mercredi 8 mai 2019

Les femmes et les enfants d’abord


L’homme ayant épuisé le gibier, devenu sédentaire, éleveur, ne chasse plus que l’autre de ses congénères, par instinct, sa prédation reste à l’affût de ce qu’il peut s’approprier jusque dans les politiques de colonisation alors que le mouvement général et organique se dynamise déterminé à sauver sa peau contre celle de l’autre. Ayant cessé la chasse en temps de paix, alors que les autres espèces disparaissent, l’homme se tourne naturellement comme un anthropophage vers ses voisins directs dans la concurrence acerbe que se livre les individus entre eux. Aucune loi ne gère cet état de fait et contournant la morale, sans aucune compassion, les stratégies sont globales non pas dans l’auto destruction mais dans la chasse et l’opposition à l’humain en tant que tel. Nécessité historique, économique ou financière, avant que les masses ne se déchaînent habillées de vieilles traditions critiques, traduites par les tueries de masse en parallèle à la monté de la pauvreté et de la délinquance ainsi que de la mortalité infantile, les déportations…À travers les statistiques de la crise. La jeunesse étudiante s’oppose et entre en résistance représentée par des femmes parfois voilées élues et représentantes à l’UNEF pour l’exemple… Personne n’attend que cela commence. Dans un état de guerre, toutes les forces vives se retrouvent entraînées vers l’action, guidées par des sentiments de sauvegarde ; les plus vulnérables sont dans le viseur, cibles des opportunistes à l’affût de victime ; poussés au suicide, certains abandonnent la partie ; d’autre familles sont détruites dans leur histoire ; ainsi on remarquera que la famille est la dernière structure sociale à abattre pour parvenir à ouvrir le marché des corps dans les lois sur la bioéthique… Vaste chantier !… Génocide… ?
Dans ce contexte, les tirs amis  sont nombreux et les renoncements pas moins. Dans un pays qui investit dans la prévention dès le plus jeune âge, constatons que la violence augmente au rythme des difficultés qui enveloppe les souches sociales les plus défavorisées. Au centre de cette misère sociale, intellectuelle et affective que nous ressentons tous, face à l’injustice. Face à nos enfants lorsque nous les mettons en garde résistant tant bien que mal aux mensonges et à la publicité ; Tous nous tirons notre force et notre énergie de cette lutte en résistance, à la croisée des prédations familiales, professionnelles, sexuelles ou économiques. La crainte et la peur ne sont, par cette réalité, pas nécessaire sinon pour la forme d’une attention particulière et une vigilance extrême

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