétit que plus personne ne peut plus rassasier. Le travail flexible est comme un produit low-cost usé et à jeter. Les EAU se sont accordés pour relever l'offre en pétrole et celui-ci reste à 75 Usd le barril à NY. On pourrait entrevoir assez d'essence pour les machines qui accompagneront la relance. De toute manière cette annonce faite de F. de Villeroy de Galleaud ouvre une porte à tous les investisseurs qui ne possèdent souvent que leur force de travail. Mais la tension sur le marché de l'emploi est ce qui peut freiner la reprise dans son élan.

#automobile #finance : des échelles pour la lune

Les marchés sont volatiles, c’est le temps des bonnes affaires et des prises de risques. Les banques centrales ont du mal à freiner la hausse des taux et de l’inflation, celle-ci s’accélère et atteint 5,8% sur un an. Les marchés sont pourtant sexy pour des vieux revenus de tout et qui vont voir leurs taux d’intérêts grimper, leur épargnes, avec un oeil sur la transmission, en faveur de produits innovants. Placer son argent, c’est aussi un acte politique. L’assurance-vie pour l’exemple pourrait être plus flexible. D’après La Coface assureur du risque, la production mondiale devrait augmenter cette année. En France, l’impôt sur le capital immobilier demande aux propriétaires plus d’imagination pour payer leur impôt et conserver une couverture à imaginer dans le contexte actuel sur toutes les strates de l’échelle. Dans le monde des médias, l’animal social cherche encore, en utopie, des terrains connus. Cela ne se règle pas en rêve… La hausse des prix observé aux USA va s’exporter en Europe. Tout comme les produits manufacturés souffrent de la hausse des matières première et la baisse des commande en Allemagne. B. Obama avait soutenu l’industrie automobile à hauteur de 10 Mds d’USD en 2008 pour faire face au marché et innover sur des voitures plus urbaines à destination de l’Europe ainsi pour GM que la reédition de modèles historiques de la marque à habillé d’une communication plus marketing du made in USA pour produire en parallèle des modèles plus écologique, aujourd’hui, c’est la norme et cette avancé technologique et à prendre en compte pour apprécier l’automobile dans sa transition, au niveau mondial. Aux USA, la modernisation du secteur profite au S&P500 ainsi que les tension sur les matière première comme les céréales ou le café à la bourse de Chicago. A NY, l’auto est mise en compétition avec la chine ce qui booster les performances de l’industrie. Le ch nie est stable en Europe et c’est une chance pour le continent et la démocratie. L’indice de l’activité à Hong Kong est lui-aussi un peu trop stable sous 28 000pts malgrès de belle introductions dans la tech. Mais avec les mauvais résultats du HSI, les entreprises chinoises se tournent vers les indices US, plus revalorisant.

#G20, les #monnaies ne paient plus

Par crainte de l’inflation, la Fed puis la BCE ont encore échelonné les taux de rendements. En Europe, une inflation qui risque d’approcher et dépasser les 2%. L’occident compte beaucoup sur le crédit des générations à venir, alors que les retraites ne sont pas toujours assumées dans certains pays de la ZE. La BCE croit-elle que le crédit est intarissable comme le théorisaient les financiers dans les années 1980’s. Ou faut il encore voir un énième tapering ou un nouveau QE, avec la forme évoluée de la communication habillée des couleurs de l’époque? Avec l'asset bond, un nouveau produit soutient un ancien sans que l'on sache quoi faire des crypto-monnaies. On pourrait en déduire que le capital ne se régule plus sans le soutient des banques centrales. À Venise, le G20 des pays industrialisés s’accordent pour mieux recouvrer l’impôt sur les sociétés, lesquelles profitent des niches fiscales pour développer l’emploi et les infrastructures. Des allègements fiscaux qui ont donné à l’Eire, en Irlande, la croissance de son PIB ainsi que son intégration en Europe. De tout temps, les réformes des niches fiscales laissent la place à d’autres niches. Elle sont actrices de la redistribution et permettent, incitent les grandes entreprises à l’investissement responsable pour optimiser les pertes. En Europe et dans les pays riches, le socialisme est à la peine lorsque l’anarchie se met en scène. L’assimilation du négatif n’est-il pas source d’entreprises alternatives dans la poésie du négatif? L’histoire ne se fera pas plus tard. Sa consécration n’est pas promise en mieux, dans cette réalité qui fait toute la beauté. Des fonds propre à consolider et des tas d’obligataire à rembourser, les États dans la crise deviennent gourmands et NY fait de l’oeil aux entreprises chinoises pour soutenir ses indices.

#croissance : Le #pétrole et le #dollar pèsent sur la reprise

Après avoir décroché des 29 000pts, le HSI se stabilise au plafond des 28 000pts en sortie de pandémie et cela malgré l’introduction de Nio, la Tesla chinoise à HK. Mais l’USD se renforce et le Yuan baisse en dollars. À NY, les indices battent de nouveaux records presque chaque jour, à Chicago, le S&P500 touche sa plus forte progression. Les fonds, les multinationales et les banques se battent encore sur le terrain fiscal et pour certain pays, cela reste un sujet du débat. L’optimisation n’est pas morte et les fonds souverains sont là pour nous en souvenir. Dans ce contexte, la Chine et les USA prolongent leur guerre après les bonnes résolutions du G7. Un changement de cap et des tensions qui perdurent. Les feux sont au vert en Europe, aux premières lignes des grandes questions contemporaines. Les services progressent mais l’indice des PMI baisse, particulièrement en Allemagne et en France par manque de commande. L’OPEP trouvera dans cet environnement, un cap pour ajuster sa production sur cette période de rupture avec le pétrole. Enfin une décision dont Washington n’est pas maître. Avec toute cette énergie primaire, l’humanité se consume!… Un exemple d’universalisme. La restriction de pétrole augmente le prix de l’or noir. La Chine sera tenté d’intensifier ses pressions sur la Mer Méridionale, riche en hydrocarbure. À 1,18 USD pour un Euro, le dollars reste encore bon marché et stable dans la ZE. Après la Fed, la BCE souffle, elle aussi sur les taux, aplatie la courbe puis repousse l'inflation à plus tard.

#Paris, nouvel axe #New-York #Pekin pour la #relance

La grande banque d’affaire JP Morgan installe un hubs, Place Vendôme, à Paris. Au même moment où l’aventure de Didi s’arrête puis reprend à NY. Pourtant promise, cette IPO se solde, sans doute par un échec démontrant une nouvelle fois la paranoïa installée entre les deux côtes du Pacifique. Une entreprise victime de la politique dans une maison de fous. Au secours de l’Ingénierie financière qui a développée tous les pays européen. Cette Europe qui reste, malgré la supériorité industrielle des USA, le continent comptant le plus de petits propriétaires et d’éventuels investisseurs sur le NYSE ou ailleurs. L’Europe, au croisement de la politique internationale, loin des théories du complot. Elle est le centre de l’équilibre, non-pas géostratégique mais financier et économique. Il faudrait que cela soit une chance pour les négociations sur des zones de tensions et de friction au niveau international. Avec la Féd. de Russie mais aussi avec la Chine, il est encore temps de critiquer l’économie comme la matière à penser du XXème Siècle. Juste retour de pièce dans l’affaire Didi de la part du régulateur chinois, au souvenir de la méfiance de l’occident envers certains produits chinois. Une capitalisation de 75 Mds d’USD en fin de semaine dernière avant l’ouverture de NY, Mardi matin, le 5 juillet est férié aux USA. L’introduction de Didi à NY était sans doute une utopie mais aurait dut être un signe d’apaisement entre Pékin et Washington au moins le temps de la relance. Didi qui voulait louer des VTC en Chine n’est donc pas tout terrain

#climat : La #finance se met au #vert

À l’horizontal, la finance verte continue son chemin entre fiscalité avantageuse, le long des normes nouvelles. Une finance vertueuse pour la sauvegarde de la nature et du bien commun. Cette économie est influente au regard d’une population qui suit son chemin avec des apôtres tels G. Thunberg ou N. Hulot. Même avant le confinement, le monde se réfugiait déjà au vert, investissant pour la protection de leur cadre de vie ainsi que leurs modes d’existence. De même, cette finance verte, permet de s’opposer aux vieilles politiques économiques dépassées par les évènements du changement climatique. Aujourd’hui où certains cherchent à mettre de l’âme à la nature et un sens au quotidien. Laisser faire les catastrophe météorologique s’accroître serait négatif. Beaucoup se protègent et se préparent, du survivalistes au retraité qui investie pour ses vieux jours dans l’économie verte et vertueuse. Cela ne dérange personne si on se permet l’amalgame avec cette autre finance verte, au couleur de l’Islam et dont les fonds, vertueux suivent une charte rigoureuse sur les secteurs d’investissement, évitant certains produit prohibé par les valeurs de la religion musulmane. Ses économies et ses fonds verts échangent déjà et partage un intérêt commun pour faire évoluer l’engagement financier des entreprises et des citoyens. C’est, de toute manière, indispensable, aujourd’hui encore, de diversifier son portefeuille avec des assurances contre les effets du réchauffement. Ce n’est pas que de la charité, le climat est dans l’objectif des accords de Paris. C’est à ce titre une révolution que le changement vert de l’économie et cela devient l’âme du monde. Une vision amenée à changer de vertical à horizontale dans les rapport et les échanges, de cette nature qui devient rare et qui s’allie avec le développement durable et le luxe. Une évolution qui met l’avenir en jeu. Finance vertueuse et finance durable peuvent se compléter dans l’économie solidaire. Entre charité bien ordonnée et don de sois, on peut parrainer un arbre. L’écologie est intégré aux éléments de langage et les assureurs communiquent déjà sur le sujet comme un espoir politique, il faudrait qu’elle soit une chance pour l’économie.

#crypto : position à la vente sur le #bitcoin

Alors que celle-ci est en phase de perdre la confiance des investisseurs? Les banques, sous l’influence des banques centrales, s’organisent pour éviter le décrochage trop brutal de cette construction spéculative qu’à été la block-chain et d’autre technologies du transfert de valeurs. Avec l’afflux du télétravail dans le monde, les cryptos-monnaies sont une solution d’intéressement, une source de besoin des entreprises qui soutiennent l’activité probable de cette monnaie crypto US, le Bitcoin ou d’autres crypto monnaies sur le marché asiatique et africain. Conscient de leurs connections aux réseaux, l’immobilier a profité de l’effet confinement ainsi que le Bitcoin qui soutien parfois cet actif. La Place de Paris compte sur la French-tech pour exister dans un domaine de concurrence internationale. Pour un peu et on retrouvera des cryptos partout, dans les produits financier. Mais pour prévenir toute source de déséquilibre, les banques centrales gardent un oeil sur les actifs, même surévalué et puis le Bitcoin peut servir à payer des rançons réclamées par les cyber-pirates. Les commissions de régulation n’ont émis aucune alerte sinon appelé à la prudence lorsqu’il s’agit d’investissement de l’épargne tandis que l’indice VIX est à son comble et à la mesure des plus values qui font sa publicité. La classe moyenne, en ses temps de crise, cherche à conserver son niveau de vie en ce tournant ver la finance. Les banque s’accordent pour le moment à racheter et à vendre les cryptos utilisés, sans doute dans le hield yield. Pour le moment on garde confiance, sans oublier que bon nombre de banques sont exposée aux cryptos. Toutes ont misé sur la relance et il ne faudrait pas que celle-ci soit freinée par la volatilité de quelques actifs. Avec les super-calculateurs, les flux d’échange accélèrent proportionnellement aux besoins grandissant des temps de stagnation économique, de hausse des taux et de décomposition des économies dans les pays fragiles. Ne sommes nous pas tous dépendant des technologies? Avec les services administratifs ou bancaire. Un système fragile et qui nous rend tous vulnérable. Si la crise, supposée des cryptos comme le Bitcoin est avérée, ce sera comme un château de carte des nouvelles technologies bancaires qui sera probablement éprouvées. C’est aussi pourquoi, les banques centrales, par prudence surveillent et stock ses nouveaux actifs. La volatilité du Bitcoin est peut-être un épiphénomène, mais reste à savoir si l’environnement est stable sur l’économie réelle. C’est une bonne nouvelle pour les services de paiement et de transfert d’argent… De là à retrouver des cryptos dans les fonds propres des banques, il y a un pas…