tkt, c’est une diatribe de droite

Il est encore temps de rompre, à la hache, la branche du figuier qui sépare les toilettes de la cuisine. La France est sur le point d’imploser au nom du socialisme qui se vante de lutter contre le fascisme. À force d’être traité de fasciste parce que blanc et hétéro, nous le sommes aujourd’hui contre la démocratie et l’ordre de la république française et de la gauche démocrate. Les pro-chinois de 1968 on vendu notre liberté et notre travail au rythme du Yuan. L’Europe pourrait remettre de l’ordre mais reste muette dans les rangs socialistes d’une idéologie froide. Combien faudra t-il d’over dose avant le lycée pour partager les peur et la détresse des famille immigrées venus en confiance au pays des droits de l’homme? Si nous sommes encore en vie, nous le devons à la Sainte inquisition qui nous a laissé un peu d’humanité. Les hérétiques montent les uns contre les autres et place le racisme et l’exclusion en haut de la pile, pour mieux cliver et s’approprier l’outil. Le JDD peut bien devenir une feuille NS, qui sans manger a les moyen de s’offrir du papier? La place du Monde est dans une poubelle et Libération est un gouge. La nouvelle rédaction suit son destin avec ses lecteurs dont les inspirations s’organisent autours de la gauche et ce qu’elle a laissé. La presse parle d’elle-même à des lecteurs en société, en intérêts. La pensée est un squat, un balle trap. Nous ne sommes pourtant pas au service des petits propriétaire d’une gauche gauchisante de gauche. Dans la presse, ça pue la merde au milieu de nuées d’éphèbes modernes. La justice ne peut tous les protéger. Choisit-on son camps ou son orientation, sa confession? Nous reviendrons applaudir les antagonismes à venir. Cette branche du figuier ne donnera plus de fruit. Nous n’étions pourtant pas les enfant de soldat allemand mais les rejetons de combattants en Algérie. Les français nous l’ont fait payer. Si vous n’êtes pas d’accord, c’est avec ça que nous vivons et n’attendons rien de la gauche. Avec quelques ancien s francs nous irons rejoindre l’OAS puisque nous n’avons pas eut les restes que ce sont partagé les bonnes.