dimanche 12 juin 2022

Une épargne qui progresse au rythme de la dette

Le capital doit progresser ou disparaitre. C’était vrai hier jusqu’à aujourd’hui. La dernière heure travaillé est la plus productive. Dans une période de crise, sur les marchés obligataires, la hausse des taux d’intérêts va cette nourrir l’inflation mais aussi dynamiser la production et l’activité pour tenir les obligations. Nous sommes déjà, depuis 1 an, en surchauffe économique avec des indices au plafond. On parle volontiers, à présent de récession avec un décrochage de l’opinion en parallèle à la situation que nous subissons. Pas de bulle spéculative mais une barre trop haute à soutenir, alourdit par une dette passé, en quelques décennies, jamais atteinte par les banques centrales. La dernière heure travaillé dans une journée ou les dernière années d’une vie en considérant l’investissement et l’épargne accumulés pour suivre l’activité. En France, certain parent ayant les moyens de s’occuper de leurs enfants, préfèrent les confier aux services sociaux et à l’assistance public. Pourquoi se priver d’économie et d’aides généreuses plutôt qu’investir son patrimoine, son épargne, son travail dans l’avenir? Dans tous les termes et tous les sens, ce sont bien les générations futures, déjà présente qui payent la dette avec, peut être, un mince espoir d’en réchapper. En Europe, on compare les écarts de taux avec l’Allemagne, nous observons les différences de la France et de l’Italie. Aux USA, la récession est admise sur des indices au sommet avec des variations hebdomadaires de l’ordre de 3 à 4%. Malgré la visite de U. Van der Leyen en Ukraine, l’UE se penche sur elle-même avant 2023 comme la solution à notre monde de 2030. Le modèle des années 1990 pourrait devenir le canevas pour les 10 ans à venir sur une économie qui chauffe et les désordre à l’Est de l’Union et en Afrique.

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