jeudi 16 mars 2023

En ordres de bataille

C’est un peu spartiate ici et nous courons après notre retard. Le Crédit Suisse se lâche, pas d’activité pour le commerce. Il s’était dédouaner de ses obligations au profit de grands comptes et de riches propriétaires de patrimoine important. La vapeur s’inverse et l’économie réelle refait surface après plusieurs décennies d’abus en termes de gestion. Il arrive d’être trop bon ou trop vieux. Mercredi, CS bat des records de loose. Choqué le CAC40 perd plus de 3% et les bourse européenne décrochent. Mais dans le même temps, DB subit des turbulences depuis des années mais ne cesse d’innover et de réinventer. L’action CS perd plus de 20% et BNPP lâche 11% à 12h. Le secteur des bancaires est à la croisée, contracté comme l’activité avec un baril de Brent à 76USD. Des assurances quand on en a pas besoin et personne à la réception. C’est la valse des notations. Ce sont les assurances et les fonds de garanties qui pourraient prendre le relais. Cela fait mauvais genre de demander de l’argent. Les analyste pensent à une pause dans la remontée des taux.. À choisir entre la liberté et le travail. Avec un fond de stabilité en Europe qui reste à estimer autours de 500 Mdr, C. Lagarde pourrai nous évaluer les montant sur les leviers et les rendements effectifs de tel fond face à la crise malgré les principes de Bale III qui n’ont pas révélé les fragilités du secteur bancaire en Europe entre différents stress test qui donnent parfois l’actualité. Les fondamentaux sont toujours remis en question, sans surprise… En prêtant 50 Mdr d’EUR au CS, la banque fédéral suisse rassure les marchés européen alors que la BCE choisit de remonter son taux directeur de 50pbs. Jeudi les tensions s’estompent et les marchés reprennent un peu d’air. Avec un EUR à 1,06 USD, il n’est pas le moment de s’assoir sur une chaise vide.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire