mardi 25 juillet 2023

Le JDD encor en grève

C’est l’été, il fait chaud et les vacances reste un moment pour travailler. Le feuilleton à côté du Tour et de la guerre à l’Est, c’est le JDD et la résistance de la rédaction face au modernisme et la transition qu’incarne G. Lejeune. C’est à pleurer, la boue que la presse remue, le vice qu’elle véhicule et la déchéance des forces mal estimé du Livre et des intérêts qu’ils partagent du lecteur au journaliste. La presse n’est pas indépendante, elle est la vie et le sang de la période sombre de la libération mélée comme des cordes à linges où le singe rejoint une graine, la mauvaise mais certaine idée de l’Europe. Super été, loin des « sexe and sun » et autre drug and rock’n roll. Un temps pour brûler un cierge et repasser l’historique des uniformes d’officiers dans les collections privée au USA. Un génie et une sorcière, c’est explosif! Pris au piège du matérialisme dialectique, les journalistes ne reproduisent que de l’actualité et doivent se battre pour leurs opinions. Il ne s’agit pas toujours de frapper sur les pigiste au nom de la précarité. Le nationalisme est un concept moderne qui depuis la révolution française a inspiré nombre de république de la Bavière à l’Ukraine. Les débats se font entre journalistes mais on ne parle pas comme cela chez M. Drucker. La BCE à le même problème que le JDD, combien coûte le papier? Mais le journal dominical s’octroie et se paye une publicité pour la rentrée. qu’elle est la place du journaliste face à l’IA? Aux USA, il faudrai couper un panda en quatre. Les chinois ont besoins de liberté pour exprimer et tenir une croissance mondiale estimée à 3,6% par le FMI. Les rédacteurs ne sont pas des sauveurs et leurs plaies ne seront pas diffusé

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