vendredi 13 janvier 2023

La part de l’ours

Les loups construisent des stratégies communes et résolvent des problèmes à plusieurs. Le chien attendra que le plus dominant mange le premier. Dans le même le temps, un riche et un pauvre dans notre société ne peuvent se comprendre. Le temps d’une baisse du barril pour estimer la lenteur ou la vitesse de la récession ainsi que sa profondeur dans un ralentissement déjà entamé. Le meilleur, c’est la trésorerie en dollars, le temps des soldes, alors que beaucoup de particuliers se tournent vers l’or par manque d’opportunité. En dollars pour, demain rebondir et investir l’avenir dans un présent bien tentant entre les tech qui font des prix et l’énergie. Un programme bancal sur la balance. En France, l’énergie, c’est le temps de travail sur la dépouille du prolétariat. L’énergie verte c’est l’argent qu’il reste sur des allusions enlacées dans l’illusion d’un rêve en mutation permanente. Pas besoins d’inverser les concepts ancrées dans les mémoires de l’humanité. L’ours n’hiberne pas cet Hiver, il déserte son culte et ne fait pas la fête. Dans une mythologie dédiée, dans l’imaginaire, au présent, sur un combat singulier, aliéné. De quoi va t-on hériter? Un accouchement se produit toujours dans le Chao, et pourtant la vie, en son centre est si belle, si fragile et si précieuse. Une baisse des saisies de cocaïne aux Pay-Bas, préfigure t-elle de la chute de l’activité en Europe? Où l’on cultive l’inégalité comme le ciment de nos fragiles démocraties. Les épiphénomènes restent à trancher dans l’inutile, l’économies des restes et des pertes qu’engendre un trop d’info sur les taux. À dix ans, le taux US 1 se détend et J. Powell reste muet. L’inflation, n’est pas le bon indice. Si elle est élevé, elle dynamise l’activité. Aux USA, elle est modérée par l’ajustement des salaires et de l’emploi. On vendra la part de l’ours pour faire face aux bouleversements présent.

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