Plus d’impôt, moins de pain.

Le patronat répercute les hausses de prix mais les patrons déduisent aussi leur investissement pour changer de game et augmenter encore les prix. Ainsi, pour stabiliser l’inflation, il faudrait augmenter la TVA ou rajouter quelques points de taxe à celle-ci, ainsi, baisser le plafond des charges déductibles. Rajouter des taxes serait conforme aux besoins réel de la société. Pour maîtriser le pouvoir d’achat, il faut jouer sur l’impôt. En Europe, nous avons trop tendance à vivre au dessus de nos moyens. Les patrons n’ont pas besoin de voyous pour les protéger si leur entreprise est basé sur la confiance et le partenariat dans une société de service. Ici, on ne cultive pas des contradictions. A ce rythme, il faut bloquer et réguler par la prévention, l’abus et l’escroquerie dans les gènes du commerce, du voyage et du courrier sous le signe de Mercure. Créer de l’impôt lorsque les jeunes se sont jeté sur le crédit. On plait à qui, en engraissant des cochons? Il y a dans la zone un besoin d’impôt pour affronter les hausses de prix. L’Europe a besoin de vertu au vue du Brexit. Le système commercial a besoin de régulation en cette période que nous traversons, appréhendant la récession avec un cocktail récession/inflation. Avec une hausse d’impôt, au moins on payerait quelque-chose comme pour déprogrammer l’illusion commerciale de la publicité dans la culture-industrie. Plus d’impôt, moins de pain, moins de pain, plus d'impôt.