One shot (La monnaie de sa pièce)

La France n’est peut-être pas seulement, la fille de l’église, mais de part la République, la chienne d’ancienne fête païenne sous la Rome antique avant JC. En ses temps de stabilité, que vient perturber une récession à venir, le parlement reflète, de plus en plus, une société gangrénée par la délinquance jusque sur les lignes de front, où se joue l’extension de la Zone vers l’Est. Cela justifie une inflation et la restriction qui se nourrie, elle-même par des méthode fiscale croyant soutenir la croissance douteuse à sens unique. Fille de l’église ou Reine des putes, notre pays est pillé par un système bancaire gourmand qui joue sa survie sans une once de morale ou d’éthique. C’est bien de cette politique que naîtra un nouveau socialisme. C’est bien de cette crise que se lèvera une nouvelle race pour un monde nouveau. Ce nouvel ordre quoi qu’il en soit, sera l’avorton de la bourgeoisie et des milieux d’affaires. Fanatiques et anarchistes freineront la cadence pour négocier individuellement leur promotion. Syndicats et ouvriers resteront des collaborateur du patronat dont rien ne sortira, sinon la misère et le chao que ponctuent les génocides de l’Histoire. Avec des coupures d’électricité, cet hivers, on entre dans une période sombre où la colère accumulée c’est transformée en haine pour subir la violence de la justice et de la République. Dans ce contexte, la confiance des services publics se dégrade et l’État sombre dans une politique de plus en plus violente à qui il manque le caractère de la guerre et le besoins inné de faire des affaires. Ce trouble nourrit le terrorisme ainsi que la détention et l’exclusion. Comment s’apaiser? Que faut-il faire pour s’intégrer?! Faut-il être gay? Que faut-il encore donner?!… À la sortie du bar de nuit, une Belge est au vestiaire et dessine des clowns. La Répuplique et la justice sont pour qui?! Pour les traitres ou les enfants de putain?…