Concourt de circonstance

Parce-que subjectivement et objectivement, nous l’observons, le Monde existe. Parce-que nous essayons de comprendre, dans les difficultés, figé un temps, pour réfléchir au contenu en mouvement, des raisons commerciale. Quand le HCR défend ses intérêt et son gagne-pain. Les complices ont déjà oublié un sacrifice géant mais qui ne gène en rien l’extinction d’un peuple en Palestine. Le R.U. dans la restrictions, les politiques de rigueurs, en théorie… Et tous se taisent, impuissant face à l'autoritarisme, paralysés par l'oppression, les journalistes ont lue des livres très compliqués, qu'ils les brûlent comme des femmes frappées d’hérésie à un âge moyen. Il faut essayer faire le contraire pour jouer d’une porte à l’autre, entre les murs. Changer sans s’appuyer sur de l’obligataire, il faudrait disposer du droit ou du capital, assujetti au Livre. Joueurs, nous comptons miser depuis trop longtemps. Rien à critiquer pour les mendiants. Ce n’est pourtant pas la banque qui donne un sens à la vie. Fracturés sur un lien tactile, un lien de qualité qui nous aborde dans un carrosse, une chambre stérile. Les choses vont si vite, qu’il fallait casser pour passer, des cygnes en blancs et noir, chacun dressé pour s’amuser. Les marchés cherchent une direction, la République et la crise trouvent une voix, celle de la vertue face au scabreux élégant de la classe dominante, un moment sexy et chic pour un instant qui pique. Il faut donner un peu de joie sans être lourd ou creux. C’est beau, un homme en colère, n’est-il pas responsable individuellement de son environnement et des répercutions de celui-ci?