On l’aime comme elle est…

On pensait réparer les blessures du passé, les plaies qui nous suivent avant même de rayonner en société. Même la banque mondiale ne répond pas. Le gauchisme n’est plus le remède d’une maladie sénile. Il participe de l’émancipation bourgeoise ayant toujours faim comme les indigents. Avez-vous pensé aux convertibles, les obligations vertes pouvant entrer dans un capital et consolider un fond tout en conservant sa rentabilité. Pour garantir un équilibre, l’autonomie est un atout. En sublimant, pour mieux définir les priorités et se positionner par des réflexes de survit selon les perspectives, les spread et les objectifs sur les zones déterminées. L’ennemi est soumit à la pression de la représentation. Les manques de V. Poutine, en politique, se concentre et se purges en Ukraine. C’est à la Haye que cela doit se régler mais il n’y aura pas de procès de l’administration russe. Le Kremlin pervertie la morale du régime et ne reste que le rejeton mafieux laissé par B. Eltsine après avoir muselé le débat à la Douma en 1990. Son petit frère, la Chine l’observe avec une certaine empathie, mais peut importe si le baril de pétrole russe, à 60 USD éloigne le WTI des 90 USD. Qui des BRICs va encore se détourner des normes internationales. À force de fuir, on se retrouve enfermé et conceptuellement enchaîné à des phénomènes qui nous dépassent. En refusant la négociation, on s’écarte de la forme sans jamais savoir vraiment pourquoi. En ce qui nous concerne, en Europe, la forme, la force, c’est la victoire en Ukraine et la démocratie dans l’UE. Les perspectives de croissance en Chine sont en hausse et participeront pour une bonne part à l’estimation d’une croissance mondiale à 3,7% en 2023. Loins des velléités des nations belligérantes, le commerce international se laissera guider par la géo-politique, très apprécié en ses temps de retour en arrière. Dans le même temps, le Bitcoin à 24k et Binance assument devoir payer des amendes. On l’aime comme elle est…