Pour qui roules-tu petite pomme?

L’utilisation de dialectique négative est bien mieux adapté que le jargon de l’authenticité. Tout du moins celui-ci ne se satisfait pas et n’accepte pas le désarroi. Avec cette arme, nous combattons toute relation et sommes souvent victime de la vindicte et de la République, tel quelle ce conçoit. Les marchés, eux, sont à contresens ainsi que les soubresauts d’un blessé. En France, le CAC40 n’estime pas la mesure et ce lance corps et âme dans le positivisme et l’optimisme où baignent les marchés mondiaux. Les marchés poussent-ils le bouchon trop loin? Mettent-ils les banques centrales au pied du mur? Cette euphorie est sans doute surréaliste, lancé par un rêve général et radical. Il faut reconnaître qu’avec + 0,5% de croissance au T2 et 5,9% d’inflation, la France est la plus confortable de la zone. Les patrons, dans l’hexagone n’ont plus à se plaindre. On ne va pas à l’école de Frankfort. Là où il n’y a plus de salariat que le communisme a abolit en tant que classe pour mettre les travailleurs en concurrence au seul profit des socialistes. Le capital peut donc prospérer avec les guignols en mal de spectacle et de vengeance pour leurs propres blessures héréditaires. Cependant, il faut reconnaître que la mise en concurrence des travailleurs entre eux fait croître les bénéfices des entreprises et leur croissance. Ils sont ainsi, devenus des voyous au service du capital et du patronat. Le socialisme ne survivra que sous la forme du nationalisme. Gille de Raie, lui-même faisait-il des expériences sur les enfants? Qui est le fils des orgies romaine? Qui sont les rejetons des femmes en partage? Qui est victime de la République?… Pour mourrir à Stalingrad ou défiler sur la place rouge… Pour qui roules-tu petite pomme? Peu à peu, la gauche devient l’outil répressif de la bourgeoisie. De même, les jeunes sont au service de leur père, mais ce n’est pas une chose due. La fraternité c’est changé en solidarité, c’est en partage sur le biais du commerce. Pour être sûre d’être entendu, surtout, ne le dit à personne. Dans les lieux de crise, nous ne sommes pas en communion et le mal prend possession de notre âme. C’est un besoin inné de s’entretuer.