Pour lutter contre l’ennui et la paresse

En France, les grands du luxe, souffrent de résultats en baisses et la période de Noël commence par un carême. La bûche prévue pour l’hiver brûle rapidement au regard de l’inflation dans l’énergie. Mais il est encore temps de faire la fête ou de flamber l’argent que l’on n’a pas. C’est un temps de fête et nous n’en savons rien. Certains voudrait tout brûler mais laissent ça au autres. Outre la banalisation de fumer de la tisane, un vaste marché de l’emploi s’ouvre pour la pauvreté et la misère. C’est à la famille et à la République de revaloriser les adolescents et les jeunes adultes pour les sortir du ghetto tout en les préparant à la gestion du travail en temps de crise. Cette tâche est celle que réclame une justice nouvelle en débat dans les cercles de la démocratie. Les entreprises aussi peuvent montrer un côté plus vertueux pour faire valoir les droits des souscripteurs, des adhérent ou des locataires. Une économie de côté pour les moment de crise. A l’heure des actions groupé, il est dommage que le citoyen soit si souvent privé de ce pour quoi il paye. Là où les syndicats pourraient revaloriser leur action dans la soumission il n’y a que le bruit d’une pierre écrasée entre deux mouches, mais c’est un combat à mener sur les investissements d’activités dans les domaine du droit et de la concurrence. Cette semaine le Bitcoin se négocie à WS alors qu’en Allemagne le gouverneur de la Buba démissionne. Soutenir une critique négative n’est plus supportable sur les équilibres des organisations et des entreprises. Il faut reconnaître que l’individualiste libre et total a perdu la bataille. La pandémie s’éloigne peut-être un peu vite, mais il reste un poison plus violent que la maladie, c’est la paresse! Le HSI, cette semaine reste sur les 26 000pts alors que l'USD se négocie dans une fourchette autours de 6,40 Yuans. On voudrait croire que la crise vient de Chine, mais sa croissance reste constante au regard de 2020 ou 2019.