samedi 23 septembre 2023

Le prix du piège

Maintenant que nous avons trouvé l’or du temps sur le trente ans, un peu d’équilibre sur le marché de l’art. Un baril dans l’Altaï, en Mongolie et Bakou, à 75 USD, raffiné où vous voulez pour vendre du carburant à perte selon les prix à Rotterdam et NY. Quelques entreprises vont se faire pincer mais le paraître est sauf face aux embargos sur le pétrole russe. Il faut dire que B. Le Maire est un génie. La fin du travail, c’est pour demain avec le capital, la fin du pétrole, c’est maintenant. Silence de Francfort, tant que sa passe, faut voir. L’Euro se reprenait à 1,07 USD et le dollars à 7,2 Yuan. Pour les banques, permettre la réduction des investissement dans les énergies fossile est une évidence dans la compétition aux énergie renouvelable et au paraître. Les banques veulent renflouer avec une génération à 10 ans et garder les retraités pour passer dans les clous. Paraître pauvre n’est toujours pas d’actualité quand paraître riche fait croitre le produit intérieur. Les marchés sont un jeu d’argent dont le produit, c’est vous, n’oubliez pas la monnaie…! À 95 Dollars US le baril de brut, la guerre coûte de plus en plus cher, elle détruit et déconstruit nos constructions mentales pour influencer notre organisation mondiale. L’Europe c’est explosif. À travers la crise, le socialisme est entré dans les usages avec ce qu’il y a de pire et de meilleur. L’illusion d’une pensé à creuser malgré une idée trop humaine, une utopie violente et radicale pour des périodes révolutionnaires. Des crises qui se reproduisent, une dette, la sociale pour soutenir l’humain et le travail. Une collectivisation de la dette par le prix à payer. Dans ce contexte, c’est la radicalité de la vérité qui tranche une non-mixité entre l’immobilier et le marché. C’est une pensée spéculative présupposant les crises et le risque pour quelque idées pour des esprits si petits. Plutôt que se spécialiser et perdre la totalité, restez sur ondes onirique en fréquence numérique dans les temps homérique. Tout ce qui importe c’est être satisfait de son travail. On importe aussi du gaz liquéfié de Bejaïa, ce n’est pas le moment de se reposer sur les dividendes. Il faut choquer la vertus pour une peu de désir

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