lundi 1 janvier 2024

20 ans, en 2024

Le cap est donc de gagner 20 ans, en 2 ans, jusqu’à 2027, pour 2030, dix ans à rattraper depuis 2023, plus dix ans d’avance à dégager en 2027. 20 ans de détermination et de sur-déterminisme pour les jeunes travailleurs qui casseront leurs bras sur les chantiers du futur, autant de chômeurs et de RQTH décomposés par la rentabilité et les cadences d’un système à bout de souffle qui en veut encore. Les prix dans l’immobilier pourrait baisser avec le nombre de mise en vente. En politique, M. Le Pen, déterminée peut compter sur la brutalité d’un temps de rigueur pour les français. E. Macron tricote sur trente ans mais notre coeur, de battre c’est arrêté sur le rocher de la dette, le récif, le récit des temps modernes et un desserrement du crédit assouplissant la facture de ceux qui ne peuvent payer. Le long du récit, nous abordons les mots et leur sens au vif du quotidien et d’un lendemain toujours plus loin. Un espoir auquel seul les non-initiés peuvent compter avec leur naïveté, celle des émigrés qui restent sur la balance de la production et de notre entretien face au frein de l’indifférence. Il est certain que pour atteindre l’objectif et garder ce cap, la nation doit réarmer, à tout les niveaux pour et avec l’Europe. En France, le puit de la sécurité sociale est bien échafaudé, alors que s’accumule les poubelles de la santé et de la vie, à tout les étages, sur une voix de garage pour un court voyage. Qu’elles publicités pour des crèmes anti-âge, nous ferons croire aux délires de littéraires illuminés par le pouvoir, érudit du savoir mais ivre de la jeunesse, contre une vision claire et lucide d’un moment important. La question est, comment dégager du stock ? Par le trouble et le défaut, la case solution pour de jeunes entrepreneurs sans titre de transport. Avec une baisse probable des taux aux USA, c’est l’oeil des opportunistes qui reste à observer pour pérenniser et propulser l’investissement à trente ans. Le problème c’est qu’ils ne savent pas ce qu’ils cherchent. Certains, fuyant, se retrouvent au centre de la perspective, ce n’est plus le Siècle des lumières, mais celui de l’individu sur un terrain de chasse, c’était le monde d’hier, un monde sans fin.

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