mardi 18 février 2020

Coupez…!



W. Benjamin termine sa Reflexion sur l’image reproductible en laissant le champs libre à l’image du cinéma et la décomposition des gestes et des expressions sur la mutation du spectateur plusieurs générations après l’invention du cinéma et l’expérience de la chambre noire. Facteur d’émancipation, l’homme ainsi plus instruit reste plus à même à comprendre la « créature » pour l’aborder et partager avec l’autre, l’activité comme l’enveloppe charnelle qui se révèle, une plus large compréhension des corps et une intuition plus juste au sein du rapport et de l’échange.
Plus apte a traduire l’intime sur le fil du mouvement interprété d’après la norme culturelle de l’intellectuel. Loins des récompenses, des modes et de la consommation, pour retourner à l’essentiel de l’invention et de son progrès dans un siècle où l’image éclaire, au quotidien tout l’espace ainsi lumière. L’heure par ailleurs n’est pas à la réfraction. Lorsque le rythme s’accélère, le cinéma est derrière et les flux d’infos relayent la réalité intrinsèque qui nous traverse. Le jeu vidéo par extension fait appel au réflexe et demande à l’acteur de résoudre d’un click, dans la forêt des possibilités - Cela résout et simplifie une certaine économie du Droit chez Hegel ou Debord dans la représentation sociale et la conscience populaire. En cadence, les générations jaillissent et déborde déjà, non plus l’image animé à l’angle précis de l’Histoire mais le vécût sur les vagues successives des interprétations de l’image/seconde. L’émancipation donnera un temps une race nouvelle pour un nouveau monde.

L’image tel un signe calligraphique s’inscrit en rêve aussi, en musique jusqu’à son paroxisme.