vendredi 21 juillet 2023

Après la nuit

Dans nos yeux, elle est dédoublé derrière des lunettes noire qui traversent notre regard. Est-ce une doublure, quelqu’un d’autre? Autre chose, ignoble et cruel, la crise reste sereine, face à face avec quelques pensées, peut-être un esprit, loin de la cohésion politique de l’échange et du partage. Non pas la cécité de la justice mais pour voir, savoir reconnaître le possible, la seule chose utile dans un espace qui s’enferme et s’éloigne de nos réponses suicidaires. Nous ne la suivrons pas, néanmoins, elle s’accroche à la vie qu’elle agresse pour exister à nos dépends. Le chinois dans le rétro-viseur, dont l’index et confiant, observé par l’acrobate à côté, pas loin mais à l’extrême opposé. Une dette qui pèse sur l’autre dans un pardessus derrière des loupes, sous les toits, habillé d’une personnalité qui n’est pas la sienne. C’est toujours quelqu’un d’autre, autre chose qui casse la glace, brisé, le miroir caché pour moitié, moitié moins de réalité, pour faire disparaitre une illusion au bord de la raison. Dans le salon rose on allonge des magazines, des fanzines, un accident éphémère dans un logement, un monde ou autre chose, un récit, une histoire, une vie. Après le délire de la consommation et de la publicité, le temps sobrement se place et nous enlace. Le cynisme qui était d’ambiance se transforme en esthétisme et au retours du beau. Puissions nous le reconnaître et ne pas l’abîmer sur les genoux. Nous sommes resté dans un monde sans amour, un monde parallèle à une table de café. Le monde laisse place peu à peu à la guerre, avec sa cohorte de haine et de violence, de vengeance. Hier à NY, il n’y avait pas d’accélération technologique, le Nasdaq perd plus de 2% et les marchés aurait bien besoin d’une dérégulation en Chine, en matière d’enseignement à distance, c’est aux parent de s’occuper de leurs enfants. Avec le confort du marché, la haute finance est un point fragile mais agile, par la détermination du nombre. Ce sont les États, qui encore, en France seront valorisé pour la transition. Avec le plein emploi, il y a moins de consommations une économie atone qui s’épuise.

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