dimanche 29 janvier 2023

De bord à bord

Au bord, lorsqu’une dette chasse l’autre. La vie est assez courte pour que cela ne dure pas et elle est assez longue pour avoir le temps d’oublier. Le Bitcoin, pour mémoire est complexifié par les déboires des plate-formes d’échanges de monnaies virtuelles. Du fait, peu de vente mais une valeur confortée par la situation mondiale et le besoin croissant de valeurs refuges. Cette semaine, le Bitcoin consolidait encore non-loins des 23 K d’USD et fleurte encore avec les 24. Une bonne et mauvaise nouvelle pour les fonds et entreprises qui reposent aujourd’hui sur le tissu virtuel des monnaies cryptées. Aux USA, les chiffres du chômage incitent la banque fédérale à tempérer la cadence d’une hausse des taux à venir en Février et Mars. L’activité accélère avec un baril à 87 USD et un EUR à 1,08 USD. De la marge sous le pied pour continuer sur la lancé et s’adapter à cette nouvelle économie que personne ne voit venir mais que tous nous observons. Sur le mouvement et l’interprétation de l’autre qui à investir et à développer des troubles et déséquilibres que l’échange fait naître sur l’évaluation d’une tendance à l’underground et la sous culture qu'il restent à exploiter en économisant le passé pour croître au présent avec les restes à revaloriser et à mettre de côté. Les pertes sont à rentrer plus tard dans un résultat. En conjoncture constante, le bord à observer. On ne peut s’habituer mais définir des stratégies et des priorités dans la gestion de notre bien-être au quotidien. La solution viendra comme un baisé qui referme le monde, apaisé. Lorsqu’on existe au bord, le reflet va aux limites. Pour la retraite, on se souviendra que début 2000, les fonds de pensions ont alimenté des fonds spéculatifs investis sur les marchés pour freiner les déficits. Un bouquet de fleurs et une revue sur le bords du caniveau, en trouble. Changement de bord... Toujours sans cap...!

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