Une voix royale

À l’image d’Alice, les grandes entreprises sont surévalué sur un marché plus gourmand et plus fragile. Techniquement évolué, le marché emploi toute l’énergie des technologies pour paraître plus fort et moins risqué. Aux USA, les banques lèvent du crédit à des taux facilités par la banque centrale. Pas d’alternative pour les fonds, entre les compromissions, charpente d’un système bourgeois, hypocrite et la culture trotskiste qui fait loi pour 2024 avec le risque du libéralisme. La liberté est un risque à prendre et non un pansement sur une jambe de bois. Dans un monde libéral, la concurrence reste en la faveur du libéralisme, la violence et la résistance commande une perspective pour percer et se réapproprier un monde qu’ils pensent perdu. En Europe, depuis le XIX e Siècle, dans la culture bourgeoise, les enfants ne les intéressent que pour le travail. La honte ne vient pas de G. Depardieu quand la prostitution est une habitude. Une culture du génocide, la longueur des jambes de C. Lagarde à Francfort, bien parallèles et soignées avec rigueur pour soutenir notre monnaie et notre sang. Il n’y en a plus assez pour tout le monde…?! Pourtant de 1848 à 1944, en France, c’est la gauche et les représentants de la sociale démocratie qui se sont approprié d’abord les ateliers puis l’industrie, un progrès qu’il vous faut assumer avec du sang frais. Des jambes qui n’en finissent pas, la membrane d’un poisson qui s’adapte et s’échappe, en souvenir de nos détours, dans un labyrinthe, solidaire et en verre dans l’imaginaire limite d’un rêve. Ne faut-il pas être pervers pour lire le « Capital » de K. Marx. En d’autre temps, nous aurions appris des psaumes. Ce ne sont pas des clandestins mais des voyageurs, qui depuis des générations relayent une mémoire ancestrale. D’où qu’elle vienne, la critique positive de ce que nous savons sur une hiérarchie secondaire traversera la voix royale.