Vous ne serez pas seul

L’individu, l’homme, la créature, le sujet philosophique que nous vivons, en mouvement reste actif en devenir spéculatif, puis sur le partir, il s’ennuie. À moins d’avoir une mélancolie apaisée et construite, ils tombent dans la dépression et les troubles du comportement. Attaché à l’expression de l’humanité et du spectacle, on se laisse entraîner à l’achat et la consommation pour occuper un temps mort à combler ainsi qu’un estomac, jamais satisfait. Ils attendent que quelqu’un trouve une solution qu’ils ne recherchent pas dans leurs quotidiens ou parmi les leurs. Un peuple de rêveurs en errance sur l’anatomie d’une histoire qu’ils attrapent, comme un train, en retard, pour finir sur le quai. Chez l’ôte, l’autre, il y a un monde qui s’oppose dans une fosse. Reconnu sur l’inverse, Groupama sur le bois, un indice pour du papier et les rejets de l’industrie, les pertes à recycler et à valoriser dans la recherche de concession en Suède, entre lac et forêt. Un projet spéculatif pour assurer ce qui flambe avec un Dollars un peu plus bas, en Euro. Partir sans un Dollars en poche et rester comme une roche. Être sénile, c’est aussi ce complaire dans un confort intellectuel alors que l’on rêve d’une nouvelle jeunesse, comme un air nouveau, plus juste peut-être, violent surement. Avec le populisme beaucoups cherchent l’aventure ou pire le retours des forces rétrogrades et belliqueuses. Avec la finance, ils seront au coeur de l’ontologie et leurs idéologies basculeront dans le n’importe quoi. L’assureur emprunteur, dans l’escarcelle de la BNPP reflux en Europe, non pas un repli mais au profit, sur le profil d’une grande banque et des fondations d’un monde en mouvement, selon le vent. La monnaie, seul roc pour s’accrocher, en équilibre seul ou à plusieurs, du haut jusqu’en bas de la pyramide animée par les artistes du spectacle. La parole, la politique sont comme une canne, comme une arme pour défendre son mot, sa voix. Ce n’est jamais l’opposition qui permet de s’exprimer. Nous laisserons place à la démocratie dans le silence de l’oublie et de la mort, désolé!