De bord à bord

Au bord, lorsqu’une dette chasse l’autre. La vie est assez courte pour que cela ne dure pas et elle est assez longue pour avoir le temps d’oublier. Le Bitcoin, pour mémoire est complexifié par les déboires des plate-formes d’échanges de monnaies virtuelles. Du fait, peu de vente mais une valeur confortée par la situation mondiale et le besoin croissant de valeurs refuges. Cette semaine, le Bitcoin consolidait encore non-loins des 23 K d’USD et fleurte encore avec les 24. Une bonne et mauvaise nouvelle pour les fonds et entreprises qui reposent aujourd’hui sur le tissu virtuel des monnaies cryptées. Aux USA, les chiffres du chômage incitent la banque fédérale à tempérer la cadence d’une hausse des taux à venir en Février et Mars. L’activité accélère avec un baril à 87 USD et un EUR à 1,08 USD. De la marge sous le pied pour continuer sur la lancé et s’adapter à cette nouvelle économie que personne ne voit venir mais que tous nous observons. Sur le mouvement et l’interprétation de l’autre qui à investir et à développer des troubles et déséquilibres que l’échange fait naître sur l’évaluation d’une tendance à l’underground et la sous culture qu'il restent à exploiter en économisant le passé pour croître au présent avec les restes à revaloriser et à mettre de côté. Les pertes sont à rentrer plus tard dans un résultat. En conjoncture constante, le bord à observer. On ne peut s’habituer mais définir des stratégies et des priorités dans la gestion de notre bien-être au quotidien. La solution viendra comme un baisé qui referme le monde, apaisé. Lorsqu’on existe au bord, le reflet va aux limites. Pour la retraite, on se souviendra que début 2000, les fonds de pensions ont alimenté des fonds spéculatifs investis sur les marchés pour freiner les déficits. Un bouquet de fleurs et une revue sur le bords du caniveau, en trouble. Changement de bord... Toujours sans cap...!

Notre ennemi est aussi notre allié

Et même à contre sens, c’est la monnaie qui donne la tendance, Le change reste l’idée que l’on donne à la chose et au concept que l’on porte dans les recoins de notre histoire singulière, particulière ou collective et universelle. Les places européennes font du sur-place cette semaine et les marchés asiatiques profitent des mauvaises performances du Nasdaq à NY. L’or continue de progresser dans l’attente d’un meilleur moment pour se diversifier. Outre-Manche, les assureurs passent les stress tests sur leurs solvabilité et tirent l’économie sur la stabilité d’un indice, prudent mais toujours plus confiant. En France, avec la LPM de 413 Mdr d’EUR, SMTechnologie et d’autres entreprises comme Thales pourraient voir leur carnet de commande augmenter et progresser, en partie sur les changes en Sterling, mais supporter une inflation moyenne de 10% que les commandes risquent de creuser encore. Mais les français risquent de ne pas profiter des opportunités et les laisser aux autres membres. La retraite, c’est pour quelques privilégiés qui à force de collusion et de complaisance sont installés dans l’emploi, parfois comme une rente ou un bien dont on hérite, titularisé par la collectivité avec, comme faire valoir, les handicapés et les travailleurs précaires. Joe Biden peut se vanter de voir le chômage baisser, c’est aussi des changements de postes, une flexibilité qui se retrouve dans les statistiques. Des créations de postes qui encombrent les chiffres déjà mal interprétés par la volontés politique de nuire à une condition imposée dés l’enfance. Qui manipule l’opinion? Quel journaliste se prostitue loin de l’originel malmené par des Siècle de réformes? Le HSI progresse sur les promesses d’exploitation minières et la production de métal. Le marché indien, lui aussi, fort de son industrie autours de l’acier est un allié pour continuer à progresser. L’Allemagne, doté d’une industrie métallurgique moderne devrait être le fer de lance s’opposant à l’impérialisme Russe qui frappe injustement un pays libre en Europe.. Une mémoire glorieuse qui n’est plus en Russie. Il y a pire que la peste et la rougeole, la maladie c’est le journalisme et la presse. La compassion de celle-ci nous est insupportable, habillé de fausses confidences, elle nous agresse en continue

En léopard ou en jaguar

La semaine dernière, avec un 10Y US à 3,4%, les fréquences du Bitcoin étaient stressées ce WE, entre 21K et 23K. En politique, l’extrême droite régurgite des théories de gauche et certains ne comprennent rien. En peau de chagrin ou sous tissu léopard, il faut de nouveau investir nos talents jusqu’à épuisement pour être laissé au repo, dans la précarité. Une contre-culture à l’image d’un monde en guerre. À l’ordre nouveau de l’image du passé dans nos pays gangrénés, que reste t-il à gratter, à voler, à exproprier? Les ukrainiens aiment leur pays et sont attachés à la liberté. Nous travaillerons jusqu’à la mort pour leur mettre sur la gueule. Notre déduction des valeurs est notre autorité. Que Dieu protège l’Ukraine, Mr Biden ! O. Sholz peut retourner à la niche d’un socialisme en danger. Penses, Jo que la démocratie n’a pas droit de citer à la base du prolétariat européen. Faudra t-il franchir la Manche comme en 1793, pour les fadaises de quelques humanistes? Quand un socialiste réfléchit… C’est dangereux! Ne renoncez jamais, la victoire est de l’autre côté, en Léopard ou en Jaguar. Un autodidacte, ne sera jamais un spécialiste mais l’artiste suit son intuition. Le droit, c’est quand ça les arrange! Que faire des cols blancs? Les agents de change voient leurs bonus baisser sur la flexibilité. Pris dans les règlements quotidien, il faut garder la faculté de présupposer et réfléchir au lendemain.

D'un ghetto, l'autre

La fugue, pour seule issu, pour découvrir un autre voyage, dans les difficultés, pour dépasser nos simple impressions, se forger une raison adaptée à un monde en mutation. En cavale, on va au plus direct, à la liquidité, tout en sauvegardant les actifs. Une flasque de spiritueux sur le coeur, un alcool contre la peur. La Suisse, à Davos est aussi un ghetto pour son savoir faire avec les États, en grande partie sur les fonds souverains, en or ou en dollars, quand on s’enivre de liberté. la Russie, elle aussi accélère sa chute en s’enfonçant dans une guerre aux répercussions mondiales. Dans une économie de guerre restrictive et inscrite dans l’austérité, sans développement, sans autre industrie que l’armement. Comment va s’effondrer ce pays? Alors que la philosophie d’un pays se renverse sur l’États du monde, conduit à sa perte, dans l’agonie de son suicide. Cette aventure ne s’estime pas et sort, hors norme, de la forme. Un point de coïncidence avec l’Histoire dans des circonstances de plus en plus intenses. Tous ensemble, nous marchons aux limites et sur les bords d’un navire qui tangue. La Sterling en dollars s’échange 1,23 USD et 1,14 EUR… Ça passe ou ça casse…! Est ce la faute des Bohèmes? Au sein de la conjuration des fainéants et des imbéciles. Il ne suffit pas de vomir ses tripes pour un peu de confort. Qui va saboter son travail pour un crédit? La Fed monte son taux principal dés Février pour arriver en Mars à 5,3%, celui de la BCE pourrait alors, être de 4% dans un silence de mort. En période de guerre, c’est la violence de chaque État qui se joue, jusqu’aux représentations politiques dans nos démocraties contemporaines. La violence est un fait que l’on ne peut annihiler par la violence.Avec une inflation de 9,2% en ZE, on s'habitue, alors que les prix à la consommation baisse de 10% aux USA, en 2022.

Dérive directe…

Perdus, en dérive, nous nous dirigeons vers l’accident que l’on cherche, en vain, à maîtriser. Comme des joueurs malchanceux, aux mains des démons et des génies. Des banques fragiles sur des comptes agiles, ainsi des acrobates sur un fil qu’il reste à négocier. L’activité sur des taux bien élevés au comble du risque financier, pour des résultats serrés entre les matières premières et l’immobilier. Dans les ténèbres, un avenir de catastrophes à venir ajustées sur la mémoire d’une dépression que l’on peut écouter sur l’échelle du trafic. Reste le temps d’un officier soviétique dans le domaine de l’intime, passant les crudités, on risque d’y rester. Un arbre qui donne plus de fruits avant de sombrer, pour sauvegarder son espèce. Les idées sont à gauche, à l’endroit du portefeuille, sur le coeur. Les résultats des banques US ne déçoivent pas, elles rassurent, avant les orientations définies à Davos où tout effort pour l’énergie verte sera motivé par le plan américain de 500 Mds de dollars en faveur des industries dé-carbonées. Binance et sa réactivité sur le marché des déchets de FTX, seule banque de cryptos-actifs à passer les mailles du filet alors que d’autres acteurs doivent s’exprimer ou sont en procès, entendu par la SEC. Le Bitcoin à tenu bon sur les 21 000 USD. Le présent politique, ce n’est pas la gauche urbaine mais le bourgeois désabusé et désinvolte.

Cherchant refuge

L’or touche les 1900 USD ce Vendredi et le Bitcoin sur la base des 20 500 USD. À la Fed, Bullard est furieux de voir les taux 10Y s’éloigner des 4% et souhaite les ramener à 5%. L’EUR s’échange 1,82, dans une fourchette évaluant les 2 USD. Des affaires restent à faire. L’inflation aux USA est stabilisée mais les banques encaissent le retour d’une zone de récession, ne sortant déjà pas de la stagflation. Les banques centrales restent muettes et le FMI s’inquiète. Bonne nouvelle en France, le taux du Livret passe sur les 3%, C’est le moment de l’utiliser!… Les Banques, pendant ce temps, amortissent l’année 2021 et tirent des rendements dans le trading de 2022. Présupposer, juger est une malédiction ainsi qu’un sens, un talent érodé dans la fabrication de l’opinion. Le Vendredi 13 nous restons ouvert aux superstitions et à l’ésotérisme sous la trame du ciel et du tissu entreprenarial. Sans pensé, pas de République sur les bases observées par GWF Hegel. Tout citoyen ou pas, d’honneur ou non. L’opinion donne parfois des dirigeants et fait parfois l’Histoire mais ne fait pas la raison. Après avoir ramassé les papiers, on récupère des documents oubliés dans le garage des idées. L’aristocratie ouvrière reste à faire tout en soignant la noblesse de l’enfance. Vers son prochain refuge, c’est le moment de choisir sa voiture chez les Biden

La part de l’ours

Les loups construisent des stratégies communes et résolvent des problèmes à plusieurs. Le chien attendra que le plus dominant mange le premier. Dans le même le temps, un riche et un pauvre dans notre société ne peuvent se comprendre. Le temps d’une baisse du barril pour estimer la lenteur ou la vitesse de la récession ainsi que sa profondeur dans un ralentissement déjà entamé. Le meilleur, c’est la trésorerie en dollars, le temps des soldes, alors que beaucoup de particuliers se tournent vers l’or par manque d’opportunité. En dollars pour, demain rebondir et investir l’avenir dans un présent bien tentant entre les tech qui font des prix et l’énergie. Un programme bancal sur la balance. En France, l’énergie, c’est le temps de travail sur la dépouille du prolétariat. L’énergie verte c’est l’argent qu’il reste sur des allusions enlacées dans l’illusion d’un rêve en mutation permanente. Pas besoins d’inverser les concepts ancrées dans les mémoires de l’humanité. L’ours n’hiberne pas cet Hiver, il déserte son culte et ne fait pas la fête. Dans une mythologie dédiée, dans l’imaginaire, au présent, sur un combat singulier, aliéné. De quoi va t-on hériter? Un accouchement se produit toujours dans le Chao, et pourtant la vie, en son centre est si belle, si fragile et si précieuse. Une baisse des saisies de cocaïne aux Pay-Bas, préfigure t-elle de la chute de l’activité en Europe? Où l’on cultive l’inégalité comme le ciment de nos fragiles démocraties. Les épiphénomènes restent à trancher dans l’inutile, l’économies des restes et des pertes qu’engendre un trop d’info sur les taux. À dix ans, le taux US 1 se détend et J. Powell reste muet. L’inflation, n’est pas le bon indice. Si elle est élevé, elle dynamise l’activité. Aux USA, elle est modérée par l’ajustement des salaires et de l’emploi. On vendra la part de l’ours pour faire face aux bouleversements présent.

Vas au laid...

La première ou la dernière dette en l’air, où est l’hôtesse de la princesse? Trouvez un peu de paix et de joie pour cette année 2023. La nuit, on ne voit pas la tempête, la bête est trop faible mais garde un esprit fort. Le banquier est content, le bailleur est d’accord. La Dasq signe un recul de -35% en 2022, où vont les vieille économies? Sur Euronext, le M&A reste dynamique. Ici c’est le bazar, tout le monde se bagarre. À mesure que le marché se rétrécit, les acteurs, exacerbés, promettent des values plus élevées. Avec un dollars à la baisse, les rendements risque d’être moins important. Sans scrupule et sans recul, qui pourrait comprendre la guerre…? Comptez vous sur les technologies pour équilibrer vos insuffisances. Qui a du change…? Empirique ou optimiste, il y a des chiffres mais pas d’info. Jusqu’où reporter? La peur de l’avenir tend à s’amplifier avec le temps, la crainte est souvent mauvaise conseillère, pas de panique ! L’anti-conformisme devient la norme. Qui veut se distinguer dans le collectif? Sur quelle charogne exister, dans quelle poubelle retourner? Le changement est à explorer… De tout bord les parlementaires réclament plus d’autorité et de répression. Ni docile ni soumis au dictat politique, ce qui sauve les travailleurs, c’est le handicap en spectacle qui nous laisse un cap. Sur le parquet, trouves une chose qui leur coûte, pour faire des économies, dernier trie avant le crash.