Binance, la finance à l'oeuvre

L’EUR à 1,040 USD, porte les marchés européens avec l’espoir que les patrons gardent leur sang froid en Allemagne. Binance et d’autre fonds américains résistent à une éventuelle dévaluation du Bitcoin et rachètent, mais avec quelle monnaie, les entreprises qui s’appuient sur les cryptos après les déboires de FTX. Binance cherche le positif de valeurs sensibles aux monnaies virtuelles. Un pari qui peut-être gagnant pour ce fond venu de Chine, ayant fuit la régulation du PCC, en ce qui concerne le numérique. Faut-il penser que le Bitcoin restera, en tant que monnaie parallèle, un outil pour les investissement marginaux donnant un sens à l’économie souterraine ainsi qu’aux techniques de la blockchain destinées à faciliter la diffusion de contrat et la transmission de données numériques comme les cryptos dans le monde parallèle de la finance. Binance cherche sa place en rachetant des établissements poreux, investis en Bitcoin et soucieuse de l’avenir. Avant de réclamer une régulation, Binance veut croire au Bitcoin et aux crypto-monnaies qui l’accompagne. Souvenons nous de l’ETH, une crypto éphémère. Le Bitcoin n’est pas un mythe comme l’or et ainsi le Dollars. Il ne suffit pas de frapper à l’endroit de la stabilité, amusé par les tocards et les journalistes, les banquiers ont longtemps pensé que tout était permis jusqu’à organiser le pillage. Sauront-ils construirent un feu? Facebook et Amazon, deux grandes capitalisations du Nasdaq, taillent dans leurs effectifs. C’est un signal pour les travailleurs malgré les chiffres rassurant de l’inflation et du chômage. En littérature, il faudrait trouver un mot ou un chiffre juste et optimiste pour remplacer l’insulte et la régurgitation facile de la vulgarité. Une évolution empirique qui entraîne un récit critique, une actualité castastrophe et des répercutions qui nous toucherons de près ou de loin. Le Nasdaq perd aujourd'hui 1,26%. Le Bitcoin recule de 2000 Dollars depuis le début de cette semaine