mercredi 4 octobre 2023

Une vie dématérialisée

Nous n’expliquerons rien par la critique des complexes, la frustrations des faibles, l’enfant sera l’assassin que l’on attend. Dans ce chao qui reproduit la vie et l’essence de ce qui mange, la vision hallucine pour relever l’espoir alors que la rente et les prestations pèsent par leur faiblesse, le rendement des obligations s’affaisse et la confiance disparait des tableaux de bord. Tout dépend un jour ou l’autre, de la violence inhérente que l’on construit pour toucher le calme de l’esprit au détriment de nous-même parmi les autres. Les prévisions d’inflation, impliquent une continuité lente mais progressive des taux directeurs. Il faut choisir entre les taux et l’impôt. Aux USA la situation reste bloqué, l’automobile à l’arrêt. La Fed portera la tendance et choisira le rythme à la mesure d’un contexte dégradé. C’est déjà un autre monde. Pour brûler du papier, en Europe, il faut penser aux 2,9% pour limiter les déficits. Le coût total d’un être humain reste élevé et la vie se paye chère en Méditerranée. Nous sommes depuis trop longtemps loin du compte de ce que nous devons à la grâce et la vertu. À Washington on aime bien la petite famille du Michigan. Avec les Chicago bull, l’âme de la Nation américaine sera toujours plus proche de la liberté. Le Yankee vaut mieux que l’immobilisme des affaires et les provocations stériles de l’opinion avec l’accent du populisme. La Nation ne sera jamais grande mais à hauteur d’homme dans les traditions communautaires de la famille, de la paix et de l’amour. Nous n’avons observé ni honneur ni noblesse au coeur des principes cosmiques. En France avec un ticket restaurant dématérialisée, l’État veut s’approprier les biens des plus pauvres et refuse aux salariés d’aider ses proches avec une valeur basé sur l’alimentation nécessaire pour un travail réalisé. O. Grégoire touche là un contenue sensibles des avantages salariaux, encore une polémique qui ne soulève pas l’intérêt des syndicats. Nous allons découvrir d’autres fétiches que les marchandises, la vie change, mais sans nous.

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