samedi 13 mars 2021

Quoi qu’il en coûte !

La France, qui réagit toujours plus lentement à la reprise venu de l’Ouest, accumule les maigres résultats depuis 2008. Pour une fois depuis 2007 sur les 6000 pts à la bourse de Paris, l’inflation à venir s’accompagne de la croissance et d’une légère remonté des taux américain sur 10 ans. La BCE en Europe ouvre la voix en stimulant encore par des rachats d’actifs. Pendant ce temps le DJ bat de nouveaux records alors que le marché présuppose déjà le plan d’aide de J. Biden d’un montant de 1 900 Mds de dollars. Amenant un souffle nouveau, le retour de l’inflation et d’une légère hausse des taux, ce plan accompagne la reprise en la soutenant. Comme à chaque tension sur les marchés obligataires, les commodités et les stratégique sont à observer. Ainsi les secteur impactés éclairent des segments de marchés objectivement positif. Le secteur de l’énergie c’est reprit offrant un champs de possibilité avec l’environnement, les biotechnologies et les laboratoires qui devraient eux aussi tirer leur épingle de la pandémie En France, la fin des tarifs réglementé peut participer à la hausse des prix qui nourrissent l’inflation dans les secteurs de l’énergie. Le match Véolia-Suez montre l’appétit US pour l’industrie européenne en faveur d’un leader à l’international sur un marché de l’eau et de l’environnement dans les stratégies mondiales pour un service commun et des rendements considérables au regard des éléments ainsi en tension. Dans le même temps, le dollar US devient meilleur marché avec un euro au dessus des 1,20USD, il soutient le marché appelant les investissements pour chercher la croissance. Après des années a consolidé leurs fonds propres, les banques seront peut être les grandes gagnantes de ce test grandeur nature tenant la corde de l’arc avant de propulser la flèche vers son but pour atteindre l’objectif.

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