mercredi 29 mars 2023

Pour combien de temps?

Personne ne peut l’expliquer, mais les marchés sont essentiel. Ils sont la priorité d’une vision pertinente de l’actualité. Ce ne sera jamais inespéré, mis on ne peut que croire et souhaiter réguler les cris dans les salles de marché selon les exemples des enfants coupables de leurs mauvaises réputations. C’est sexy un marché, mais ce n’est pas toujours d’accord, même jamais à la mesure du maintien de l’ordre financier, sur des principes économiques de flux de taux, de swap de taux et de dérivés verdoyant couvert ESG, lorsque sans liquidité nous ne serons plus crédible pour avancer dans un temps pour rembourser des obligations qui augmenteront avec les taux et l’inflation. Remède à la stagflation, des hausses de taux, une croissance estimé à 3,7% en 2023 et une inflation qui équilibre la balance et qui guide vers quoi, vers la crise… Avons-nous besoin de vivre mieux, pour, dans la négation, dépasser les bornes. Le capital est un monde, une illusion qui appartient aux audacieux, pour le meilleur et le pire. Nous croyons à un possible et célébrons, chaque jour l’ordre offert dans le temps et la sagesse. Un cycle, une boucle qui tend à se refermer. Si le monde a besoin de vertu, c’est parce-ce qu’il n’y en a nul part. Demander l’impossible…! Mais à quel prix? Le taux US 10 y à 3,4% est un phare avec l’OAT qui traîne à 2,8%. En France, les grandes banques sont soupçonné de verser des dividendes à des entreprises pour s’assurer leur fidélité, l'optimisation fiscale est toujours aux limites. Le secteur bancaire est dans le viseur des politiques qui cherchent dans ses fondements, des réponses aux grandes questions. Entre rêve et réalité, nous choisissons la dialectique de la raison, influencé par l’école de Francfort. Il faudrait être pata-physicien pour résoudre chaque geste du quotidien. Vivront-ils leurs passions dans la destruction…?

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