L’homme ayant épuisé le gibier, devenu sédentaire, éleveur,
ne chasse plus que l’autre de ses congénères, par instinct, sa prédation reste
à l’affût de ce qu’il peut s’approprier jusque dans les politiques de
colonisation alors que le mouvement général et organique se dynamise déterminé
à sauver sa peau contre celle de l’autre. Ayant cessé la chasse en temps de
paix, alors que les autres espèces disparaissent, l’homme se tourne
naturellement comme un anthropophage vers ses voisins directs dans la
concurrence acerbe que se livre les individus entre eux. Aucune loi ne gère
cet état de fait et contournant la morale, sans aucune compassion, les
stratégies sont globales non pas dans l’auto destruction mais dans la chasse et
l’opposition à l’humain en tant que tel. Nécessité historique, économique ou
financière, avant que les masses ne se déchaînent habillées de vieilles traditions
critiques, traduites par les tueries de masse en parallèle à la monté de la
pauvreté et de la délinquance ainsi que de la mortalité infantile, les
déportations…À travers les statistiques de la crise. La jeunesse étudiante s’oppose
et entre en résistance représentée par des femmes parfois voilées élues et
représentantes à l’UNEF pour l’exemple… Personne n’attend que cela commence.
Dans un état de guerre, toutes les forces vives se retrouvent entraînées vers
l’action, guidées par des sentiments de sauvegarde ; les plus vulnérables
sont dans le viseur, cibles des opportunistes à l’affût de victime ; poussés
au suicide, certains abandonnent la partie ; d’autre familles sont
détruites dans leur histoire ; ainsi on remarquera que la famille est la
dernière structure sociale à abattre pour parvenir à ouvrir le marché des corps
dans les lois sur la bioéthique… Vaste chantier !… Génocide… ?
mercredi 8 mai 2019
Les femmes et les enfants d’abord
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