En #France, la #relance a besoin de bras

Le capital mort sur un travail inactif reste sur la table. Pour venir soutenir la relance, le gouverneur de la BdF lui-même admet le problème à faire revenir au travail les bras cassés. « Ne travaillez jamais » écrivait les anarchistes en 1968, avant de rajouter «  Soyons cruel! ». Les salariés dont les entreprises se délestent régulièrement et qui subissent la précarité ce sont habitué à leur nouveau confort minimaliste sans d’autre besoin. La pression, le stress de la sélection ont eut raison du travail qui fini chaque jour d’abîmer les enfants de la classe moyenne. Le remède, c’est l’espoir d’une société désabusée et résignée. C’est un travail mort sur lequel les entreprises ont spéculé en le mettant en concurrence. On retourne toujours dans le même schéma critique envers les politiques précédentes. Malgrès sa publicité et son image docile et serviable, le travailleur n’est pas apaisé lorsqu’il s’approche du chômage et de la classe dangereuse des exclus. Sur les circuits financiers, le meilleur allié est le temps d’évaluer un nombre d’info tiré du fil et des sources d’inspirations pour les investisseurs prudents. Le média, c’est nous disait un chef de presse, et les fils d’info laissent un peu de recul avec le matérialisme historique. À force de rendement sur le salarié, la classe laborieuse est épuisé. Aux USA, les parents disent au revoir à leurs enfants morts d’over-dose et drogués. La drogue pour un ailleurs et supporter un quotidien impossible. Un appétit que plus personne ne peut plus rassasier. Le travail flexible est comme un produit low-cost usé et à jeter. Les EAU se sont accordés pour relever l'offre en pétrole et celui-ci reste à 75 Usd le barril à NY. On pourrait entrevoir assez d'essence pour les machines qui accompagneront la relance. De toute manière cette annonce faite de F. de Villeroy de Galleaud ouvre une porte à tous les investisseurs qui ne possèdent souvent que leur force de travail. Mais la tension sur le marché de l'emploi est ce qui peut freiner la reprise dans son élan.