dimanche 17 juillet 2022

Indices, des corrections à observer

Les marchés internationaux ne sauvent plus les meubles et les apparences. Blackrock en fait les frais Vendredi, perdant 30% de la valeur de ses actifs pour un montant de 1000Mds d’USD. « Sauvez les murs… » ou « sauvez-vous vous-même ». Le 15 juillet, le DJ joue du yoyo toute la journée, jonglant avec des indices, plus à l’équilibres que dans la déprime. À la rentrée, toutes ses données négatives alimenteront l’activité… Pas de panique, celle-ci est protégée par des gardes-fou et de bonnes intentions. Il faut le croire comme un crédit à WS mal orienté avec un angle de vue et des échéances politiques concernant la juste tenue des comptes et des budgets. Ce n’est pas « la chose » dans la famille Adam mais autre chose de curieux. Les résultats des banques vont être folkloriques cette saison, pour la rentrée du 15 Août. Notre bonheur est d’attendre l’autre, ou un signe positif à l’EUR. En USD, il reste un héritage douteux de jeunes en déshérences à qui l’on reproche de ne pas payer. Vendredi soir, à la fermeture, en Europe, le CAC40 et le DAX sont au-dessus des 2% de progression journalière. Le DJ à WS s’adjuge tout de même 2,20% en pleine tempête dans le secteur bancaire. JP Morgan, Blackrock, Morgan Chase se délaissent d’une grande quantité d’actifs et renforcent les ratios de leurs fonds propres. Avec un EUR à 1,01 USD, l’Europe soutient le marché et reste la solution d’investissement comme le centre de contraction à la crise. M. Draghi, en Italie cherche la porte de sortie. Profitons au festin, ce ne sont pas des alertes ou des urgences mais simplement le temps qui passe. Imposer la qualité, c’est voir aussi ce jour comme une légère correction des indices européens ayant bien profité la semaine dernière. Le brent reste stable autours des 103 USD. Les pays du Golfe pourraient être de gros contributeurs à l’effort de guerre mené en occident face à l’agression de la Russie en Ukraine. Un fratricide comme beaucoup d’autres dans l’Histoire récente. Souffrir, en vue d’un avenir difficile est laissé en question, lorsque l’on transmet la douleur. Les capucins traduiront le message. Axa c’est délesté de ses assurances pour ce diriger vers les actions, pourtant le WSJ se moque un peu des investisseur qui lorgne le marché au pire moment. Chacun veut sa part. Il n’y a pas de compte à rebours et chaque décideur est le bienvenue avec ses qualités, ses connaissances et son expérience. Il est peut-être temps d'avoir du talent.

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