En fer et contre tous

Dans un monde où l’homme se bat, sommes nous des monstres ou des assassins?… Lorsque l’on ne fait rien !?… Fouillez le droit pour explorer les liens et produire plusieurs relations qui développeront les dépenses, les partages de la croissance et le prix de la famille, du groupe, de la cellule ou de la chambre. Coupez un lien pour en faire deux, puis quatre, nous resterons libre et debout pour observer le petit sur la déformation d’une perspective. Au delà de la littérature, il y a le besoin de faire du fric ou dénicher des économies. La voix est libre pour les PME/ETI, dans le non-côté, pour valoriser et soutenir l’investissement dans la réal-économie. Les start-up, en recherche, dans les bio-technologies, ayant rapport avec la transition écologique, sont au vert à Dubaï, pour encaisser les pétrodollars des pays du golfe. Sans compter sur les peur dans les sociétés européennes, « il y a celui qui craint et celui qui assure ». En opposition au risque, un cercle de penseurs et de fainéants, installés dans leur opposition à l’accident pour gêner l’élan de la jeunesse dans la république. Suite aux catastrophes, ils réclament de l’argent pour augmenter le PIB et ainsi la dette. Il faut, dans un environnement négatif, capter les bonnes pensées et les trier pour en extraire des solutions et une raison profitable. Dans la république, comme dans une jungle, nous pouvons compter sur les migrants qui viennent avec espoir et capitaux coloniser des pays riches, vieux et sans avenir. Cependant, la France conserve une dette noté AA par S&P avec une perspective négative, pour assumer un crédit plus important que le PIB du pays. Les français veulent croire en leur capacité de régler les intérêts de son activité économique et sociale. De nombreux acronymes soutiendrons l’opacité de la gestion littérale de la crise, appréhendant les chocs et maîtrisant la chute. Sans intrigue, des articles qui divisent et reproduisent, dans la métaphysique, les grandes questions sociales de l’égalité à la justice. À Dubaï, pour la COP28, est-ce les pauvres qui ont besoin d’aide?