lundi 24 juillet 2023

Au croisement

Il faut gouter au prix de la chair, avec gourmandise, nous avions de l’appétit pour chercher après moult expérience, ce qui te tape dans l’oeil et brule le monde du temps qui passe sur un flux de données en denrée, pour devenir addict sans satiété ainsi que le sang qui circule jusque’à la chaleur du champs magnétique ou d’une pensée alternative ou parallèle guidée par le rendement et la compréhension du phénomène, le problème de quelque-chose qui fait l’Histoire, une forme d’espoir envers l’artifice des mots et des images écrites. La forme conceptuelle est cosmogonique mais au delà du récit, sans information. Aucun intérêt immédiat révélé par l’écriture alors qu’à l’inverse, la lecture nous plonge dans l’étymologie de chaque mot, un syllogisme heureux dans l’effraction de la culture ou de l’info permanente comme l’injonction d’être choqué par un anticonformisme de meutes exilés et agressive envers des coutume et des tradition qui sont le lien de la paix que l’on partage. L’enjeux passe par la femme, la flamme qui dort en sois, ne la réveillez pas! Ils aiment bien leurs mais attendent encore des autres, ceux qui accompagnent, sur le trajet d’une ligne, une géométrie intime. Quand les courbes sont chaudes, le point n’est pas une fin, la ligne droite c’est pour le trait noir ou une idée sombre. Ça ne peut être carré mais émoussé, l’angle est à revoir. En retard, ils peuvent déréguler le temps de percevoir les comptes dans le noir. Si nous faisons la guerre, c’est pour mieux comprendre ce lien universel des peuples et des hommes. Nous choisirons entre les apparences et une réalité qui nous échappe. Les Pay-Bas peuvent bien juger les absents et se situer au dessus des fragilités. Nos père ont transmis la guerre en se jouant de la mort, sans amour ni parole mais le reproche de ne pas souffrir comme eux de la misère morale et intellectuelle. Le travail, ne vous à rien laissé mais nous avons la peine pour vous aider.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire