mardi 26 octobre 2021

Les enfants n’auront plus de bonbon

Jouer et manipuler de l’argent est une tare inhérente aux rapports dans une collectivité. Affecte et sensualité, participent de ses mouvements sur les modes de communications actuels et modernes. Le Bitcoin se négocie maintenant à NY et c’est tentaculaire ainsi que le concept de la toile et du www, Autant dire une bonne partie de l’argent généré par les trafics. Le spectre de la stagnation est maintenant trop présent, le temps de nous présenter la récession comme une chance. La Chine inquiète à juste titre. Le HSI reste rentable à 1 mois avec une dévaluation du Yuan, l’USD vaut 6,38 yuan. Une forte inflation pour les chinois et une baisse de rendement à peine déguisé. Alors que la santé financière des USA reste, avec le S&P500, à la corde, sur les 4 500 pts. Cela illustre la suprématie des USA dans le monde des affaires. Deux masses, deux blocs qui se font face, et à traver des frictions permanentes, nourrissent la concurrence et la croissance. Les fonds exposés en Asie peuvent rester optimistes dans la capacité de la Chine à produire du travail selon le comportement des indices à la production des produits manufacturiers. L’ordre mondial est encore en place et la Chine le partage face à la rentabilité du dollar et celle du travailleur américain. Avec les crypto monnaie, la révolution internationale se met en place, sans doute le tournant scientifique du socialisme. L’épargne des français est une chimère sur laquelle, il est nul besoin de spéculer. Comme pour le Bitcoin, le monde de la communication est de retours dans les systèmes alternatifs hard core. En France, les élections sont encore fixées sur la nationalité et l’intégration, accompagnée de diatribes Nationale Socialistes, que l’on croyait disparuent et dégénérées, et qui survivent comme les tares dans nos sociétés modernes. En parallèle, la gestion des quartiers, à Paris, supporterai une observation critique des organismes sociaux. Des habitants, déclassés, comme déportés dans des cités qui coûtent trop cher aux locataires et dont les bailleurs font du fric, encaissent les aides et font payer les travaux aux locataires avant de les abandonner à leurs sort. Une observation critique qui n’est jamais faites par les associations, alors que les gardiens ont la consigne de ne pas partager d’empathie, chose qu’ils font trop bien !

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