FTX, les limites de la faillite

Vendredi matin, les bourses européennes prolongent le rebonds de la veille à WS. Le FTSE est en peine, l’économie britannique subit une contraction monétaire. 0,85 GBP pour 1 USD, les valeurs s’estompent sans doute pour laisser place au quotidien. L’EUR à 0,87 GBP donne la mesure de l’écart qui se creuse avec les continents. Pourtant le dollars plonge avec un EUR à 1,030 USD. Pour comparaison, en 2009, l’EUR valait 1,54 USD. Avec la disparition probable de la plateforme FTX, la crise et son amplitude pourrait être proche de la crise de 2008, touchant une fois de plus les taux à 30 ans. Pour déjouer le négatif, il faut juger de la démarche et y trouver du positif. La baisse du dollars a par ailleurs amortie la chute du Bitcoin restant la référence pour l’évaluation des portefeuilles en crypto-monnaies. Chute des actifs, les marchés stressés sont choqué par les bon chiffre de l’inflation sous-jacente aux USA. Une inflation modérée qui gêne la spéculation sur les matières premières. Il est possible que la faillite de FTX entraîne d’autres établissements bancaires. Les conséquences risquent d’être brutale alors que les super calculateurs maîtrisent, pour le moment et selon les modèles, les flux dont la réflexion et le temps sont différents. Dans le même temps, si on réfléchit, on ne fait plus rien. rester sur un bon ratio avec une performance amputé du yield, c’est il semble sage de faire un point. Ce n’est pas la fin des cryptos, elles sont très prisé des hackers et théoriquement, elles apparaissent et accompagnent les années 1990 parallèlement à la dérégulation du commerce internationale pour financer la révolution internet. À l’époque de son effondrement, l’URSS a encore les moyen, à cette époque de noyauter et d’infiltrer, pour survivre, les progrès technologiques. Les cryptos peuvent survirent entres elles mais elles sont un nouveau front dans une guerre que certains souhaite, globale.