A right...?

La démocratie n’est pas de gauche et la parole d’opinion est à droite, cash, franche ainsi qu’une lame de cutter qui nous sort de la bouche. La base ne réclame pas plus d’eugénisme, mais une cohésion sur laquelle appuyer une pensée en désordre. Cette semaine encore, la gauche empoisonne le débat pour exister au nom d’une liberté qu’ils se partagent à chaque élection. Qu’était l’information dans les mains de L. Trotsky face aux feuilles anarchistes de la Makhnovshchina? Aujourd’hui, la toxico court en sweet gris marqué NYC pendant que son collègue s’injecte le maximum de produit sur l’héritage de l’underground, d’une sous-culture véhiculée durant des décennies aux USA et en Europe. La liberté s’acquière entre marginalité et servitude, le travail n’est pas un DAB. Quelques Dollars s’envolent sur une chemise à la mode, l’improvisation, c’est aussi l’intuition de toucher la raison ou choquer l’ignorance, réveiller la conscience de nos fragilités à intégrer et maîtriser, dans l’échange, les flux des monnaies. Elles s’adresse à Berlin Est, de Munich, sans même passer en Catalogne pour croire que cela va durer et exploser dans le spectaculaire, pour laisser au repos, le noir. Qui pourrai aujourd’hui acheter un journal sans déjeuner. À la table de bistro, il y a l’un ou l’autre. La presse se nourrie d’elle-même et reproduit la philosophie de son parcours. À l’heure de la dématérialisation, le vivant, c’est aussi le mouvement que l’on ne peut arrêter pour révision, nous aurons toujours tord de choisir la violence quand l’actualité et l’information, le sont bien assez jusqu’aux poubelles des rédactions. Prétendre dominer l’information est une erreur à corriger avec son directeur financier. Fini le tournesol, c’est au tour de la violette pour les abeilles