Des refinancements avec un taux 10 ans US à 1,27%

Les flux financiers que génèrent la gestion d’actifs sont faramineux, à l’image des 9000 Mds d’USD que représente aujourd’hui l’ETF. Les PIB de la ZE et des USA investit bien normalement sur les sources d’activités avec des outils performant, celles des fonds et des gérant. Dans la ZE, l’économie profite de la hausse des prix et de l’inflation, comme un bol d’air à la stagflation, remède de la déflation que subissait la zone avant la pandémie et le plan de relance européen pour la stabilité financière. L’ETF a encore de grands travaux devant lui, accompagné des tapering et des cours du Bitcoin. les rachats d’actif lestent la balance économique sur la vision de J. Powell, gouverneur de la Fed. Le FEFS (Fonds de stabilité européen) est noté AA+ par Standard & Poor, Avec un budget initial de 400 Mds d’euros. Après un deuxième trimestre record, la reprise s’essouffle et les profits des grands groupes, qui doivent se refinancer, s’étiole. La pandémie, le confinement et le pass, ne sont rien, pour les familles et les entreprises, comparé à la récession et au ralentissement de l’économie. Les entreprises gonflent toujours leurs pertes pour réclamer le soutien des pouvoirs public. En Chine, la BPOC (Bank People’s of China) injecte près de 70 Mds de Yuan dans le système bancaire. Le HSI en profite à 25 878 pts pour un USD à 7,78 HKD. L’Allemagne avec la ZE disent au revoir à l’orthodoxie avec une inflation de 3,9%/an, et à A. Merkel. J. Powell est bien présomptueux de croire, à tord que l’inflation n’est que passagère. Il s’agirait d’un chemin vers une correction sévère, ponctuée et mesurée d’annonces contradictoires ou non. C’est sans doute l’attitude habituel des pays riches avec un taux d’intérêt à 10 ans de 1,27% qui prend + 1,7% depuis Jackson Hole.

Retrouver le goût du romantisme

Le Hang Seng décroche encore, à 25 400 pts. Le régulateur chinois et la méfiance envers internet fait chuter une nouvelle fois le HSI. Les pertes sont importantes pour la fintech mondiale et pour le commerce international. La finance régule t-elle mieux que l’État? C’est toujours le débat. Les fintech, devrait donner des garantis pour continuer les transferts et les paiements sur le marché chinois. Le Yuan a encore baissé cette semaine à 6,471 USD. De l’autre côté du pacifique et en parallèle J. Powell, suivant la volonté du marché des taux, freine les rachats d’actifs à venir sans réaction sur les bourses mondiales qui atteignent leur maturité. Les USA et la Chine possèdent des économies dirigées, l ‘une par le marché et l’autre par l’État. J. Biden a bien du mal à endiguer les problèmes intérieur aux USA, les loyers, les crédits étudiant, le diabète et tant d’autres victimes du mode de vie US. On ne construit pas sur le mensonge et les chancres de la vérité et du complot ont la vie belle. La politique n’a plus de sens dans le monde des affaires et l’économie du Droit reste la règle dans une certaine mesure, ce qui décrédibilise le modèle entrepreneurial. Il faudrait retrouver le goût du romantisme de la 1er internationale et de la construction du jeune K. Marx jusqu’à la création de l’AIT. Aucune politique, aucune pensée ne peut se suffire à elle-même ou s’émanciper de l’autre. Les marxistes ont tord de croire qu’ils maîtrisent l’économie là où K. Marx ne faisait que l’observer. Aux USA, la consommation et le moral des ménages souffrent des prix à la consommation là où les syndicats sont discret. À Washington J. Powell accompagne l’économie dans la reprise vers sa consolidation face au spectre de l’inflation.

Warning greenwashing

Le mouvement écologique entraîne les jeunes générations vers une vrai révolution agraire. Déjà, les défenseurs de la nature s’approprient l’accès à des terres cultivables là où le monde est émut de la déforestation et des luttes inhérentes à la propriété et pour l’accès aux richesses de la terre. Des terre cultivables, répertoriées et cartographiées dans le monde entier. La finance est prête à investir dans ce potentiel d’avenir avec une population mondiale qui augmente et le besoin croissant de denrées consommables. De nouvelle manières de faire la guerre qui génèrent conflits et guérillas, sources de désespoir et de misère. Sur les terrains du paiement en ligne, les prélèvements stressent les comptes des usagers pris sur la toile administrative du www. Ce n’est ni une publicité, ni un film qui est en jeu, mais la vie ! Au fond de la logique et de la division du travail. L’Asset croit sur les terrains d’investissements. Tout est bon pour faire du profit mais la lessive ne rend pas toujours plus vert et à terme. L’ETFs mène une lutte sans merci dans la course à la performance. Avec la fluidité du produit, comme des vases communicants, l’Asset se règle sur les paramètres du risque et du retour à venir sur le court terme. Ce business correspond à des méthodes de gestions, lesquels guident les rapports sociaux et ainsi la nature et la terre. L’Asset s’attaque à tous les domaines d’activités… Si vous avez des idées…! L’opposition est elle-même intégré dans le concept du marché. C’est sur ce segment que le politique peut encore maîtriser quelque-chose de concret avec une certaine constance sur le temps. Les banques du Royaume-Uni lorgnent sur l'Asset et l'ETFs mais en Allemagne DWS, une filliale de Deutshbank se fait épingler par la SEC, autorité indépendante des marchés financiers à NY

Return to be block

La décomposition sociale accompagne l’organisation managériales d’une part active du corps social alors que la valeur d’un individu devient informel. R. Clarida, une colombe à la Fed souffle l’espoir de futur rachat d’actif et donne une vision optimiste pour l’asset management, toléré et soutenue par la banque centrale américaine. Le Bitcoin retourne sur les 50 000 USD, la possible continuité d’une politique accommodante ne rassure ni le futur ni l’avenir mais assume le présent. C’est un contexte positif pour la finance mondiale, peut-être le dernier été ou la dernière année. Ce n’est jamais demain et ce n’est pas la fin. La haute finance est à l’équilibre sur un fil, Le USD s’est raffermi avec un EUR à 1,17 USD. Le taux US 10y entre dans une fourchette montante entre 1,23 et 1,30. Le Bitcoin devient un indice de la bonne santé financière des bourses mondiales et de la conjoncture sur les marchés. Ceux-ci ont apprécié un baril de WTI remontant à 76 USD. Ce monde a de l’esprit, mais il n’est pas drôle ! Ce qu’il faudrait retenir, est que la dette est non pas seulement de croire, mais c’est elle qui fait avancer ceux qui peuvent payer, appelé par les grands, hâppé par le destin, en colère parfois ainsi que l’âme et l’humeur du monde des affaires. Le SP500 bat pour la cinquantième fois son propre record cette année et le Nasdaq s’envole à côté des catastrophes sans Caterpillar en Haïti ou Zodiac. Au beau fixe et au sommet, la France, elle profite de la relance et rompt avec le « quoi qu’il en coûte » sur les perspectives de 6% de croissance en 2021. Nous n’avions pas connu de croissance aussi élevée depuis 2007/2008. « Chauffe Marcel » aurait chanté Brel.

#thérapie #coloriage

Le luxe récepteur des crises en Asie

Le luxe français est touché par la réthorique du PCC, égalitaire pour les travailleurs chinois. Jusqu’à présent, le luxe a toujours fait bon ménage avec la classe dangereuse et assumer de fait, la liberté et le capital. En France, non plus, la redistribution n’est plus dans les modes culturelles depuis la disparition d’une gauche qui c’est appropriée l’activité et l’administration de l’État. Les socialistes ont la mémoire courte et le luxe français peut bien s’habiller d’une veste bleu ouvrier. La culture socialiste, après avoir montré l’ouverture à tous, devient inaccessible comme un produit de luxe extrait de la rareté. On pourrait croire que beaucoup d’investisseurs, en Chine, y sont pour de mauvaises raisons et surtout de bien mauvais résultats sur des pertes immenses qui font honte aux investisseurs peu scrupuleux. Pour cause de pandémie, le commerce a freiné brusquement la croissance de la Chine mais elle reviendra avec de la bonne volonté politique, en occident et particulièrement aux USA. La dévaluation du Yuan, ne doit pas être l’unique réponse, ce qui peine avant tout aux masses salariales et au peuple chinois. Reprendre le commerce avec la Chine est indispensable à la croissance mondiale. On pourrait disserter sur la hauteur des murs. Une chose est sure, alors que les enfants sont triés, d’autres sont exclus d’office ! Le VIX a augmenter comme le risque devant cette période. Les Émirats se révisent sur leurs investissements avec un baril de WTI à 63 USD. Le luxe pourtant doit tirer son épingle du jeu par l’envoutement qu’il émet et qui éclaire encore le sens des valeurs et des traditions. Cependant, les économies entrent en correction guidées par les publicités de la FED en faveur d’un rachat d’actifs si les comptes de la banque centrale le permettent.

2 067 Mds d’€ d’OPCVM

2 067 Mds d’€. c'est le montant de ce que représente l’OPCVM en France aujourd’hui. Valeur basée sur le foncier, l’OPCVM est un produit obligataire pouvant compléter une SCPI ou une autre valeur pierre-papier. Les fondations d’une bonne partie de l’économie en dépendent et tiennent leur équilibre du poids de cette finance mêlé et nourrit du private équity, douce manière de tirer des bénéfices pour payer les taxes du foncier. Un gateau, que les propriétaire et bailleurs se partagent avec le même risque face à la crise qui met en exergue les difficulté du marché. l'expression, "Sauver les meubles" prend tout son sens après avoir poncé le parquet. L’obligataire c’est chaud… et froid. Tout cela se lit sur des livres de comptes numériques qui sont les flux virtuels de données que les propriétaire et les épargnant soutiennent comme les bénéfices d’opérations de plus en plus complexes. Chaque changement, dans ce contexte, prend toute son importance, à la mesure du gigantisme et des pressions économiques et sociales. Chaque statistique impose un courant et une direction dans un sens ou à l’opposé. Dans cette jungle de questions, certains cherchent des réponses de K. Marx à M. Friedman. Sur l’échelle des statistiques, il s’agirait de retrouver le sens du quotidien. À ce jeu, les entrepreneurs géniaux comme B. Tapie ou J. Richard se sont tous fait rattrapé par le poids des mots et des chiffres de l’administration fiscale et financière de l’Etat. Tout comme la Chine, représentante du prolétariat mondiale, le capitalisme d’Etat n’est pas toujours adapté aux circonstances. La pression fiscale est forte, puissante, elle broie de belles intentions. Mais peu importe si le capital progresse, il est condamné à la rentabilité ou à disparaître. La croissance n’est pas une simple croyance mais une damnation.

Joindre les deux bouts

Work beat - Retail sur l’asset

Chercher l’indice ou trouver les limites… Les taux ont besoin de performer avec un rendement initial et propre à l’activité. À la Fed, c’est le jeu de la roulette russe en attendant d’appuyer sur la détente et retrouver la direction… Un cap ! C’était déjà vrai hier au sujet de l’ETFs ou d’autres bulles plus ou moins liées entre elles. Cette class action profite du court terme favorisé par la détente des taux long. Les bulles spéculatives se résorbent-elles pour autant? Le HSI se redresse et le yuan perd 0,085 USD, le CHF perd lui 0,05 USD à 1,09 et le Yen se négocie à 0,009 USD. À Washington, il faudrai arrêter d’éteindre le feu avec de l’essence. La banque centrale US est devenue comme une boussole dont le cap change à chaque instant et qui ne donne pas le Nord. Le HSI loin des 29 000 pts laisse le baril de WTI à moins de 70 USD. Sur combien de paramètres se structurent les analyses du GIEC ou de la FED…? Jusqu’aux conclusions cryptées sur le marché des idées. Avec le marché de l’emploi en embuscade, cela consiste à se ré-approprier chaque instant négatif de l’histoire sur la dialectique dans un combat pour la vie. Disparaitre sur une tension, survivre aux pressions, aimanté comme aspiré contre la violence et l’autorité. Un Krach à l’échelle des tests. En grattant un peu la macro on aura le 10y US à 1,23%. Observer et analyser les positions, mettre l’ivraie de côté, pour plus tard et, à force de conviction, performer encore sur le rating et le retail avant d’examiner les résistances. Des actifs solides et volatiles opposés aux crédits spéculatifs et aux phénomènes de titrisation chargés déjà de soutenir les produits sur le marché. Leurs limite d’exposition est devenu hautement spéculatif et les ETFs, pas moins ! Je ne suis pas sure que l’on veuille encore se nourrir de la dette. Certains épargnant d’ETFs sont même activiste révolutionnaire et nourrissent les croyances du capital et ainsi socialiste ou d’autres tendance, d’autres églises. Observer, imaginer le cygne noir. Pour exemple, Klepierre, dont les produits superforme déjà, s’allie avec le luxe. Les commerciaux de Klepierre peuvent miroiter et assurer leurs produits au nom de leurs mère ou de leurs enfants; c’est une valeur solide et de plus, le commerce est une valeur d’espoir et de paix. Une garantie pour les épargnants.

Veille #teletravail #permanence

L’asset n’est plus à la fête

De bons résultats pour les banques et les assurances ont conforté le CAC40 cette semaine proche des 6800pts. L’indice aurait-il profité du confinement et de l’activité générée par la pandémie de covid19? Les banques et les assureurs en tirent des résultats motivant avant d’aborder les tests de la rentrée et de la reprise après un an d’une situation compliquée. L’été est un bon moment pour revoir ses modes de fonctionnement, réorganiser ses comptes et investir son portefeuille dans la répartition des idées qui viennent l’été. Sur des positions comme La chaleur, la lumière, l'été est un temps propice au changement. Les groupes se renforcent face aux risques climatiques et politiques qui planent sur la rentrée sociale ou autrement, sur la mer d’Oman et sur les tensions dans le golfe. Dans cette période, il faudrait travailler à l’impossible au lieu de dominer pour détruire sans aucune assurance pour se ramasser. Pour les sceptiques Suisse, le dollar est trop élevé mais la rentabilité du CHF n’est pas remise en cause. La confiance n’est pas non plus en question et s’inscrit dans la longévité et dans les peurs diverses, qui se transmettent. La méfiance prend parfois le relais. Il faudrait jongler avec les différences de ratios et avec les assurances pour appréhender l’activité, le marché, dynamique cette année. Cependant le bémol, c’est l’ “asset“, corrompu dans les anomalies du marché. La Fed cesse le rachat de titre et c'est pour bientôt. Avec les statistiques de l'emploi aux USA, la donne peut cependant évoluer et pour la Fed, et pour le Congrès qui éxamine le plan d'infrastructure que défend J. Biden

De l'activité pendant la période estivale

Avec des transactions à hauteur de plus de 500 Mds d’USD dans le monde, le marché des fusions et acquisitions reste actif depuis le début de la période estivale. Un regain d’activité du secteur dans un temps propice aux vacances. On peut observer des entreprises en ordre de bataille, s’assurant une partie du contrôle des marchés dans leurs secteurs d’activités. De grandes marque s’offrent des entreprises de la tech leur permettant de s’armer dans cette transformation du marché et du digital. Le luxe, sur 3 ans, se porte aussi bien que Google ou Amazone, selon les valorisations d’Hermes et LVMH, fleuron du luxe mondial. L’économie tient le coup alors que la finance à tendance à la survie en autarcie, autosuffisante. En attendant des hausses de salaires, l’emploi se porte de mieux en mieux mais manque de bras pour des contrats précaire qui ne donnent heureusement pas accès au crédit selon les critères des banques. Depuis 2009, le monde et particulièrement l’Europe, ne peut plus vivre à crédit, les États non plus. En Chine, après la chute du HSI, celui-ci rebondit et profite aux entreprises chinoises. Avec le marché des M&A en ébullition, les banques d’affaires se frottent les mains. À NY, les investisseur jugent la masse salariale d’ADP trop coûteuse et le titre plonge. Toujours à New-York, Robinhood confirme la réussite de son introduction sur le marché des valeurs technologiques et double le prix de son action en 2 jours sur de gros volumes. Sur le continent africain, Robobank est sur le même segment d’activité et participe au développement en Afrique. En France l’OAT 10 ans sous les -1,13%. La taux 10y US grimpe à 1,20% mais les craintes persiste sur l'immobilier et le remboursement des crédits étudiants. Le barril de WTI reste sous les 70 USD. Une période de vacances pour présupposer la rentrée alors que le traffic aérien reprend peu à peu. L'euro à 1,184 USD.

Ceux qui assurent pour ceux qui craignent

L’appréhension des risques de la vie profite aux assureurs, avec de bon résultats pour Axa en ce début de semaine. Les catastrophes nourrissent le PIB et l’appétit des assureurs. Le pétrole qui mesure l’activité est en baisse proche des 70 USD pour un baril de WTI marqué par la faiblesse du HSI touché par l’éclatement des bulles spéculatives sur l’éducation et la Tech et qui touche à présent le secteur de la culture en Chine. Mais la crise nourrit la croissance et le PIB des pays riche. En France, le cac40 chauffe à 6700 pts et personne ne sait où nous mène la moins value de Washington à Francfort. Axa comme le secteur de l’assurance profite des assurances imposées sur les contrats. Durant ce temps, l’économie est remplacée par le marché de la pauvreté que se partagent les ONG et d’autres associations avides de la gestion des aides sociales avec l’aide politique des communes. La guerre contre le covid est en phase 4, comme une vague pour des surfeurs aguerris sur les rouleaux de la crise. Aux USA, la banque Fédérale fait savoir et prévient de la fin du rachat de dette. En ce mois d’Août, l’immobilier comme chaque année en cette saison profite des déménagements de l’été. L’Euro est stable à 1,185 USD. Le 10y US grimpe à 1,18% lorsqu'une colombe de la fed reste constante et prudente avec l'inflation. Les marchés passent outre la crise mais restent méfiant quant à la politique monétaire. Les indices dans des volumes faibles sont élevés avec de bon résultats d’entreprises. L’exploitation du rêve en territoire négatif est à son paroxysme dans le secteur culturel.