Hausse des taux en juillet

Nous nous opposons aux lois mais ne nous interdisons rien, pour chercher et rechercher l’indice ou le début d’une réponse, une solutions qui aidera l’autre. Peut-être notre mort sur le tapis, qui nous accompagne comme une douleur domestiquée. Ils cherchent des grâces à attraper mais cela s’enraye sur toute chose, toute pensé. Des indemnités, des dédommagements détournés par le bailleur, le temps du changement, on ne va pas s’occuper des mourants et des enfants fatigué par le poids des peines de leurs parents. La meilleure, c’est accélérer la hausse des taux sur les deux rives de l’Atlantique. Remonter le taux 10 ans US à 5 et l’OAT à 4%, consolider le plafond sur une mesure de 13 au delà des 12 temps pour atteindre dans 10 ans les 8%. Et encore, tout reste à découvrir entre le meilleur et le pire. Lorsque le froid envahit toutes les idées, bercées dans une mosaïque de pensées que les oiseaux animent sur une vieille branche… Des papiers et des courants d’air entre les portes qui grincent. Après le jour du dépassement, nous mangeons à crédit, notre pain de ce jour. Fallait travailler pour la haute finance jusqu’en bas. On ne donne jamais que la moitié puisque l’autre appartient à l’État. C’est dans l’improvisation et le free jazz, un peu saoulant que l’on trouve la radicalité d’une lutte pour la liberté. Quant à l’immobilier, on ne sait jamais, déprimé et anxieux dans un monde inventé, paranoïaque et sans personnalité, elle panique. Ce qui fera l’indifférence, c’est la justice ainsi qu’on la conçoit, dans la domestication et les remises en cause. Une princesse et un carrosse avec des mains déliées… L’enfant des loges est devenu vieux, c’est exotique ainsi qu’un chant animiste, le mouvement parallèle et alternatif noir aux USA. C’est un coucou suisse aux poids des pommes de pain