mardi 16 février 2021

Un monde en rupture

Que ce soit dans nos vies, de la naissance à la mort, la rupture est la clef du changement. Transition et mutation, souvent sur la crête, ainsi que les marchés, en rupture avec le connu, avec le commun. La crise a révélé les dysfonctionnements et la relance passera peut-être par une correction sévère. Des notes sur les ressources énergétique qui subissent la pression des politiques et des cours du pétrole qui restent plus important, en ses temps, que les courbes du chômage. La fin de D. Trump aura laissé un baril en questionnement et c’est un progressiste à la tête des USA qui fera renaître le rebond d’un baril qui frôle son meilleur cours depuis plus d’un an. Le changement des modes de consommations touche toute l’industrie financière et des travailleurs à l’arrêt. Des consommateurs désargentés et des entreprises à la recherche des moyens pour payer les factures et qui participent de la croissance et de la transition énergétique par de petit boulots ou l’entretien de marchés parallèles et de petites économies. Le changement c’est évident et il importe de le mettre en relief avec la rupture ainsi que nous la vivons tous, dans nos familles ou notre couple. Du chagrin de l’adolescent éconduit aux traumatisme douloureux dans des familles en crise. Tous se disent de la rupture et du changement qu’ainsi tous ressentent comme une notion universelle. D’autres se voudraient chancres de l’urgence. Peut-être est ce une rupture d’avec l’humain tel qu’il était ou sera. Les sociétés qui s’en sortent le mieux s’adaptent en évoluant nécessairement et anticipent dans une période d’anticipation. Une adaptation qui a toujours accompagné l’humanité dans sa durée. A l’instant ce cette crise sanitaire où l’on peut observer l’inefficacité universitaire dans les démocraties avancées. Bien des choses leur manque ainsi qu’une inconnue, lorsque l’on échoue ou une case en moins. Perchés, les progressistes sont aussi dangereux pour les libertés que les réactionnaires et les extrémistes. Le présent n’est plus un rêve ! C’est aussi l’échec de la science. Le rêve est fini et la révolution surréaliste n’est plus d’actualité. Nous entrons dans une période des plus matérialiste avec des cours volatiles exceptionnellement haut, imprévisibles sur un pétrole qui repart comme tiré par le crédit donné au progrès, à la recherche et aux technologies. Un spectacle aux dimensions de la civilisation industrielle à la conquête de l’espace.

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