samedi 15 juillet 2023

Une image comme programme

Les héros d’aujourd’hui sont les même qu’hier, le soldat inconnu le comprend trop bien à l’entente des balles et des bombes qui s’éclatent dans les détonations du 14 Juillet. On empêche pas encore la pluie de tomber, les Républiques se succèdent quand les Empires se rencontrent sur des monnaies de singes, pour des peuples dans une concurrence exacerbée, puissance 20. Sur des comptes desquels, il faudrait extraire la racine toxique, alors que les familles se déchirent, l’Europe tempère, contournant les ténèbres exposés en Ukraine. Qui de la Fed ou de la BCE bousculera les taux cet été. On se heurte toujours aux limite mais les appréhendant, nous les contournerons plus facilement. La peste c’est l’info alors qu’il ne faudrait rien dire. En France aussi il n’est pas facile d’être pour la paix, l’égalité et la fraternité. Les héros disparaissent de nos livres d’Histoire, nostalgie passagère d’un monde perdu à jamais. À l’image de Rodolphe ou du jeune Werther, lorsque le portrait, le caractère et le texte soutiennent le discourt sur des infographies animées ou statiques, lorsque tout est lent et que ça va rapidement. L’inverse est perverse. Parfois le temps d’apprendre à tuer. La répartition des droits et des choix étranges que le ciel de la République nous ouvre sur un budget voté dans une cour carré. Rien n’est carré dit pourtant l’abbé. Réduire la dette, c’est le lot de chacun, une promesse, un voeux pour négocier le possible. Manque de perspective, absence de probabilité guident l’espoir des voyageurs vers un ailleurs, dans le peu de lumière noire offerte comme le présent d’un bal, absent mais constant dans la requête d’une doléance. Un voeux, une promesse au fond de sois, le poids d’une lanterne.

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