vendredi 14 juillet 2023

La hauteur du mur

Avec des hausses de taux à venir, les coûts du crédit augmentent et tendent la dette vers le défaut. L’accident est là, dans un langage dirigé contre la littérature approximative qui nous donne de l’air dans un atmosphère disponible à l’expression des antagonisme sociaux et historiques. Alors que le temps long se réduit sur le court, la politique monétaire se resserre. Comme dans la presse, on vend du papier jusqu’en 2024 pour un choix évident ou ambivalent qui exprimera la brutalité du mouvement engagé dans la lutte pour le droit et la démocratie. Pour un peu de douceur, du bonheur que l’on a pas pour partager les difficultés, seul habillé de papier. Nous n’attendons plus la magicienne pour manger le pigeon, elle n’est pas très heureuse de la tournure, d’un compromis qu’elle doit payer d’une façon ou d’une autre. À droite comme à gauche, ils donnent l’aumône que recevra une génération persécutée et insultée, à la tribune d’un théâtre de guignols, commenté par la crème de l’intelligence autoproclamé au JDD ou à la SNJ. Laissons les intellectuels remuer la « merdre » qui amuse les journalistes avec leur instruction et des études payées à crédit. Le phénomène de la crise les accompagne jusqu’à la mort… Ne jouez pas avec la chienne, laissons les enfants, dans le jardin jouer avec le lion. La révolution, c’est de l’autre côté, le mur qui nous sépare est à mesurer, avec ses connaissances et de l’expérience. Il faut apprendre avant de réfléchir et d’aimer le tricot pour travailler à Mode & Travaux. Tous sonnés par les taux d’intérêt, quand ils seront trop pauvre pour vieillir. Les écologistes mesureront les désastres des rejets de la guerre dans l’atmosphère.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire