Le défaut, juste comme il faut

Dans une Allemagne, exclu du commerce international par les USA, une configuration qui n’est pas moderne, ni nouvelle, les allemands, comme les américains, vont-ils accepter de payer pour l’Europe? Diffuse, la question migratoire refait surface, avec, dans les médias, des cours de géopolitique pour le retour de l’espace dans les conflits, qui tiennent, stressé, des frontières fatiguées. Des tirs amis, de chaque côté, c’est ça, l’amitié ! Des morts qui ne servent pas de leçon. Des cicatrices trop lente pour se refermer. Des ténèbres au dessus de la vallée des ombres. Les corporations de métier ne sont pas appelé à se partager le tissu démocratique… Le tir aux pigeons est ouvert, des lots formidables vous attendent au stand, devant les vitrines de vos rêves. Quand le journaliste est une cible et le banquier, un voyou. Ils préciseront leurs positions pour affirmer leur discourt. En opposition un banquier anarchiste chez F. Pessoa avant le voyage immobile de M. Pigase, ayant abandonné la banque bazar dans la tempête de Panama, mouillé dans les conflits d’intérêts, devenu punk, sans foi, ni loi, pour un livre obscur, sans futur. Il n’y a pas que des voyous dans les banques et le commerce de l’ambiance, il y en a partout… Fini les cheveux mi-long, cette année Miss France à les cheveux court, mesure de la situation économique, ici, on raze gratis ! En Argentine, J. Milei, tranchera dans les effectifs pour laisser les travailleurs immobiles sous une cagoule de feutre. Un financier à foi aux chiffres mais ne rentre pas dans le nombre, il se divise et s’adapte aux projections et aux objectifs. L’anti-conformisme est devenue la norme depuis longtemps. Le Dollars, pivot appréciera la détente des taux d’intérêt, dans le rétro pour les curieux, les libertés d’hier ne sont pas les même aujourd’hui. On peut rêver de génocide devant les actualités et engranger le fruit du désordre dans le spectre de la prudence, le stress et l’alerte