mardi 17 décembre 2019
mercredi 13 novembre 2019
dimanche 4 août 2019
Taux négatifs : Un monde à rebours
la dernière baisse des taux aux USA remontait à 2008 et a soutenu la croissance américaine durant plus d’une décennie. On peut penser que c’est le signal pour une nouvelle période de crise économique et que la banque fédérale anticipe le ralentissement de la croissance US, laquelle détermine l’équilibre des échanges et la stabilité dans un monde qui devient de jour en jour plus incertain. La baisse des taux en Europe orchestré par M Draghi a soutenu le marché sur le vieux continent mais de nombreuses spéculations soutiennent des prix anormalement élevés dans l’immobilier. L’Allemagne paye pour combien de temps l’illusion d’une économie épuisée, en chauffe artificiellement dont les politiques n’ont pas appréhendé ni mesuré les risques à chaque instant plus élevés. Les régulations misent en place le long des cycles de Bâle III ont-elle assuré un avenir à crédit? À l’affût du signe et de l’indice, de grandes économies perdent confiance et jouent du « green back » misent sur l’or avec un repli net en faveur de la valeur et de la confiance des investisseurs dans des pays émergeant ainsi que l’Inde et la Russie. Dans cette confrontation pour la survie, le couple Chine/USA lutte sur une dynamique, taxe vs taux de change et engage l’opinion au sommet des frictions qui animent de grands mondes industriels.
mardi 18 juin 2019
jeudi 23 mai 2019
#26 mai_Les rats ont faim !
Quel journaliste ne rêve pas d’un sujet à couvrir comme la
chute d’une République ? Quel spectateur ne frissonne pas sur les
intrigues des élections ou des scandales qui font polémiques ? En France,
le RN en tête des sondages deviens un parti tout à fait convenu entre l’Etat de
plein Droit qui fait régner l’ordre avec fermeté oubliant que si la crise avait
eut lieu en Russie ou en Pologne, l’info aurait dégénéré en une propagande dans
l’asservissement généralisé autour du mythe de la démocratie et le rêve d’un
paradis perdu dans une guerre juste afin de protéger la paix . Résurgence des
partis ouvriers, bien que l’expérience de ses mouvements laissent un goût amère
et un traumatisme certain dans l’histoire des crises en Europe.
Mais l’Histoire fatigue, des générations de « disciples
secondaires » n’ayant pas vécut la crise et ses conséquences désastreuses
ne gardent aucune lucidité ni ne prennent de recul, avec expérience pour préjuger
de la façon d’agir. Déjà parsemé d’antisémitisme et de politiquement correct,
le peuple que l’on nous présente souverain oublie lui aussi… Français,…Encore
un effort… !
mercredi 8 mai 2019
Les femmes et les enfants d’abord
L’homme ayant épuisé le gibier, devenu sédentaire, éleveur,
ne chasse plus que l’autre de ses congénères, par instinct, sa prédation reste
à l’affût de ce qu’il peut s’approprier jusque dans les politiques de
colonisation alors que le mouvement général et organique se dynamise déterminé
à sauver sa peau contre celle de l’autre. Ayant cessé la chasse en temps de
paix, alors que les autres espèces disparaissent, l’homme se tourne
naturellement comme un anthropophage vers ses voisins directs dans la
concurrence acerbe que se livre les individus entre eux. Aucune loi ne gère
cet état de fait et contournant la morale, sans aucune compassion, les
stratégies sont globales non pas dans l’auto destruction mais dans la chasse et
l’opposition à l’humain en tant que tel. Nécessité historique, économique ou
financière, avant que les masses ne se déchaînent habillées de vieilles traditions
critiques, traduites par les tueries de masse en parallèle à la monté de la
pauvreté et de la délinquance ainsi que de la mortalité infantile, les
déportations…À travers les statistiques de la crise. La jeunesse étudiante s’oppose
et entre en résistance représentée par des femmes parfois voilées élues et
représentantes à l’UNEF pour l’exemple… Personne n’attend que cela commence.
Dans un état de guerre, toutes les forces vives se retrouvent entraînées vers
l’action, guidées par des sentiments de sauvegarde ; les plus vulnérables
sont dans le viseur, cibles des opportunistes à l’affût de victime ; poussés
au suicide, certains abandonnent la partie ; d’autre familles sont
détruites dans leur histoire ; ainsi on remarquera que la famille est la
dernière structure sociale à abattre pour parvenir à ouvrir le marché des corps
dans les lois sur la bioéthique… Vaste chantier !… Génocide… ?
jeudi 25 avril 2019
lundi 22 avril 2019
L'État, la République et Hegel
Un jeune hégélien ne peut que se réjouir aujourd’hui de
cette histoire qui échappe. Le spirituel est devenu l’illusoire et même la
pensée de ce chef de file est reprise au compte des défenseurs de l’Etat. La
société dans tout le sens dépérie, la conscience de l’individu se rétrécit et
l’Etat qui englobe la spiritualité de ses peuples domestiqués est remise peu à
peu en question. Non pas par les philosophes, les journalistes et politiques à
son service, mais par sa population qui se traduit par la désobéissance ou des
sympathies non-avouables, des silences et des insultes à tous les vents de la
violence inhérente.
L’état ne dépérit pas dans sa
forme, mais ne s’appuie plus que sur une idée qui se déconstruit à travers la
république remise en cause et un débat démocratique dans un seul sens. Forme
aboutie de la démocratie ou de l’État ? La République sans lutte, sans
contradiction, n’est plus la République. La RF n’a d’ailleurs pas plus de
valeur après l’assassinat en 1870 des ouvriers parisiens. La République bourgeoise,
sans morale, ne représente plus rien et n’est que l’expression de la
spéculation d’un seul. L’État, dans son dépérissement, donnera le ton de la
révolution et de la démocratisation. Un dépérissement nécessaire à la société
civile afin que celle-ci accède à la démocratie réelle et au citoyen,
homme-vrai, total contre cette abstraction de l’humain.
vendredi 12 avril 2019
Une révolution tech mondiale et globale
Les nouvelles tech naquirent, durant les 80’s, alors que
WS flambait de tant de golden boys et d’affaires traitées par la COB
(aujourd’hui SEC). Elles ont permis le déblocage et l’accession au travail de
centaines de millions d’individus et cela même à l’échelle de pays continent
dans des populations soumises à la misère. C’est un énorme progrès social et
économique. En facilitant les flux et les échanges, les nouvelles tech ont
huilé les mécanismes du commerce mondial et de l’activité. Émergentes en pleine
période de récession au milieu de scandales financiers, les nouvelles
technologies sont arrivé alors que l’informatique était en crise comme nombre
de secteur durant ce temps de récession. Madoff est alors directeur du Nasdaq.
Le feuilleton Vivendi et l’affaire Messier, des montages rocambolesques autour
des new tech jusqu’au krach de 90’s en plein dérèglement financier, les effets
de levier allaient nourrir cependant cette révolution mondiale et globale. Les
manières de diriger, ainsi qu’en Chine ou pendant les révolutions arabes alors
que les manifestants découvraient de nouvelles techniques pour communiquer
jusque dans les stratégies militaires et d’équipement en armement. Toutes les
force vives sont mobilisées et chaque individu, partie prenante au sein de
cette nouvelle et grande distribution. Ces nouveaux outils ne remplaceront pas
l’inné notre conscience individuelle ou le regard que l’on porte sur les
autres. L’amélioration de la surveillance donne le choix d’être face à ses responsabilités
et cela en public. Dans l’humanitaire, la cartographie des zones et la
numérisation des données indiquent les besoins et comment accéder rapidement en
cas d’urgence. Aujourd’hui, outre les aspects négatifs s’ils existent reste à
présupposer le futur de ce mouvement qui participe et participera du chao ainsi
que les lois physiques qui régissent les masses et leurs modes de
fonctionnement. Sans donner dans le scientisme, de nouveau calculateurs
toujours plus performants accélèrent la recherche dans les domaines de la
biologie et participe à l’amélioration des conditions de vie. Mais là nous
rentrons dans l’éthique… Résoudre le temps dans l’accélération du rythme, c’est
un facteur de stress et de conflit qui perturberont durablement mais de façon marginale
l’évolution vers un nouvel ordre. Domestiqué pour croire et exister dan un monde à crédit, croire au nouvelles technologies n'est par ailleurs pas le sujet mais il s'agit bien d'imaginer se ré-approprier sa vie sur terre par le rêve d'une illusion précaire.
jeudi 28 mars 2019
Tout est bon !
Tous dédiés, au capital, à son service, comme certaines
aides sociales qui à Paris nourrissent mécaniquement les prix du m2. À travers
le capital, lorsque nous nous occupons de robots ou bien que passif, nous
sommes le public et l’opinion. Alors que nous fournissons des contenus, qui,
archivés, font chauffer les espaces de stockage et la spéculation autour des
données. Dévoué au système, soumis, nous ne pouvons qu’observer et non
critiquer. Le but n’est pas de croire en l’humanité. Dans la difficulté, selon
les rapports, « on compte ses amis ». Pour sa
sauvegarde pour contredire la solidarité, il est de bon ton de s’occuper de soi
avant de perdre son temps, sinon plus !
Tous au service de l’argent, du travail, nous participons,
ensemble à un effort commun dont la vapeur ne s’inverse pas. La nature ne vaut pas plus cher que le prix qu’elle coûte !
Vertige à l’appui, le déséquilibre est puissant. En crise,
la réalité, au-delà de la culture et des technologies bascule là où tout
devient ingérable. Tous nous participons de l’ignominie dans les rapports
sociaux, économiques et productifs qui habillent notre représentation. Les
hauts-fourneaux dans la Ruhr font grise mine loin des premiers foyers de l’âge
de fer. Les géants de l’acier se trouvent aujourd’hui en Asie et en Inde, les
marchés aussi. En Europe, nous pouvons espérer en la jeunesse africaine et son
inventivité issues des premiers pas de l’humanité dans la région des grands
lacs ou autour du lac Tchad. Le continent africain sera notre salut si on
s’autorise à croire qu’une issue est certaine pour faire face au vieillissement
et à la crispation, symptôme d’une
Europe en mal être et en perte de sens. Ni rêve ni aucun repos pour se projeter dans le présent.
Des mises au point, dans cette optique, sont nécessaires. Brexit, résurgence
des Partis nationalistes, au regard du passé, l’Europe, décomposée reste
l’indicateur et la mesure de notre crise, de ce qu’elle peut engendrer dans
l’entreprise mondiale du capital.
mercredi 30 janvier 2019
Face à l'urgence climatique, les indices de notation...
De
nouveaux indicateurs, de prompts statistiques et une autre manière d’aborder
l’analyse le long de l’argumentation et au fil de la communication sont les
vœux pieux de certains idéologues pour s’adapter au changement. Des agences de
notation font et défont les marchés ainsi qu’un phare d’indices qu’illumine la
place de New-York à travers le monde. S’il ne s’agissait que de com’ nous
pourrions allier des modes de diffusions et de présentation d’un ratio
inflation/Risque s’opposant à production/Bonheur. Le moyen serait-il de
soustraire l’alimentation et l’énergie des chiffres et du prix de
l’inflation ? On pourrait se mentir à sois même (c'est un fait), le ressentiment outre la
fracture se divise ainsi que le monde entre la domination culturelle du chiffre,
de sa représentation et la réalité quotidienne. Des notes éthiques sont-elles
l’enjeu ou l’emballage d’une violence en cours dans l’urgence de la croissance,
l’économie des ressources et des lois ? Paradoxalement, le niveau du PIB
se nourrit aussi de l’activité que génèrent les catastrophes et les crises
inhérentes à la mondialisation et au changement climatique. Des notes, des
papiers tournoient, planent au-dessus des marchés, des entreprises et des
États. Des agences de notation font la pluie et le beau temps à l’instar des
étoiles du Michelin. Souvent décriées dans la difficulté, elles jouent la
partition de l’activité, influencent l’investissement et rythment l’économie.
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